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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 12:51


La presse britannique a critiqué ces derniers jours Mitt Romney en lui reprochant d’avoir dit que la préparation des Jeux Olympiques de Londres avait connu des difficultés.

 
Mitt Romney disait ainsi ce que la presse britannique dit elle-même depuis des mois, mais à lire les articles publiés, on aurait cru qu’il a proféré une obscénité. La presse de gauche américaine a, bien sûr, emboîté le pas de la presse britannique, tout comme l’équipe de campagne d’Obama. La presse française s’est comportée de la même façon, ce qui est logique dans un pays où, si la population votait pour les élections présidentielles américaines, Obama obtiendrait un score proche de ceux obtenus par les dirigeants communistes d’Europe Centrale au temps où il n’y avait qu’un seul bulletin de vote.

 
Mitt Romney a passé ensuite deux jours en Israël, pays où Barack Obama s’est bien gardé de se rendre depuis qu’il est Président. 

 
Il n’a pas critiqué la politique étrangère de l’administration Obama pendant ce séjour : c’est l’une des règles de base de la diplomatie, lorsqu’on est candidat à une haute fonction, de ne pas critiquer la politique menée par les dirigeants de son propre pays pendant qu’on voyage à l’étranger.

 
Il n’en a pas moins pensé et dit à haute et intelligible voix ce qu’il pensait. Et j’en parle ici car je serais étonné si ce qu’il a dit, en un discours prononcé dimanche, trouvait un large écho dans la presse qui l’a critiqué pour ses propos au Royaume-Uni.

 
Mitt Romney n’a, à la différence de qui vous savez, pas parlé des « frontières de 1967 » comme base de négociation en vue d’un retour au « processus de paix », car il sait, lui, que les « frontières de 1967 » n’existent pas. Il n’a pas usé de circonlocutions et a parlé de « Jérusalem, capitale d’Israël ».

 
Il n’a pas, à la différence de qui vous savez, évoqué les constructions immobilières israéliennes dans la périphérie de Jérusalem ou en Judée-Samarie comme un « obstacle » à la paix, mais a parlé d’Israël comme de l’une des « plus impressionnantes démocraties existant sur la terre ».

 
Il ne s’est pas, toujours à la différence de qui vous savez, montré distant envers Binyamin Netanyahou, mais en a parlé comme de son ami, ce qui est logique puisque Mitt Romney et Binyamin Netanyahou sont amis depuis leur jeunesse. Et il a cité deux fois Menahem Begin. La première de cette façon : « nous avons la responsabilité de nous assurer que plus jamais notre indépendance ne sera menacée ». La deuxième fois de cette façon : « si un ennemi du peuple juif dit qu’il veut le détruire, croyez-le sur parole ».

 
Il n’a pas, à la différence encore de qui vous savez, tendu la main vers les islamistes ou vers la République islamique d’Iran, et a au contraire souligné ceci : « Quand les dirigeants iraniens nient l’Holocauste ou parlent de rayer Israël de la carte, seuls ceux qui sont naïfs, ou pire que naïfs, y verront un excès de rhétorique ». Puis : « Il serait insensé de ne pas prendre au pied de la lettre les propos des dirigeants iraniens. Ils sont les produits d’une théocratie radicale ».

 
Il n’a pas proposé de poursuivre les négociations avec le régime des mollahs, et s’est contenté de dire que le régime avait gagné plusieurs années « pour développer ses capacités nucléaires ».

 
Aux fins que les choses soient claires, et après avoir rendu hommage aux « dissidents iraniens » abandonnés à leur sort il y a trois ans, il a précisé : « Il est parfois dit que ceux qui sont déterminés à empêcher le régime iranien d’obtenir des armes nucléaires sont imprudents et incitent à la guerre. C’est l’opposé qui est vrai. Nous sommes les vrais artisans de la paix. L’histoire enseigne avec force et clarté que lorsque les régimes les plus despotiques se dotent des armes les plus destructrices, la paix laisse souvent la place à l’oppression, à la violence ou à une guerre dévastatrice ».

 
Il n’a pas, à la différence de qui vous savez, d’Hillary Clinton, ou de Leon Panetta, demandé à Israël de faire des gestes pour « la paix », et il n’a pas cité une seule fois l’Autorité Palestinienne, tout comme il n’a pas parlé de « processus de paix ». Il a par contre déclaré que l’alliance entre les Etats-Unis et Israël était « bien davantage qu’une alliance stratégique » : « une force pour le bien dans ce monde ».

 
Il a précisé « Nous ne pouvons rester silencieux quand ceux qui veulent déstabiliser Israël font entendre leurs critiques. Et nous ne devons pas nous joindre à ces critiques. La distance diplomatique entre nos pays encourage les adversaires d’Israël ».

 
Sa conclusion : « Aussi longtemps que nous serons unis et debout ensemble, il n’est pas de menace que nous ne pourrons surmonter et rien que nous ne pourrons accomplir ».

 
Et enfin : « Que Dieu bénisse l’Amérique et qu’il bénisse et protège la Nation d’Israël ».

 
Comme si tout cela ne suffisait pas, Mitt Romney n’a pas prévu de faire un détour par Riyad aux fins de faire une courbette de déférence devant le monarque saoudien. Il n’a pas non plus prévu de se rendre au Caire pour serrer la main des dirigeants des Frères musulmans ou pour parler à Al Azhar.

 
Les déclarations de Mitt Romney en Israël ne trouveront aucun écho dans la presse britannique, sans aucun doute. Elles ne trouveront qu’un faible écho dans la presse de gauche américaine.

 
Elles ne trouveront que fort peu de place dans la presse française où on continuera à parler de ses supposées « bourdes » au Royaume-Uni.

 
Mieux vaut sans doute qu’elles ne trouvent que peu de place dans la presse française : elles y seraient charcutées et triturées par les antisémites (pardon, « antisionistes ») de service.

 
Le Nouvel Observateur a noté que Romney avait un « ton agressif » : c’est étrange, je n’ai jamais lu dans Le Nouvel Observateur de phrase disant qu’Ahmadinejad avait un ton agressif…

 
Le Monde a gardé en titre de sa page web du secteur international : « Mitt Romney, champion olympique des gaffes ». Une dépêche de l’AFP cite Saeb Erekat, « négociateur palestinien » quand il parle anglais, et apôtre des attentats suicides lorsqu’il parle arabe cf.www.jihadwatch.org) : « Les déclarations de Romney portent atteinte aux intérêts américains dans la région, à la paix, à la sécurité, et à la stabilité. Ces déclarations sont inacceptables et nous les rejetons totalement ». Saeb Erekat s’y connaît en matière de défense des intérêts américains : c’est un vrai spécialiste de la question.

 
La presse française avait déjà toutes les raisons de détester Romney : il est républicain, conservateur, et il a fait fortune en tant qu’entrepreneur.

 
Elle a davantage de raisons encore de le détester. L’idée qu’il puisse être élu et que ses propos puissent définir la politique étrangère des Etats-Unis doit donner des aigreurs d’estomac dans les salles de rédaction.

 
Tous les candidats à l’élection présidentielle américaine ne peuvent pas être démocrates, venus de l’extrême gauche, liés aux Frères musulmans et au mouvement « palestinien », tous ne peuvent pas être d’anciens agitateurs sociaux et avoir pour amis d’anciens terroristes non repentis. Tous ne pensent pas que l’islam est une religion de paix et d’amour. Tous ne célèbrent pas le ramadan. Tous n’ont pas le profil idéal pour séduire une certaine catégorie de personnes.

 
Les articles désobligeants sur Mitt Romney vont donc continuer à déferler en France.

 
© Guy Millière pour www.Dreuz.info
Le texte complet du discours de Mitt Romney est disponible à cette adresse
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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 12:33


L’adultère est l’un des plus graves outrages portés à un mariage, doublé d’un douloureux rejet du partenaire trompé. Mais il n’est pas nécessaire d’avoir des relations intimes avec qui que ce soit pour se rendre coupable d’infidélité. 

 
L’infidélité émotionnelle est tout autant — voire parfois même plus — destructive à votre mariage. Les couples que je suis sont absolument outrés lorsque je leur fais remarquer qu’ils pourraient parfaitement se rendre coupables d’adultère émotionnel en flirtant avec leurs collègues de travail, en envoyant des e-mails humoristiques à des collègues, ou en traînant avec des membres du sexe opposé lors de réunions. Mais c’est pourtant le cas, et c’est peut-être le vôtre aussi.
Mettre le holà à ce type de relations est la démarche la plus importante que vous puissiez faire pour préserver votre mariage. Le problème n’est pas les conséquences que ces relations pourraient entraîner, mais celles qui ont d’ores et déjà été entraînées, à savoir un détournement de l’attention que vous devriez accorder à votre mariage.
Si vous vous trouvés irrités par ce que j’ai à vous dire, demandez-vous : Pourquoi cela me dérange-t-il tant ? Pourquoi opposez-vous une résistance à cette idée ? Pourquoi ne pas admettre que j’ai raison et opérer certains changements dans votre vie ? Qu’est-ce donc que vous vous évertuez à protéger en maintenant ce type de relations extérieures dans lequel vous êtes actuellement engagés ? 
Si ces relations ne sont pas aussi « destructives » que je l’affirme, parce que vous ne les trouvez pas si importantes que cela et sous prétexte qu’elles ne mènent à nulle part, alors prouvez-le à vous-mêmes en les laissant tomber. Si elles ne revêtent pas tellement d’importance à vos yeux, pourquoi cette irritation quand je vous demande de mettre le holà à ces relations ? Rappelez-vous ce que vous avez toujours attendu de votre mariage et commencez à prendre en considération l’engagement vaste et déterminé qui est absolument impératif à l’élaboration d’un mariage heureux.
Le fait de remettre ses besoins émotionnels principaux entre les mains d’un individu extérieur à son couple brise les liens du mariage au même titre que le fait l’adultère.
La plupart d’entre nous ne tomberons pas amoureux dans l’espace virtuel et pourtant nous ne sommes pas opposés à partager un autre type d’espace avec nos amis du sexe opposé. Nous discutons de nos soucis, nous exprimons nos problèmes et réglons nos désaccords avec nos collègues de travail. Nous bavardons avec nos amis et voisins. 
Quel mal y a-t-il à ce qu’un homme ait une amitié platonique avec une femme quand aucun d’entre eux n’est marié. Assurément, toutes les amitiés ne se transforment pas en liaisons amoureuses. Et pourtant, nous oublions le tort émotionnel causé par une amitié avec une personne extérieure à notre mariage lorsque cette même énergie peut être utilisée pour nous rapprocher de notre propre conjoint. Le mariage consiste à se lier avec un membre du sexe opposé avec une intimité qui n’est ressentie avec personne d’autre.
Lorsqu’un conjoint remet ses besoins émotionnels principaux entre les mains d’un individu extérieur à son couple, cela brise le lien du mariage au même titre que l’adultère.
LE TEST DE L’INFIDELITE EMOTIONNELLE
Examinez vos propres relations et répondez aux questions suivantes :
  • Quand vous entendez une blague amusante ou un ragot juteux, le racontez-vous d’abord à vos collègues ? Une fois arrivé chez vous, l’avez-vous ruminé tant de fois au bureau que vous n’avez plus le courage de le répéter à votre conjoint ?
  • Discutez-vous de vos problèmes de travail (ou toutes questions en rapport avec du bénévolat ou toute activité importante à laquelle vous vous consacrez) de manière si approfondie avec vos collègues que vous sentez avoir épuisé le sujet une fois de retour à la maison ? Avez-vous l’impression que cela prendra trop longtemps de répéter toute l’histoire depuis le début à votre conjoint ?
  • Sortez-vous déjeuner ou prendre un pot après le travail avec des membres du sexe opposé ?
  • Appréciez-vous le flirt inoffensif (selon votre définition) avec un membre du sexe opposé lors d’un cocktail ?
  • Pensez-vous que l’excitation émotionnelle provoquée par le flirt avec un membre du sexe opposé soit bénéfique à votre mariage ? Pensez-vous qu’elle vous aide à comprendre ce que vous aimeriez recevoir de plus de la part de votre conjoint ? Vous dites-vous que la poussée d’hormones que vous procure le badinage confère plus de vitalité à votre mariage ?
  • Passez-vous autant de temps à choisir le « cadeau idéal » pour un collègue du sexe opposé que vous ne le faites pour votre propre conjoint ?
  • Discutez-vous de sujets intimes à propos de vous-même ou de votre mariage avec un membre du sexe opposé ?
Si vous avez répondu par la positive à l’une de ces questions, c’est le signe que vous émotionnellement infidèles à votre conjoint. Vous n’avez qu’une dose limitée d’énergie. Si vous la dépensez avec vos collègues de travail ou à l’extérieur de la maison et qu’une fois chez vous, vous vous sentez trop fatigué(e) pour en consacrer davantage à votre conjoint, vous êtes coupables d’infidélité émotionnelle. Vous êtes tout bonnement en train de rediriger l’énergie vitale de votre mariage entre les mains d’autrui. Oubliez les conséquences désastreuses auxquelles cela pourrait conduire. Même si vous ne touchez jamais cette autre personne, vous avez tout de même utilisé cette personne pour établir un rapport, et par ce faire, vous vous êtes distancié(e) de votre conjoint.
En lisant ces lignes, il se peut que vous secouiez la tête en signe de désaccord. Mais j’ai passé des années à aider des couples en détresse à rediriger leurs énergies l’un envers l’autre et, croyez-moi, cela a immédiatement transformé leur mariage. Mettez un terme à toutes ces relations extérieures, consacrez toute votre énergie émotionnelle et sexuelle à votre conjoint, et à votre tour, vous transformerez votre couple du tout au tout.
L’EXCLUSIVITE : UN BESOIN LEGITIME
La première étape dans la constitution d’un mariage heureux consiste à fermer notre vision périphérique aux autres afin de pouvoir se concentrer exclusivement à notre conjoint.
Nous semblons honorer cet engagement de manière intuitive lorsqu’une tragédie s’abat. Récemment, il y eut un mariage inoubliable dans ma communauté. Après les fiançailles, on diagnostiqua chez le fiancé un mélanome malin qui mettait sa vie en danger. Le mariage fut repoussé et la fiancée de vingt ans s’installa chez ses futurs beaux-parents pour les aider à prendre soin de son amour tout au long des opérations chirurgicales et des traitements de chimiothérapie subséquents. Il n’y avait pas beaucoup d’yeux secs parmi l’assemblée lorsque ces deux jeunes tourtereaux, bien mûrs pour leur âge, unirent publiquement leurs destinées par les liens du mariage.
Si un conjoint devient physiquement handicapé, notre culture s’attend à ce que le conjoint en bonne santé déploie toute son énergie pour se tenir aux côtés du partenaire invalide, démontrant ainsi la force de son engagement et de son attachement. Pourquoi faudrait-il attendre que cet engagement extrêmement vertueux se manifeste seulement après la tragédie ?
Le seul moyen de garantir la solidité de votre mariage est de le placer invariablement au premier plan de vos priorités.
Je reconnais que certains trouveront ma conception de l’isolation maritale archaïque et irréaliste. Et pourtant, nous n’hésitons pas à appliquer cette même logique à de nombreux domaines de la vie. Si nous montions une affaire, par exemple, nous comprendrions le besoin de mobiliser toute notre attention sur elle. Si nous montions deux affaires simultanément, notre entourage compterait les minutes jusqu’au moment où nous ferions faillite. Si nous fondions une famille, nous nous sentirions obligés de concentrer notre attention sur notre enfant. Il ne nous viendrait même pas à l’idée de passer de longs moments seul avec un autre enfant. 
Nous saurions qu’il est injuste de limiter le temps passé avec notre propre enfant en faveur d’un autre enfant qui semble plus « rangé » que le nôtre. En tant que parent, vous comprendriez votre obligation de déceler les aspects de votre enfant que vous aimez et d’apprendre à vous concentrer sur ces domaines dignes d’éloge. Vous vous mettriez en quête d’activités qui feront ressortir le meilleur côté de votre enfant et de vous-même.
Le mariage exige un même niveau d’engagement pour développer une relation aimante et épanouissante. Nous ne pouvons pas nous diviser en plusieurs directions sans que notre mariage perde de son intensité. Notre énergie est d’ores et déjà divisée entre nos boulots, nos enfants et nos enfants. Le seul moyen de garantir la solidité de votre mariage est de le placer invariablement au premier plan de vos priorités. Ce n’est pas parce que nous vivons dans un monde « éclairé » en perpétuel changement que nous devrions éliminer des concepts conjugaux sains pour la bonne raison qu’ils semblent dépassés.
METTEZ L’ACCENT SUR VOTRE MARIAGE
Quand vous faites le choix de vous engager sérieusement l’un envers l’autre, vous vous heurtez à un immense obstacle : les gens qui vous entourent ne comprennent pas ce que signifie l’engagement. Ils ne savent pas que vous prévoyez sincèrement de passer le restant de votre vie avec votre conjoint. Non, vous ne voulez pas passer votre existence dans la douleur et la misère. Mais un mariage ne révèle sa magie que si vous apprenez à être présent pour l’autre contre vents et marées. 
Quand vous savez que quand bien même vous vous trouvez au creux de la vague, votre conjoint passera affectueusement ses bras autour de vous et vous fera serment de son amour éternel, alors vous êtes mariés pour l’éternité. Si nous parvenons simplement à bannir ce besoin impérieux de trouver ce type d’amour à l’extérieur de notre relation conjugale, nous serons forcés de déployer tous nos efforts dans le plus grand bien que nous avons à notre actif : notre mariage. Si vous sentez qu’il vous manque ce « quelque chose de spécial » avec votre conjoint, efforcez-vous de trouver le moyen de créer un nouveau lien avec votre conjoint plutôt que de vous rabattre sur un ami du sexe opposé pour satisfaire ce besoin.
De nombreuses personnes m’ont confié que se lier d’amitié avec des membres du sexe opposé ne revêt aucun danger dans leur propre cas car cela ne les conduirait jamais à l’adultère. Avoir une liaison extraconjugale est loin d’être le seul problème. En réalité, à chaque fois que vous ressentez cette secousse d’excitation à travers un moment stimulant passé avec une personne du sexe opposé, vous grugez miette par miette la qualité de votre mariage. C’est dangereux pour votre mariage non pas seulement parce que cela pourrait conduire au sexe. 
Mais aussi, et surtout, parce que cela draine votre mariage de l’énergie considérable dont il a besoin pour fleurir : l’énergie de flirter avec autrui, d’être émotionnellement stimulé par un autre point de vue, de partager votre enthousiasme avec une personne qui désire en apprendre plus sur vous. Quand vous dirigez vos énergies émotionnelles ailleurs, alors sans même vous en rendre compte, vous privez, votre conjoint de l’opportunité de vous procurer cette même secousse d’excitation que vous recherchez ailleurs.
Concentrez-vous de nouveau sur celui ou celle que vous avez épousé et sur la marche à suivre pour obtenir ce que vous attendez de ces autres relations de votre propre mariage. Limitez vos relations extérieures aux membres du même sexe et conservez l’ « alchimie » entre vous et votre conjoint.
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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 07:53

Dans l'histoire des Jeux, certains sportifs se sont illustrés dans la défaite... et parfois le ridicule.

Le Britannique Eddie "l'aigle" Edwards s'était illustré en 1998 aux JO d'hiver de Nagano en réalisant les records des sauts à ski les plus courts.
Le Britannique Eddie "l'aigle" Edwards s'était illustré en 1998 aux JO d'hiver de Nagano en réalisant les records des sauts à ski les plus courts. © Georges Schneider / 

 
En 1988, une équipe de bobsleigh jamaïcaine participe aux Jeux olympiques de Calgary. À quelques virages de la ligne d'arrivée, le bobsleigh se retourne et les sportifs feront la fin du parcours à pied sous l'acclamation du public. L'image fait le tour du monde et fera l'objet d'un film culte : Rasta Rocket
En 2000, aux JO de Sydney, Éric Moussambani, nageur de Guinée équatoriale, termine un 100 mètres nage libre en 1 min 52 s, soit deux fois plus que ses concurrents. Le sportif avait appris à nager huit mois auparavant et s'était fait prêter un maillot de bain juste avant l'épreuve. Grand moment de télévision.
En 2002, à Salt Lake City, Steven Bradbury obtient l'or en short track (patinage de vitesse). En demi-finale, il se qualifie grâce à une chute de ses concurrents. L'Australien réitère "l'exploit" en finale. Opportuniste, il contourne un carambolage de patineurs à quelques secondes de la fin et s'impose, les bras levés vers le ciel. Son nom entre dans le langage courant : "Faire une bradbury !"
En 2002, aux Jeux olympiques d'hiver, Ighina Boccalandro chute sévèrement dans une épreuve de descente de luge. Surnommée "la loutre" par l'animateur Arthur, l'athlète de nationalité vénézuélienne atterrit sur la rambarde de la piste. La vidéo de sa mésaventure est tout bonnement hilarante.
En 2010, aux Jeux olympiques de Vancouver, Marion Rolland est annoncée comme l'une des favorites du ski alpin. Lors de la finale féminine de descente, elle commet immédiatement une faute de carre et chute quelques mètres après s'être lancée. Les commentaires sportifs enfoncent le clou en listant toutes les qualités de la sportive, quelques secondes avant qu'elle ne parte. Tristement célèbre...
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30 juillet 2012 1 30 /07 /juillet /2012 19:36
Freddy, Viviane venez ce soir manger le hlalem aux saucisses piquantes, préparé par votre serviteur et chef cuisinier de haute classe : Nathan, surnommé Vivi.
Les pâtes, elles ont été pétries par la maîtresse de maison, la seule et l’unique, Gisèle Bouhnik, selon la recette qui est passée de mère en fille depuis mille générations, d’après la coutume Tunisienne.
Pourquoi cuisiner ces pâtes de nos jours, ou on n’a pas le temps de se gratter la tête ?
Eh bien ! Voila : Gisèle ayant subit une opération dans la plante du pied, a été obligée de se tenir tranquille dans un fauteuil, avec la jambe relevée. Rester tranquille et bien sage, n’est pas du vocabulaire de ma belle soeur. (Ma parole, mon frère Camus tombe toujours sur des panthères.)
Alors elle me demande de la semoule (1/2 kilo), de la farine (1 poignée), 1/2 verre d’huile, de l’eau selon les besoins de la pâte et un tamis. Pas de sel. Elle pétrit et produisant des lacets de pâte, elle les transforme en petits bouts de 1cm et demi, en pressant du pouce et de l’index dans un mouvement virevoltant. Quand c’est prêt elle me demande de laisser sécher au soleil, sur les tamis... Pendant ce temps la, mon frère trottine sur les sentiers de Gimont et bat le foin, et monte sur des échelles et tombe sur une tigresse, et puis tombe d’une échelle. (Voir les aventures de Camus dans Tunecity : Gimont, Eden).
Les saucisses (merguez) proviennent de la boucherie de M. Guez au marché. 

— M. le père Guez, je lui demande, avez vous des merguez ? 
— Bien sur ! C’est pour frire sur le poêle ? 
— Non, c’est pour ajouter au hlalem, ces pâtes préparées à la maison. 
— Hlalem ? Cela fait des années que je n’ai pas entendu ce mot. Tenez les saucisses sont a mon compte, et j’apporterai le vin aussi. Ce soir je dîne à votre table. 
— Soyez les bienvenus, vous et votre dame. La maison Bouhnik est ouverte à tous ceux qui ont la nostalgie de la cuisine Tunisienne.}
Le père Guez et la mère Guez se sont ainsi invités chez nous, ce soir. (Ceci est un ajout spirituel de Camus : c’était pour rire, le père et la mère Guez n’existent pas, leur vrai nom c’est S...)
Voici la recette des pâtes hlalem.
Les ingrédients :
250 gr de pâtes
1 grand oignon haché
1/2 verre de lentilles vertes
2/3 de verre de pois chiches (les mettre dans l’eau une journée a l’avance, surtout pas de bicarbonate, vous en connaissez les conséquences), sinon pas de câlins le soir du hlalem
1/2 verre de févettes (il est préférable de bien nettoyer les lentilles, févettes et pois chiches, si vous ne voulez pas tant pis, à vos risques et périls)
1 cuillérée a soupe de paprika piquante pour les amateurs de cuisine tunisienne
2 ou 3 tomates, râpées ou bien coupées en quatre.
1 cuillérée a soupe d’extrait de tomates
Sel selon les gouts
3 cuillérées à soupe d’huile
1 piment vert nettoyée et ouvert
4 merguez - ou plus si vous êtes gourmands - coupés en morceaux
Préparation :
Chauffer l’huile dans la marmite, faire revenir l’oignon, ajouter la paprika, remuer, joindre l’extrait de tomates, remuer, évaporer et ajouter les tomates râpées. (Moi je les aime râpées, mais ce n’est pas obligatoire, vous pouvez les couper en quatre). Après l’évaporation ajouter les féculents et les recouvrir d’eau bouillie. Et s’il manque de l’eau, l’ajout doit être de l’eau bouillie.
Après la cuisson des féculents (si la cuisson a été préparée a l’avance faires venir a ébullition), puis ajouter les pâtes hlalem, le piment et le sel, les quatre merguez divisés. La cuisson terminée laisser les pâtes absorber les liquides pendant une demi heure et servir. N’ayez crainte le hlalem ne refroidit pas de sitôt.
Je vous conseille de manger ce repas en plein air, des fois il nous fait transpirer dans une pièce fermée. En hiver c’est épatant.
 

http://harissa.com/news/article/le-hlalem-aux-merguez-par-vivi-il-diavolo
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30 juillet 2012 1 30 /07 /juillet /2012 18:51


L'humour juif est né le 3 juillet 1661


L’info fera sans doute plaisir à, entre autres, Woody Allen et Jerry Seinfeld, qui pourront cocher la date sur leur calendrier pour en célébrer très bientôt le 350e anniversaire: selon Mel Gordon, un universitaire de Berkeley (Californie) dont les travaux sont relayés par la Jewish Telegraphic Agency, la naissance de l’humour juif pourrait être précisément datée du 3 juillet 1661, jour d'un important édit rabbinique.


Selon cet auteur, l’humour juif, avec son mélange de sarcasme et de noirceur, ne s’explique pas directement par l’histoire du peuple juif:


«Tout le monde dit que les Juifs sont drôles parce qu’ils ont tellement souffert. C’est ridicule. Vous pensez que le reste du monde n’a pas souffert? Les Arméniens, les Biafrais, les Indiens d’Amérique? Aucun d’entre eux ne sont réputés pour leur humour.»


«Nous sommes drôles à cause du badkhn», résume Gordon. Le badkhn? «Un cruel bouffon de la culture juive d’Europe de l’Est», explique l’article, dans lequel Gordon se souvient avoir vu ce comique «ivre dans les cimetières» dans son enfance. La mission de ce comique ancestral était notamment de se moquer des mariés lors d’une cérémonie: «Son humour était mordant, souvent vicieux. Il disait d’une mariée qu’elle était horrible, faisait des blagues sur la mère morte du marié et bouclait le tout en se moquant des invités pour avoir apporté des cadeaux sans valeur», écrit la JTA.


«Le seul survivant des comiques juifs»


En 1661, une décennie après d’importants pogroms en Europe de l’Est, les principaux rabbins de Pologne et d’Ukraine se réunissent «pour débattre de la cause des malheurs du peuple juif» et en concluent que celui-ci est «puni par Dieu». Ils décident alors d’interdire les différents types de comiques juifs, à l’exception du badkhn:


«Gordon raconte qu’un rabbin a demandé à ses collègues ce qu’il en était du badkhn. Selon lui, il n’était pas vraiment drôle, plutôt grossier. Les anciens se sont mis d’accord et l’ont exempté. [...] Avant les années 1660, le badkhn était le moins populaire des comiques juifs. Après, il en était le seul survivant.»


En 2010, Mel Gordon a sorti avec un autre auteur, Thomas Andrae, un livre intitulé Funnyman: The First Jewish Superhero, où il raconte l’histoire de Funnyman, un super-héros créé en 1948 par les auteurs de Superman et qui combattait le crime grâce à ses blagues. Publishers Weekly, qui consacrait un article au livre, expliquait à l’époque que Gordon attribuait une grande importance au personnage du badkhn dans la création de Funnyman.


En 1995, le San Francisco Chronicle consacrait un article aux recherches de Gordon où celui-ci parlait déjà de l’importance du badkhn:


«J’ai cette théorie du badkhn selon laquelle les Juifs avaient seulement le droit de pratiquer cet humour très amer et agressif, qui au XXe siècle est devenu internationalement accepté.»


http://harissa.com/news/article/l%E2%80%99humour-juif-est-n%C3%A9-le-3-juillet-1661 
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30 juillet 2012 1 30 /07 /juillet /2012 11:38


 
Le chaos semble se préparer en Syrie sans qu’aucune solution ne soit visible à court terme, sinon le spectre d’une guerre civile. Le peuple, qui s’est soulevé pour une amélioration de son sort, semble le véritable perdant d’un soulèvement sanguinaire. Mais le sort d’une autre communauté n’est pas enviable, celle des réfugiés palestiniens qui, contrairement à leurs semblables dans les autres pays arabes, bénéficiaient pourtant en Syrie de droits alloués bien avant l’arrivée au pouvoir du régime d’Assad.  
 



A l'origine du l'idéologie du Baas

Siège du parti Baas


Doués d’une culture politique exceptionnelle, ils ont aidé le parti Baas à mettre en place une idéologie nationaliste arabe. Ils ont reçu en échange un appui permanent à leur cause avec un soutien sans faille au Hamas et au Hezbollah. Mais cette proximité avec le régime syrien risque aujourd’hui de se retourner contre eux. Ils pourraient subir la même vindicte que les 30.000 palestiniens d’Irak qui, à l’arrivée des américains, ont perdu leur statut de réfugiés et ont été soumis à des exactions  collectives. Dans la guerre civile syrienne qui se dessine, ils seront sans aucun doute des boucs émissaires.

Manifestation en juin 2011 au Golan

 
Les palestiniens avaient une liberté totale d’action et organisaient librement leurs manifestations dès lors où ils ne s’en prenaient pas au régime en place. Les révolutions en Tunisie et en Égypte ont poussé les jeunes à inventer «la révolution des réfugiés» en mai 2011, inaugurée par une marche symbolique vers Israël. Certains ont alors réussi à traverser la frontière pour parvenir à la ville druze de Majdal Shams, au Golan.
 
Les israéliens n’avaient pas cherché à répondre à cette provocation dont la signature conjointe était estampillée Iran, Hamas et Hezbollah. Ils ont cependant accusé les autorités syriennes d’avoir officiellement autorisé cette marche. Mais Tsahal ne pouvait pas permettre la réédition de tels troubles sans réagir. Ainsi en juin 2011 au moins 23 manifestants syriens et palestiniens, qui approchaient de la frontière avec Israël pour la commémoration de la défaite de la Guerre des Six-Jours, ont été tués. La radio israélienne a expliqué qu’un grand nombre de ces manifestants ont, en fait, été victimes d’une des mines antichar nombreuses dans la région de cette frontière.
 
Meurtres suspects

        Les cortèges funéraires ont été l’occasion de fusillades dans le camp de Yarmouk, banlieue de Damas, où les manifestants se sont pris au quartier général du FPLP (Front populaire pour la libération de la Palestine), groupe dissident du FPLP soutenu par l’Autorité, entrainant de nouvelles pertes palestiniennes.
 
        Mais la question primordiale des palestiniens est le choix du camp à soutenir. Les avis sur leur soutien réel divergent surtout quand il est difficile d’appréhender une information confirmée. Certains milieux cherchent à envenimer les relations syro-palestiniennes dans un intérêt nébuleux. D’ailleurs, déjà en mars 2011, le journal syrien Al-Watan, dirigé par Rami Makhlouf, cousin du président Assad, pointait du doigt les «extrémistes palestiniens» qui à Deraa ont appuyé le soulèvement en se livrant «au vandalisme, à des émeutes, des pillages et des incendies». Il apporte ainsi la preuve de l’implication probable des palestiniens dans les troubles.
 
Les palestiniens réfutent ces accusations et prétendent que les exactions sont plutôt le fait de syriens, vivant près du camp de Deraa et déplacés depuis le Golan et ayant les mêmes problèmes de subsistance économique qu’eux. En effet de nombreux syriens pauvres vivent à la limite de ces camps palestiniens et la frontière entre ces deux communautés reste floue. Par ailleurs les palestiniens subissent la loi du plus fort en l’absence de leaders locaux charismatiques. Ils se sentent complètement isolés et vivent dans une situation précaire.
 
Neutralité
 
Les palestiniens s’affichent résolument neutres dans ce conflit où ils ont beaucoup à perdre. Ils sont au contraire victimes de la situation puisque l’UNRWA a du mal à apporter ses services dans les villes où les combats font rage, à Deraa et à Lattaquié et Homs. Ils savent qu’ils risquent à nouveau d’être déplacés, encore une fois.
 
Le Hamas a fait preuve de beaucoup d’opportunité politique en ne prenant pas position. Son leader basé à Damas, Khaled Mechaal, a exigé le silence de ses membres. Dans une volonté de ménager la chèvre et le chou, il souhaitait, dans une interview à Al Jazeera en décembre 2011, une réforme dans le pays tout en confirmant qu’il restait fidèle au régime syrien qui a toujours soutenu son mouvement durant de longues années. Ismaël Haniyeh, le leader de Gaza, a confirmé cette politique de neutralité dans une conférence à la mosquée Al-Azhar du Caire en février 2012.

Abbas, Mechaal et Haniyeh

 
Les palestiniens se trouvent confrontés à leurs intérêts politiques et économiques et aux risques qu’ils courent en Syrie. Ils sentent en permanence au dessus de leur tête l’épée de Damoclès d’une nouvelle expulsion vers des horizons plus menaçants.  Ils souffrent par ailleurs économiquement, autant que les syriens, car le pays subit des sanctions économiques qui ont fait de l’effet. Une inflation galopante, une augmentation des prix et la mise en faillite de patrons de PME sont la conséquence directe de l’action de l’Union Européenne. Par ailleurs, les palestiniens vivent en majorité dans la région de Damas, la plus soumise aux actions militaires.  

Loyauté


Mais on conteste leur loyauté. Certains syriens n’hésitent pas à diffuser des vidéos qui mettent en scène des manifestions où les palestiniens sont impliqués ou compromis sans qu’il soit possible d’en mesurer la véracité. Alors ils sont soumis à des exactions.
 
Des voitures explosent dans les camps palestiniens et certains cadres de l’ALP (armée de libération palestinienne), une brigade incluse dans l’armée syrienne, ont été mystérieusement assassinés. Seize soldats de l’ALP du camp Neirab à Alep ont été tués.
Kamal Ghanaja
 
Kamal Ghanaja, cadre militaire du Hamas, a été assassiné alors que seule une poignée de militants connaissait la réalité de son existence et de ses fonctions. Ses dossiers ont été volés et sa maison incendiée. Certains membres de la direction du Hamas avancent l’hypothèse d’un «accident», tandis que d’autres évoquent la piste du Mossad dans cet assassinat comme il l’avait impliqué pour l’élimination d’Al Mabhouh à Dubaï. Simultanément à ces actions personnelles, un bombardement du camp de Neirba a entrainé la mort de quatre palestiniens. 
 
Ces incidents graves prouvent que le sort des palestiniens est incertain en Syrie et qu’ils n’ont nulle part où aller, si d’aventure ils étaient soumis à une expulsion. Les jordaniens refusent de les accueillir mais sont prêts à instituer une zone tampon à leur frontière, en Syrie, pour accueillir les réfugiés de plus en plus nombreux à chercher à rejoindre la Jordanie. Ceux qui parviennent à franchir la frontière parlent du camp de Bashabsha comme d’un camp de concentration pour palestiniens. 

Réfugiés syriens à la frontière jordanienne
Les jordaniens comprennent les risques qu’ils prennent pour leur régime avec cet afflux de palestiniens dont certains avaient été expulsés en 1970 à la suite du fameux Septembre Noir. Ils refusent l’accueil en masse des palestiniens de Syrie. D’ailleurs ceux qui la traversent illégalement sont souvent renvoyés ou au mieux, enfermés dans le camp de «Cyber City», près de la ville frontalière du nord Al-Ramtha qui n’a rien à envier à un camp de détention concentrationnaire.
 
Les réfugiés palestiniens voient les portes de leurs «frères» arabes se fermer. La sollicitude n’est pas la qualité des riches arabes lorsqu'ils côtoient la détresse des autres. Bien sûr, la responsabilité d’Israël sera à nouveau invoquée puisque la plupart des palestiniens de Syrie sont les descendants de ceux qui ont fui Haïfa et Acco en 1948. Mais les potentats arabes, assis sur leurs tas d’or, à la tête de pays aux espaces immenses dépeuplés, ne veulent pas bouger le petit doigt de crainte d’être emportés par ces révolutionnaires arabes modernes. Ils préfèrent investir dans les joyaux industriels occidentaux. A n’en point douter, les palestiniens seront les grands perdants du conflit syrien.
 
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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 20:00
Les 11 athlètes israéliens assassinés par les terroristes arabes lors des JO de Munich en 1972
Les Jeux Olympiques de Londres ont commencé le 27 juillet. Ils seront au centre de l’attention des grands médias et de centaines de millions de gens jusqu’au milieu du mois d’août. On comptera les médailles. Les Français suivront les Français. Les Américains suivront les Américains. Les Russes suivront les Russes et ainsi de suite. On parlera des idéaux olympiques et du baron de Coubertin. 
Je dois le dire : je m’intéresse peu au sport. Et je m’intéresse moins encore aux Jeux Olympiques. J’y vois, à chaque fois qu’ils ont lieu une forme de jeux du cirque des temps modernes. Une grande distraction qui détourne les populations des vrais problèmes du monde. J’y vois, souvent, l’exaltation de formes plus ou moins étriquées de nationalisme, et je n’ai jamais compris la fierté qu’un pays entier pouvait porter à quelqu’un qui saute plus haut ou qui court plus vite : c’est, à chaque fois, un individu qui court et qui saute et qui s’est entraîné pour cela, et le pays n’a que fort peu à voir dans l’affaire.
Cette dimension nationaliste a, qui plus est, servi de nombreuses fois à cacher le pire ou à lui servir de façade : peut-on oublier que les Jeux de 1936 ont été, ainsi, un moment conçu pour la plus grande gloire du Troisième Reich et d’Adolf Hitler en un moment où celui-ci mettait en place l’emprise totalitaire qui allait déboucher sur une guerre mondiale et sur la shoah ?
Les 11 athlètes israéliens assassinés par les terroristes arabes lors des JO de Munich en 1972
Les 11 athlètes israéliens assassinés par les terroristes arabes lors des JO de Munich en 1972

Peut-on laisser de côté que les Jeux de Pékin en 2008 se sont accompagnés d’une répression exacerbée vis-à-vis des dissidents chinois et ont permis d’occulter opportunément les crimes perpétrés au Tibet ?
Les Jeux de Moscou ont été, en 1980, boycottés par une cinquantaine de pays, sous l’instigation du Président Carter : c’est l’une des rares décisions qu’on peut porter à son crédit, dont acte. Se rendre à Moscou au moment de l’invasion de l’Afghanistan et de diverses offensives soviétiques sur trois continents a été, pour les pays qui l’ont fait, un acte de complicité. Le boycott par l’Union Soviétique et ses alliés des Jeux de Los Angeles, quatre années plus tard, a montré que le coup avait porté : on peut regretter que d’autres coups n’aient pas été portés.
La dimension nationaliste est, ajouterai-je, souvent allée de pair avec une dimension politique et propagandiste qui, dans les pires cas, a pu transformer l’athlétisme en une foire aux monstres : les nageuses d’Allemagne de l’Est sont, là, bien placées pour servir d’exemple.
Nous sommes, me dira-t-on, dans une époque post-totalitaire où il n’existe plus guère de régime totalitaire et où les derniers régimes répréhensibles sont à même d’évoluer positivement si on les entraîne vers un élan de fraternité universelle, et cela peut être le rôle des Jeux aujourd’hui.
Qu’on me permette de balayer l’argument. Pour une raison très précise.
La plus grande et la plus extrême violation de l’idéal prétendu des Jeux Olympiques a eu lieu à Munich en 1972, avec la prise d’otage d’athlètes et d’entraîneurs israéliens par des terroristes arabes : cette prise d’otage s’est achevée par douze morts, onze Israéliens et un policier allemand (je ne compte pas parmi les morts les terroristes arabes, qui se sont exclus de l’humanité en faisant ce qu’ils ont fait). Les Jeux de Munich ont été menés à leur terme, comme si de rien n’était ou presque.
Aucun hommage, aucun acte de mémoire n’a été organisé en souvenir de cette atrocité : ni en 1976 à Montréal, ni en 1980 à Moscou, bien sûr (l’Union Soviétique était alors le principal financier du terrorisme arabe), ni en 1984 à Los Angeles, ni en 1992 à Barcelone, ni en 1996 à Atlanta, ni en 2000 à Sidney, ni en 2004 à Athènes, ni en 2008 à Pékin. Les Jeux ont fait, pendant quarante années, le tour du monde en pratiquant l’amnésie et en foulant aux pieds la mémoire des morts de 1972. Il en est allé de même cette année à Londres.
Les présidents du Comité international Olympique ont longtemps été des antisémites notoires et des gens aux sympathies très douteuses. Depuis que Juan Antonio Samaranch a cédé la place, il a été dit que son remplaçant, Jacques Rogge, était plus présentable. Je ne sais si c’est le cas, mais le fait est qu’il existe un lobby qui était prêt à boycotter les Jeux de Londres si un hommage avait lieu : le lobby constitué par le monde islamique.
Le lobby islamique a obtenu gain de cause, et les Jeux de Londres seront donc des Jeux placés sous son ombre portée. On y voit même une délégation d’un pays censé être appelé « Palestine » (discipline sportive, le tir à balles réelles sur des enfants ? le lancer d’explosifs ?).
Bien que placés sous l’ombre portée du lobby islamique, on pourrait sourire avec tristesse en songeant que les Jeux sont néanmoins sous la menace d’attentats terroristes islamiques, ce qui implique une mobilisation policière sans précédents. Les responsables des Jeux ont choisi le déshonneur. Ils ont le déshonneur, et ils ont quand même les menaces.
Jeux du cirque, écrivais-je.

 
Article publié sur les 4verites.com
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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 14:55



La nouvelle est tombée pendant la semaine. Dans un silence total. Peut-être est ce parce que la décision prise est trop ahurissante pour être diffusée. Et pourtant, l’Union européenne en a décidé ainsi : le Hezbollah ne peut pas être inscrit sur la liste des organisations terroristes, en raison du « manque de preuves prouvant les accusations à son encontre »…Les attentats contre les militaires français, les milliers de roquettes lancées contre des cibles civiles en Israël ne sont pas des preuves suffisantes.



Si l’on comprend en réalité la volonté de l’UE de ne pas perturber le jeu politique libanais, cette décision ne peut être, d’un point de vue éthique, que condamnée.

Hassan Nasrallah, leader de cette milice shiite qui a probablement ordonné l’attaque contre un bus de touristes israéliens à Burgas, a un jour déclaré : « nous avons découvert le point qui fait le plus mal chez les Juifs. Les Juifs aiment la vie. C’est donc ce que nous allons leur ôter. Nous allons gagner parce qu’ils aiment la vie et nous aimons la mort ».

Entre éthique et realpolitik. Les nations cherchent la « stabilité régionale » pour ne perturber leurs intérêts au Moyen-Orient. Israël, lui, a à sa charge la survie du peuple juif face à des fous qui ont juré sa disparation. A des dangereux, comme les leaders du Hamas qui ont ouvertement récemment déclaré : « après les Allemands, c’est au tour de la Nation islamique de punir les Juifs ».

Israël ripostera donc à l’attaque de Burgas. Il y aura des morts. Du sang. Peut-être aussi des victimes innocentes qui auront eu pour seul tort d’être aux côtés des terroristes visés.
Le monde condamnera, criera au scandale. Les rues de Paris se rempliront de manifestants pro-palestiniens qui déverseront leur haine anti-israélienne. Les mêmes qui aujourd’hui se taisent et n’organisent aucune manifestation de masse contre le président Assad alors même que celui-ci a déjà tué plus de 19.000 de ses citoyens. A titre de comparaisons, la mort des neufs passagers de la flottille turque de mai 2010 tués par Tsahal avait poussé des meutes de personnes à s’indigner et à manifester…

Victime du cynisme de l’Union européenne, Israël est donc, une nouvelle fois, seul face à son destin, face aux menaces.

Un jour viendra, peut-être pas si lointain, où des avions de l’armée de l’air décolleront de quelque part dans le pays à destination de Damas, de Beyrouth ou de Téhéran. Un jour viendra, peut-être pas si lointain, où ces avions bombarderont des centrales nucléaires ou des entrepôts d’armes chimiques.

Le monde alors se lèvera et condamnera Israël. Ce jour-là, il faudra rappeler au monde qu’il a laissé seul Israël lorsqu’Israël avait besoin de lui. 


http://www.guysen.com/articles.php?id=18189&art_mail=1 

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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 14:36


Par l'entremise de l'UNESCO, l'Autorité Palestinienne et le monde musulman en général, mettent la main sur les hauts-lieux de la Chrétienté, une manière de planter le drapeau islamique et de prendre "leur héritage" : "Il (Allah) vous a donné en héritage leur pays (des incroyants), leurs habitations, leurs biens et une terre que vos pieds n'ont jamais foulée" (sourate XXXIII, verset 27)


L'UNESCO offre à l'Autorité Palestinienne une superbe possibilité 1) d'ôter des mains de la Chrétienté un site historique symbolique, la Basilique de la Nativité à Bethléhem, lieu symbolique de la naissance de Jésus, 2) d'accuser Israël qui soi-disant menace ce site et empêcherait les pèlerins d'y accéder.


L'UNESCO, organisation non-politique, prouve encore une fois sa complicité avec les nations islamiques, démontrant au passage son caractère antisioniste. Cela contribuera en tout cas à détériorer encore plus les fragiles relations entre l'AP et Israël.   


En inscrivant le site de l'église de la Nativité de Bethléem au Patrimoine mondial, l'UNESCO a usé d'une procédure d'urgence qui a suscité une vive protestation d'Israël, lors d'une session à Saint-Pétersbourg. Les Palestiniens, entrés à l'Unesco en octobre 2011 au terme d'un vote qui avait provoqué la colère des Israéliens et des Américains, ont demandé cette procédure en arguant du "délabrement et de la dégradation de l'ensemble architectural", notamment du fait des "forces d'occupation" israéliennes.


Réponse d'Israël


Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a qualifié de "politique" vendredi la décision de l'Unesco d'inscrire la basilique de la Nativité de Bethléem au Patrimoine mondial, selon un communiqué de son bureau. "Cette décision prouve que l'Unesco est mue par des mobiles politiques et non culturels. Plutôt que de progresser vers la paix, les Palestiniens procèdent par des démarches unilatérales qui éloignent la paix", a-t-il affirmé dans son communiqué.


"Il faut se souvenir que la basilique sanctifiée par la chrétienté a jadis servi de base à des terroristes palestiniens", a-t-il ajouté. Bibi faisait ainsi allusion à un épisode de la Seconde Intifada palestinienne en 2002, durant lequel l'armée israélienne avait assiégé pendant 40 jours la basilique où s'étaient retranchés des Palestiniens armés.


Ainsi Israël a affirmé n'avoir "aucune objection" à l'inscription du site au Patrimoine mondial, mais a contesté le recours à la procédure d'urgence, estimant que c'était "une façon de laisser entendre qu'Israël ne protégeait pas le site". 


En avril 2002 : de l'or et des crucifix volés par des Palestiniens...


Il suffit de lire ce reportage sur la prise en otage de la Basilique de la Nativité en avril 2002 pour comprendre combien Israël a été une protection pour la Basilique... et non le contraire : "Trois moines arméniens, pris en otage par des hommes armés palestiniens à l'intérieur de l'Eglise de la Nativité à Bethléem, ont réussi à fuir les lieux par une porte arrière hier matin. Ils ont remercié les militaires israéliens qui les ont secourus.


Ils ont raconté à des officiers israéliens que les hommes armés ont volé des objets en or d'autres biens, ainsi que des crucifix et des livres de prière, causant des dégâts matériels. Les trois vieux moines ont été pris en charge par des soldats. L'un d'eux portait une pancarte en toile blanche portant l'inscription " s'il vous plaît, aidez-nous ". L'un des moines, Narkiss Korasian, a ultérieurement raconté aux journalistes : " Ils ont tout volé, ils ont ouvert toutes les portes l'une après l'autre et ils ont tout volé...ils ont volé nos livres de prière et quatre croix...ils n'ont rien laissé. Merci pour votre aide, on ne l'oubliera jamais". (Margot Dudkevitch- Jerusalem Post)


A quand une réaction de la Chrétienté ?...


Même si une grande partie des chrétiens n'est pas attachée à des bâtiments, il convient de comprendre que la stratégie de l'ennemi de nos âmes, en l'occurrence l'islam, est bien de voler et de prendre ce qui ne lui appartient pas. C'est la logique du Dar al-Islam/Dar al-Harb (1) pour conquérir le terrain... avec l'aide des organisations internationales, telles l'ONU et l'UNESCO, et de l'accord tacite des nations occidentales.


Esaïe 5:20 "Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres ! 

Note (1) La terre est divisée en deux : la terre de l'islam, et la terre de la guerre, encore insoumise. C'est par la Guerre Sainte, ou Jihad, que les Musulmans soumettent les territoires insoumis.


http://www.juif.org/le-mag/447,a-l-assaut-de-la-chretiente.php 


3 commentaires



Mais l'UNESCO islamisé ne pourra plus désormais que participer, aux côtés des forcenés islamisés, à la destruction de tout ce qui n'est pas Musulman... ou suffisamment Musulman...

Rappelons-nous... mars 2001... les trois colossales statues de Bouddha sculptées dans une falaise de grès dans la vallée de Bâmiyân du centre de l'Afghanistan, hautes respectivement de 53 m, de 38 m et de 10 m, détruites par les islamistes talibans, au nom de l'Islam...

Ces chefs d’œuvres sculptés il y a plus de 1500 ans... bien avant l'avènement de l'Islam et de sa barbarie, étaient classés au patrimoine mondial de l'UNESCO !...

Et le monde civilisé a été incapable à l'époque de s'opposer à ces destructions islamistes imbéciles...

Alors, aujourd'hui que cette institutions onusienne est a 100 % entre les mains des barbares !....

Les Chrétiens font de plus en plus fort... après « tendre l'autre joue... » ils participent activement sur tous les fronts au déferlement d'un dogme qui est en passe de les achever... pourvu que cela puisse affaiblir les Juifs et Israël... Ils pensent qu'en se sabordant ils nous entraîneront dans leur naufrage...

Jusqu'où va la haine de ces soit-disant religions prêchant l'Amour, la Paix et la Fraternité... et semant depuis des siècles la désolation et la mort !...
Envoyé par Mosche d Ashkelon - le Mardi 24 Juillet 2012 à 15:32

Jérusalem est une ville juive. Toute la terre d'Israël est juive et les musulmans comme les chrétiens n'y sont que des invités dont la présence est seulement tolérée. POINT BARRE
Envoyé par Olivier_008 - le Mercredi 25 Juillet 2012 à 23:07

" A l'assaut de la chrétienté":

Qu'en pense le panzerpape, et qu'attend-il pour défendre ses ouailles, au lieu de "lorgner" avec vindicte sur Israêl ???

AM ISRAEL HAY Choqué Embarrassé Tire la langue Triste
Envoyé par Viviane_005 - le Vendredi 27 Juillet 2012 à 16:21
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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 14:06

Zlatan Ibrahimovic n'a eu besoin que de trois minutes  pour marquer son premier but pour le PSG, tenu cependant en échec par DC United (1-1).

La superstar du PSG Zlatan Ibrahimovic a réussi ses grands débuts sous le maillot parisien en inscrivant un but lors du deuxième et dernier match amical de la tournée américaine du club de la capitale, pourtant tenu en échec par DC United (1-1), samedi, au cours d'un match interrompu 45 minutes par un violent orage. L'histoire retiendra que c'est au bout de seulement 2 minutes et 30 secondes que le grand attaquant suédois a ouvert son compteur avec le PSG. Bien servi par Ménez, Ibrahimovic s'est facilement joué du défenseur local Woolard pour tromper le gardien adverse d'une frappe enroulée du pied gauche dans le petit filet. Un geste que l'avant-centre, transfert le plus retentissant depuis le début de l'ère qatarie, a effectué quasiment sans forcer, à l'image de cette première prestation en tant que joueur du PSG. Félicité dans la foulée quasiment par tous ses partenaires, le Suédois a donné l'impression de très bien s'intégrer à sa nouvelle équipe.

 
Comme l'avait prévenu l'entraîneur Carlo Ancelotti la veille, Ibrahimovic n'est resté que 38 minutes sur la pelouse du RFK Stadium avant d'être remplacé par Hoarau mais cela lui a amplement suffi pour montrer par instants son énorme talent et imprimer déjà sa marque sur sa nouvelle équipe. Arrivé tardivement à ce stage américain (mardi), "Ibra" n'avait pas le jus et la condition physique nécessaires pour tenir plus longtemps sur le terrain. La chaleur et l'humidité terribles de la capitale américaine l'ont également obligé à jouer à l'économie. Mais le Suédois ne pouvait pas rêver d'une meilleure entame avec ses nouveaux coéquipiers.

 
La panoplie complète, en marchant
Encore à court de préparation, Ibrahimovic s'est donc contenté de jouer simplement, décrochant énormément pour essayer de remiser à une touche de balle avec ses partenaires. Ouverture millimétrée, comme celle à destination de Maxwell (27e), passes en en pivot, frappes: le Suédois a sorti la panoplie complète de l'avant-centre...en marchant. Il a surtout démontré que la moindre erreur dans sa zone pouvait se traduire par un danger immédiat, comme cette mauvaise relance d'un défenseur américain qu'il a failli transformer en but sur une frappe surpuissante, de peu au-dessus (30e).

 
Pour le reste, Paris n'a pas montré un visage très conquérant à deux semaines de l'ouverture de la L1 contre Lorient au Parc des Princes. Après trois rencontres prometteuses contre les modestes Autrichiens de Stegersbach (9-0), le CSKA Moscou (2-2) et le champion d'Europe Chelsea (1-1), le PSG s'est fait bousculer par la franchise de la capitale fédérale américaine et a logiquement concédé l'égalisation sur un penalty transformé par De Rosario après une main de Bisevac dans la surface de réparation (33e). Si Carlo Ancelotti a une nouvelle fois beaucoup fait tourner son effectif, la défense a tout de même donné de sérieux signes de fébrilité, n'étant sauvée que par la barre transversale, sur une tentative de Pontius (20e), ou sur des parades décisives de Douchez (23e, 55e).

 
Au rayon des satisfactions, Ancelotti a pu noter la bonne rentrée de Ménez, auteur d'une passe décisive, et celle de Matuidi, très actif au milieu en seconde période. Lavezzi a par ailleurs accompli une prestation à nouveau très prometteuse. Il reste encore un match aux Parisiens, contre le FC Barcelone, le 4 août au Parc des Princes, pour peaufiner leurs réglages avant le redémarrage du championnat.
DC UNITED - PARIS-SG : 1-1 Buts: De Rosario (33e s.p.) pour DC United et Ibrahimovic (3e) pour le PSG. Avertissements: Jakovic (18e), Santos (60e), Cruz (90+3) à DC United. Temps: chaud, pelouse: moyenne, spectateurs: 13.176. Arbitre: John McCloskey. PARIS-SG, 1RE PERIODE : Douchez - Bisevac, Lugano, Alex (Sakho, 24e), Tiéné - Verratti, Bodmer, Maxwell - Ménez, Nene - Ibrahimovic (Hoarau, 38e). PARIS-SG, 2E PERIODE : Jallet, Camara, Sakho, Armand - Matuidi, Chantôme (Rabiot, 60e), Pastore - Gameiro, Hoarrau (Luyindila, 68e), Lavezzi. DC UNITED : Hamid (Willis, 72e) - Korb, Dudar, Jakovic (Mc Donald, 46e), Woolard - Deleon (Salihi, 75e), Kitchen (Saragosa, 80e), Boskovic (Neal, 46e), Pontius (Cruz, 67e) - Tan (Wolff, 67e), De Rosario (Santos, 46e).
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