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6 septembre 2012 4 06 /09 /septembre /2012 20:21

Du 17 au 23 septembre, un menu est offert pour un menu acheté dans des centaines d'établissements français. Les inscriptions en ligne ouvrent ce mercredi.


 
Le chef Alain Ducasse, parrain de l'événement
Le chef Alain Ducasse, parrain de l'événement
La troisième édition de l'opération «Tous au restaurant» se déroulera du 17 au 23 septembre dans toute la France. Cette fête nationale des restaurants est organisée par des professionnels du milieu de la restauration et de l'hôtellerie, sous l'égide du groupe Alain Ducasse.

 
Le slogan reste le même qu'en 2011: «Votre invité est notre invité». Comprendre que pour un repas commandé, vous aurez un menu avec entrée, plat et dessert offert (choisis par le restaurateur).
Au total, ce sont plus d'un millier de restaurants qui participent à l'opération à travers toute la France, dont une quarantaine de chefs étoilés.

 
Un «restaumobile» gastronomique à Paris
Dans les rues de Paris, un «restaumobile» circulera pendant toute cette semaine. Plusieurs grands chefs se relaieront pour assurer les deux services du midi et du soir aux quarante couverts installés dans le bus. Ce restaurant gastronomique sur roues changera de quartier quotidiennement, afin de satisfaire tous les Parisiens. Enfin presque tous, puisque les réservations partent très vite et les restaurants participants sont rapidement complets. Vous pouvez vous inscrire depuis ce mercredi, et ce jusqu'au début de l'opération (dans la limite des places disponibles).

 
Parmi eux, le Figaroscope vous conseille trois chefs parisiens qui cuisineront dans le «restaumobile»: Jacques Maximin et Adrien Trouilloud, aux commandes de Rech, brasserie spécialisée dans les produits de la mer du groupe Alain Ducasse (lundi 17/09 à midi, 45€ pour 2), Frédéric Vardon du39V (jeudi 20/09 midi et soir, 45€ et 70€), David Toutain de l'Agapé Substance (lundi 24/09 au soir, 70€).

 
Parmi la centaine des tables parisiennes participant à l'opération, ne manquez pas l'occasion de goûter à prix réduit les cuisines aussi diverses que goûteuses de: Icho (IVe), Flottes (Ier), Le Chardenoux des Près (VIe), Les Délices d'Aphrodite (Ve), Liza (IIe), RAP (IXe), Dessirier (XVIIe) ou Citrus Etoile (VIIIe).

 

 
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31 juillet 2012 2 31 /07 /juillet /2012 18:21

Devant l'hôtel Ritz, lundi à Paris. Des clients français et étrangers sont venus tout spécialement y passer la nuit «avant le tombé de rideau». Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/JC MARMARA/LE FIGARO

Le palace de la place Vendôme ferme ses portes mardi soir pour vingt-sept mois de travaux. Pour les clients et les 470 employés de l'hôtel, une page se tourne dans un silence pesant.


L'automatisme presque horloger des gestes, des sourires bien huilés, voudrait duper la clientèle, elle aussi à côté de son assiette. Au Ritz, alors que le palace vit ses dernières heures avant de fermer pour vingt-sept mois de travaux, le personnel se guinde dans une rigueur professionnelle toute singulière, futile armure contre l'émoi qui étreint son cœur.


Mardi soir, Jean (le prénom a été changé), vingt-trois ans de maison, rendra son tablier, comme 470 autres employés de l'hôtel. Licenciement économique. Tout sera refait, selon le vœu du propriétaire égyptien Mohammed al-Fayed qui entend bien, avec des travaux pharaoniques, dépasser le luxe des 5 étoiles actuelles pour obtenir le label «Palace» récemment institué. Et tout sera à reconquérir, à commencer par une clientèle «plus jeune, plus riche», croit savoir une hôtesse, mais aussi les deux étoiles du chef Michel Roth qui avait fait la renommée de l'Espadon, restaurant gastronomique du Ritz.


Lundi, au milieu de la journée, l'endroit un peu désenchanté avait des airs de ballet triste. Sous ses ors et son lustre appartenant déjà au passé, de rares clients avalaient le célèbre «club sandwich du Ritz» dans un silence pesant, sous le regard d'escouades de serveurs désœuvrés et de Japonais égarés. Dehors, place Vendôme, les camions-bennes des travaux d'été étaient plus nombreux que les limousines habituellement rangées en cordée.


Le restaurant étoilé affiche complet
«On est tous si tristes…, dit Jean. On ne quitte pas un établissement comme ça, sans souffrance. Mais je reviendrai, enfin c'est mon souhait! Car si notre contrat prévoit une priorité à l'embauche, il ne nous la garantit pas.» Comme ses collègues, avant la session de formations prévue par la direction en septembre-octobre, il va prendre des vacances pour «décanter tout ça» et chercher du travail. «J'ai eu un entretien d'embauche l'autre jour mais je l'ai raté, regrette-t-il. Aujourd'hui, même avec le Ritz sur un CV, rien n'est gagné.»


Pour la dernière nuit du Ritz, les réservations ont afflué. Des clients français et étrangers sont venus tout spécialement «avant le tombé de rideau», s'attriste un réceptionniste. «Ce sont des habitués qui tenaient à être là pour ce moment symbolique, fait savoir la direction du Ritz. L'hôtel est très chargé mais il reste encore quelques places.»


Le restaurant étoilé, lui, affiche complet. Collector, le menu de cette dernière soirée, à 240 euros, affiche foie gras, homard et caviar, bar et pigeon, soufflé et «pêche Melba Ritz 2012». Hormis ces festivités de palais, «aucun événement particulier n'a été organisé» pour l'occasion, précise le Ritz. Pas plus pour le personnel qui, ces derniers mois, a vécu quelques tensions aux côtés des syndicats.


Rude concurrence
En mai dernier, l'Union syndicale CGT Commerce et Services a saisi la justice pour demander l'annulation du plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) du Ritz visant à supprimer les 470 postes de l'hôtel. L'affaire doit être plaidée le 11 septembre devant la première chambre civile du tribunal de grande instance de Paris. Aujourd'hui, seule une trentaine de cadres reste sous contrat pour préparer la réouverture prévue à l'été 2014.


La nécessité de tels travaux s'est imposée avec l'arrivée d'une concurrence de plus en plus dure dans le secteur. En deux ans, à Paris, quatre hôtels de luxe flambant neufs, exploités par des chaînes asiatiques réputées pour la qualité de leur hôtellerie, sont sortis de terre. Et d'autres hôtels historiques ont également décidé d'engager des travaux de grande ampleur, comme le Crillon, place de la Concorde, qui, à l'automne, fermera lui aussi ses portes pour deux ans de travaux. Après avoir racheté trois bâtiments jouxtant le palace actuel, le Plaza Athénée, avenue Montaigne, travaille aussi sur un projet de réaménagement, tout comme le Lutetia, hôtel mythique de la rive gauche.


Aujourd'hui, la clientèle du Ritz est principalement américaine (27%). Les Russes (10%) se classent en deuxième position devant les Britanniques (8%), les Français (7%) et enfin le Moyen-Orient qui, selon l'hôtel, représente seulement 6% de sa clientèle.


Suite impériale préservée


C'est le groupe Bouygues qui, en avril dernier, a remporté l'appel d'offres du Ritz. Et c'est sa filiale Bouygues Bâtiment Ile-de-France qui se chargera des travaux pour un montant de 140 millions d'euros. Une «rénovation totale», prévoit le groupe de construction, avec «une revue complète de la décoration» et «la rénovation des zones historiques, tout en préservant l'esprit» de l'établissement. Seules sa façade et sa toiture classées à l'Inventaire des monuments historiques ainsi que la suite impériale, qui est la reproduction exacte de la chambre de Marie-Antoinette à Versailles, ne seront pas touchées. Aujourd'hui, cette suite affiche un prix allant de 11.000 à 13.900 euros la nuit. Au Ritz, le prix de la première chambre est de 850 euros.


 La dernière restauration d'envergure du Ritz remonte à plus de trente ans (1979). En plus de la rénovation des 103 chambres et 56 suites, un restaurant d'été sous verrière mobile sera créé. La salle de danse sera agrandie et «les technologies les plus en pointe» seront intégrées. Pour ce chantier, le constructeur Bouygues emploiera jusqu'à 600 personnes. Les travaux seront coordonnés par l'architecte Didier Beautemps, de l'atelier Cos, qui a notamment conçu l'hôtel Cheval Blanc à Courchevel, et par le décorateur Thierry W. Despont.


http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/07/30/01016-20120730ARTFIG00511-au-ritz-ballet-triste-avant-la-fermeture.php 
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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 12:59

 

L'hôtel Best Western Premier Princesse Flore, à Royat (Puy-de-Dôme) est le premier établissement de la marque à obtenir cinq étoiles, annonce le groupe, lundi 23 avril. Ce dernier a entamé un programme de rénovation pour l'aider à monter en gamme.

 
Les 43 chambres et 10 suites de l'hôtel ont été rénovées en 2009, tout comme les parties communes, les salles de réunion et de conférences. Les trois salons modulables qui accueillent ces lieux, destinés à la clientèle affaires, ont été équipés de produits high-tech.

 
Avec 311.598 chambres réparties dans 4.078 établissements à travers le globe, Best Western propose l'offre la plus importante aux touristes internationaux, selon une étude MKG Hospitality, publiée en mars dernier. Son parc hôtelier est composé d'établissements 3 à 5 étoiles.

 
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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 13:58


Uri Navon et Yossi Elad © GP
C’est la table du tout Jérusalem qui sort, vit, se raconte une histoire, aime jouer de ses gourmandises, comme de la mode: avec fougue, dynamisme et envie. Aux commandes, trois compères, fous de cuisine, qui se sont associés pour créer une sorte de restaurant théâtre: Yossi Elad, le grand aîné, à qui je dois l’an passé ma découverte ma découverte éblouie du nouveau Tel Aviv, qui s’occupe de la mise en place, Uri Navon, le jeune loup plein d’envolée, qui s’amuse à jongler avec l’assiette devant le client, et a été formé à l’école hôtelière locale, sans omettre l’homme de l’ombre, Assaf Granit.

Polenta à l'huile de truffe blanche © GP

Asperges fumées à la lavande © GP
A eux trois, ils ont créé un événement qui dure. Sur deux étages, tout près du marché de Ma’hané Yehuda auquel ils ont emprunté son nom, ils content les plats du jour et de toujours, cuisinent, s’amusent, mitonnent, inventent et… séduisent à tout coup. Le lieu est coloré, le service, jeune, sourit. Le public suit. Il y a la polenta à l’huile de truffe, les asperges à l’oeuf et à lavande fumée, les crevettes flambées aux spaghettini et parmesan, les sashimis et salades en folie, sans omettre des choses classiques qui vont, viennent et reviennent.

Salades et sashimis © GP

Saumon au curry et riz gluant © GP
Un risotto noir au chou fleur, un carpaccio de boeuf assaisonné dans les règles de l’art, un saumon au curry, noix de coco râpée et riz gluant, des côtes d’agneau fondantes, sans omettre d’exquis foies de volaille avec sa superbe purée de pommes de terre font plaisir sans manière.

Agneau © GP

Foies de volaille et purée de pomme de terre © GP
On n’oublie pas les vins dans le ton (chardonnay clos de Gat, cabernet sauvignon cuvée réservée) plus des desserts classiques revus (sur le thème des fraises et du chocolat). Bref, il y a là une gaîté communicatrice et un enthousiasme qui fait plaisir.

Le cadre vu de la mezzanine © GP
Ma’hané Yehuda, Beth Yaakov 10, Jérusalem. Tél. 02-5333 442. Carte: 45-60 €.
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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 18:49

L'association des restaurateurs en Autriche a dénoncé le caractère discriminatoire des appellations de certains plats culinaires traditionnels. 


L’association des restaurateurs d’Autriche souhaite que l’on puisse renommer les plats traditionnels aux noms discriminatoires, a annoncé The Telegraph. En effet, "Escalopes tziganes", "pain nègre", ou encore "maure en chemise" sont des appellations jugées péjoratives à l’encontre de certaines communautés ethniques. 
Selon cette même association, ces plats pourraient adopter des appellations descriptives qui ne seraient pas offensantes cette fois-ci. 


Les gourmets et autres apprentis gastronomes pourraient ainsi lire sur les menus "côtelette sauce au poivre", "pain très sombre", et "gâteau au chocolat et à la crème". SOS Mitmensch, une autre association militant quant à elle pour l’intégration, supporte avec ferveur ces revendications inattendues : "Il n'y a pas matière à rire de la discrimination, même quand elle survient de manière involontaire, ou à cause de la tradition". Mais cet avis n'est pas partagé par tous. En effet, pour le président de l'association de gastronomie tyrolienne, Harald Ultsch, "Ce sont simplement des plats traditionnels" qui ne visent à insulter aucune communauté. 
De plus, certaines spécialités des pays d’Europe provoquent la même révolte auprès de l’association d’Autriche. 


Elle s’insurge notamment du plat traditionnel italien "spaghetti alla puttanesca", "spaghetti à la putain" en français, et qui tient son nom à cause de sa sauce tomate à la fois épicée et relevée aux anchois. Également, il faut reconnaître que le pudding aux fruits britannique "spotted dick", signifiant "pénis tacheté", est un terme douteux. 


Enfin, les Français quant à eux ont fait preuve de bienveillance en transformant le nom du fameux dessert en chocolat et en forme de dôme, la "tête de nègre", pour finalement le désigner très officiellement comme "tête de choco". 
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7 janvier 2012 6 07 /01 /janvier /2012 13:04

« Dar Marsa Cubes » est une maison familiale blottie au cœur du quartier de La Marsa Cubes. Sonya vous y reçoit comme ses invités et met à votre disposition ses vastes et confortables chambres d’hôtes.

Dar Marsa Cubes une nouvelle maison d'hôtes signé Cacoub
Marsa Cubes :
Le quartier chic de La Marsa Cubes aligne un chapelet de villas luxueuses avoisinant la célèbre résidence de France: « Dar Al-Kamila » (bâtie en 1800 par un notable tunisois au cœur d’un parc de 3.5 hectares).
Son histoire :
Dar Marsa Cubes » a été réalisée par l’architecte franco-tunisien « Olivier-Clément Cacoub » (1920-2008). «Chez ce grand bâtisseur enthousiaste, existe un plaisir physique de l’architecture. Il voit tout en volume comme un sculpteur : « Je fais de l’architecture comme je fais des gestes. ». Mr Cacoub est aussi à l’aise dans la réécriture des formes traditionnelles qu’il emprunte aux cultures des divers pays où il exerce son art que dans les créations les plus audacieuses. Son œuvre étonne par son abondance et par sa variété.
Parmi ses œuvres, nous comptons le palais présidentiel de Carthage, l’extension du Palais des Festivals et des Congrès de Cannes, le Palais de la Méditerranée de Nice…
La résidence fût la propriété commune de Olivier-Clément Cacoub et Jules Isac Zbirou jusqu’aux années 80. Elle a été par la suite rachetée par « Bechir Ben Jemaa », père de la maîtresse des lieux.
Suites :
La maison d’hôtes « Dar Marsa Cubes » compte 3 suites et 2 chambres indépendantes aux styles et ambiances différentes : Fatma, Yasmine, Ambre, Fella, Musc
Lien de la maison : dar-marsa-cubes.com
Dar Marsa Cubes une nouvelle maison d'hôtes signé CacoubDar Marsa Cubes une nouvelle maison d'hôtes signé CacoubDar Marsa Cubes une nouvelle maison d'hôtes signé CacoubDar Marsa Cubes une nouvelle maison d'hôtes signé CacoubDar Marsa Cubes une nouvelle maison d'hôtes signé Cacoub
 
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20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 20:00
Comment il s'est infiltré ce sandwich Tunisien?? (6 €)
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Les mets les plus chers du monde...

Une épice à 30 000 euros le kilo, une bouteille d’eau à 345 euros, un dessert à 18
000 euros… Ces aliments sont rares, difficiles à produire ou réalisés à partir
d’ingrédients haut de gamme. Découvrez les mets plus chers au monde !

1. Le safran
Prix : Jusqu’à 30 000 euros le kilo
Le safran, une épice a priori anodine, est en fait l’un des aliments les plus chers !
C’est sa fabrication qui explique son prix faramineux, car le safran est obtenu
 à partir desstigmates, c'est-à-dire de la partie supérieure du pistil de la
 fleur crocus sativus.
L’arrachage des stigmates se fait à la main et il faut près de 150 000 fleurs pour
pouvoir
produire un kilo de safran ! Même si l’on peut trouver du safran à environ
800 euro le kilo,
certaines variétés atteignent les 30 000 euros.

2. Le caviar ‘diamant’
Prix : Plus de 25 000 euros le kilo
Le caviar est réputé pour être l’un des mets les plus chers au monde,
mais le caviar Almas,
qui signifie ‘diamant’ en russe, est la variété la plus rare, donc la plus chère !
Autrefois réservés au Shah d’Iran, ces oeufs blancs proviennent
d’esturgeons albinos ou
d’une espèce d’osciètres âgés d’environ 100 ans !
Pour en déguster, vous pouvez acquérir une boîte de caviar Almas en or
 massif de chez Caviar
House & Prunier pour plus de 25 000 euros le kilo.

3. Le vin le plus cher : le Mouton Rothschild 1945
Prix : 22 650 euros la bouteille
Les vins prestigieux sont nombreux, mais le plus cher depuis septembre
 2006 est le Mouton
Rothschild 1945.
Lors d’une vente aux enchères de Christie’s à Beverly Hills, le lot de 12
 
 
bouteilles a été vendu
pour 228 000 euros environ (290 000 $) soit près de 22 650 euros la bouteille !
L’acheteur anonyme a également acquis un autre lot de six magnums à
248 000 euros (345
000 $) soit 58 000 euros la pièce !
Les bouteilles, qui ont été crées l’année de la fin de la seconde
 guerre mondiale, portent la
mention "1945, année de la victoire".

4. Le dessert le plus cher
Prix : environ 18 000 euros
Que peut-on avoir dans un dessert à 18 000 euros (25 000 $) ? Une glace
au chocolat préparée
à partir de 28 sortes de cacaos dont les 14 plus chères au monde et cinq
grammes d’or 23
carats !
Le tout accompagné de ‘La Madeline au Truffe’, le chocolat le plus
cher au monde, servi
dans une coupe en or comestible et décoré avec des diamants.
Le sunday est à déguster avec une petite cuillère également en or sertie
de diamants
spécialement créée pour aller avec le dessert.
Cette glace a été préparée en 2007 par le restaurateur new-yorkais
Stephen Bruce et a été
enregistrée par le livre des records Guinness comme le dessert le plus
cher au monde.
Le restaurateur avait alors confié qu’il avait fallu trois mois juste pour
élaborer la cuillère !
Stephen Bruce avait également déclaré à la presse que les premiers à
réserver ce dessert
(préparé uniquement sur commande) étaient des touristes européens.

5. Le sachet de thé le plus cher
Prix : 9 500 euros
PG Tips, une marque de thé anglais, a fabriqué, à l'occasion de son 75e
anniversaire, un
sachet orné de 280 diamants avec l’aide des bijoutiers de la marque Boodles.
La valeur de ce produit hors du commun est estimée à 9 500 euros. Nous
 ne savons pas à ce
jour si le sachet a été utilisé…

6. Le chocolat le plus cher : le Knipschildt
Prix : 180 euros la pièce de 50 grammes, soit 3 600 euros le kilo
Les spécialités du chocolatier Fritz Knipschildt, un danois installé aux
Etats-Unis et ayant
fondé sa chocolaterie en 1999, sont réputées pour faire partie des meilleurs
 et des plus chers
chocolats au monde.
La plus chère de ces gourmandises est La Madeline aux truffes, décrite
comme le chocolat
‘le plus extravagant au monde’.
La friandise, vendue à 180 euros la pièce de 50 grammes, est faite à base
de chocolat noir
Valrhona (une marque de chocolat française !) et enrobée d’une fine poudre
 de cacao.
Le prix inclut une boîte en argent contenant des perles de sucre et un noeud
 papillon...

7. Le hamburger le plus cher
Prix : 3 586,50 euros l’unité
Ceux qui pensent que le hamburger est synonyme de malbouffe vont être
déçus ! Le symbole
de la cuisine américaine a été changé en aliment de luxe par un cuisinier français !
Laurent Pillard, chef du restaurant "La Fleur de Lys" à Las Vegas, a
élaboré le hamburger le
plus cher au monde. Il est préparé avec du boeuf de Kobé (le meilleur et le
plus cher au
monde !), du foie gras poêlé, de la truffe du Périgord et est servi avec
un Château Pétrus.
Le prix de ce luxueux hamburger est de 3 586,50 euros (soit 5 000 dollars),
sans compter les
20 % de taxes applicables aux Etats-Unis…

8. La truffe blanche d’Alba
Prix : Environ 2 500 euros le kilo
A l’instar du caviar, la truffe est réputée pour être un aliment de luxe
assez coûteux. Encore
une fois, la rareté de la truffe blanche d’Alba la rend encore plus chère !
On trouve ce champignon à la surface blanche et lisse en Italie, dans le
 village d’Alba situé
dans la région du Piémont.
Le prix de cette variété de truffe au parfum d’ail sauvage varie en
fonction de la production,
mais le record du prix de vente a été celui du restaurateur américain Joe
 Pytka qui a acheté en
2002 une pièce d’un kilo à près de 25 000 euros !

9. Le café le plus cher : le kopi luwak
Prix : Jusqu’à 900 euros le kilo environ
Incroyable mais vrai ! Le café le plus cher au monde est récolté dans
des excréments !
Le kopi luwak est une variété de café qui a la particularité d’être récoltée
après avoir été
digérée par une civette asiatique, le luwak.
Les graines de café deviennent moins amères sous l’effet des enzymes
 qui se trouvent dans
l’estomac de l’animal. Ces graines sont lavées puis légèrement cuites
pour ne pas dénaturer
leur arôme unique.
Le kopi (‘café’ en indonésien) luwak (du nom de l’animal) est produit en
Indonésie, dans les
Philippines et au Timor oriental, et peut être acheté en France chez Les
cafés et thés Frédéric
pour 265,20 euros le kilo.
Les prix de ventes à l’étranger peuvent atteindre 900 euros au kilo.

10. L’omelette la plus chère
Prix : environ 700 euros l’omelette
L’association d’aliments "haut de gamme" dans un plat donne souvent
une addition au total
exorbitant ! C’est le cas avec l’omelette la plus chère au monde, servie au
restaurant Le Parker
Meridien à New York.
Elle est composée de 300 grammes de caviar, d'un homard entier et de six oeufs.
Elle est servie pour 700 euros environ (1 000 $).

11. La pomme de terre la plus chère : la bonnotte
Prix : Jusqu’à 475 euros le kilo
La bonnotte est une variété de pomme de terre que l’on trouve sur l’île de
Noirmoutier, en
Bretagne.
Petite, ronde, sa production est d’environ 100 tonnes par an. La bonnotte
 étant fragile, la
récolte se fait à la main ! Ce qui explique son prix.
Ces pommes de terre sont parfois vendues aux enchères et ont même
atteint le prix de 475
euros le kilo en 1996 !
Sa particularité : La bonnotte est difficile à récolter et fragile (elle ne se
conserve que
quelques jours). Autrefois jugée trop peu rentable, a pu être replantée en
1994, 30 ans après
sa disparition, grâce à l’Institut national de la recherche agronomique !

12. L’huile la plus chère
Prix : 440 euros le litre
L’huile d’olive peut, tout comme l’eau de source, devenir un produit de
luxe dès lors qu’elle
passe dans les mains de personnalités du show-biz ! Ici, c’est le
réalisateur italien Armando
Manni, passionné de cuisine, qui a élaboré, avec l’aide de l’Université
de Florence, deux
huiles biologiques.
Ces huiles d’olive de Toscane contiennent un taux de polyphénols par
litre deux fois
supérieur à celui d’une huile d’olive traditionnelle et sont excellentes
 
 pour la santé. Leur goût
est également très appréciés par les grands chefs italiens.
Chaque bouteille de 100 ml, dont le design n’a rien à envier à celui d’un
flacon de parfum de
luxe, coûte 44 euros.

13. La bouteille d’eau la plus chère : Bling H2O
Prix : Jusqu’à 345 euros la bouteille
Bling H20 est une eau qui porte bien son nom. Ce n’est pas tant le
contenu de la bouteille qui
est exceptionnel, même si l’eau de source qu’elle contient passe par neuf
étapes de
purification, mais c’est bien la bouteille qui est très "bling-bling" !
Destinées à combler les stars hollywoodiennes les plus branchées,
certaines bouteilles de cette
marque sont ornées de cristaux Swarovsky collés à la main, et affichent un
design très
étudié.
Les prix varient entre 14 euros (pour les bouteilles en plastique) et 345 euros
pour les
bouteilles de 375 ml décorées avec des cristaux.

14. La viande la plus chère
Prix : Jusqu’à 325 euros le kilo
La viande la plus chère est celle des vaches japonaises, appelée ‘wagyu’,
de Kobe. La
wagyu est réputée pour sa tendresse et son goût unique.
Pour parvenir à cette qualité, les éleveurs japonais chouchoutent leurs
vaches. Les vaches de
Kobe ont donc droit à des massages, boivent de la bière et écoutent de la
musique
classique !
En France, il est possible de commander de la viande wagyu via le site
Wagyu France.

15. La confiture de groseilles épépinées, la plus chère
Prix : 16 euros le pot de 85 grammes soit environ 190 euros le kilo.
Bar-le-Duc, en Lorraine est célèbre pour une entreprise familiale qui
fabrique une confiture
unique au monde !
La spécialité de Bar-le-Duc est une confiture de groseilles épépinées à la
main à l’aide
d’une plume d’oie !
C’est cette méthode particulière, perpétuée depuis le XIVe siècle, qui est à
l’origine du prix
de du pot de confiture.

16. Le sandwich le plus cher
Prix : 115 euros l’unité
Un casse-croûte à 115 euros, c’est ce que vous pouvez avoir à
Cliveden, en Angleterre, si
vous commandez le Von Essen Platinum Club Sandwich !
Pour ce prix, vous dégusterez du poulet de Bresse, du jambon ibérique,
 des oeufs, des
tomates confites et de la truffe blanche dans trois énormes tranches de pain !
Le Von Essen Platinum Club Sandwich est le sandwich le plus cher au monde
et peut-être
également le plus ‘riche’ dans tous les sens du terme ! Il ne compte pas moins
de 1 182
calories !
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6 novembre 2011 7 06 /11 /novembre /2011 18:48

Une question récurrente revient régulièrement à nos oreilles : «Où manger un bon poulet rôti à Paris ?» Après avoir avalé l'équivalent d'un poulailler, nous sommes désormais en mesure de vous répondre !

Le poulet rôti, c'est la fausse simplicité de la petite robe noire. Comme si celle-ci était interchangeable et n'obéissait pas à des critères de matière, de longueur ou de coupe. Idem pour les poulets. Il n'y a pas grand-chose de commun entre un volatile de batterie, programmé pour mourir dans les plus brefs délais, et les poulets de Bresse, Rolls des gallinacées et véritables sénateurs de basse-cour. Ce test nous a permis, une fois de plus, de le vérifier. Un bon poulet rôti n'est jamais le fruit du hasard. C'est la conjonction d'un produit de belle extraction et d'un chef compétent. Curieusement, ce ne sont d'ailleurs pas les rôtisseries pur jus (Rôtisserie du Beaujolais, d'En Face…) qui tirent le mieux leur broche du jeu, même si elles sont correctement classées. Pas plus que des adresses historiques pour viandards tellesLe Louchebem, aux Halles.

Comme souvent, le simple fait de se proclamer «spécialiste» dispense de viser l'excellence. Assez en tout cas pour relativiser le célèbre aphorisme de Brillat-Savarin («On devient cuisinier mais on naît rôtisseur»). Car depuis le XIXe, les techniques de cuisson ont évolué encore plus rapidement que les chefs et les poulets.

 

Le Relais Plaza, deuxième
Le Relais Plaza, deuxièmeCrédits photo : Alain AUBERT/Le Figaro

 

En tête de notre classement, L'Ami Louis et leRelais Plaza. Deux experts ès poulets qui jouent dans des catégories très différentes, vieux bistrot frenchie terriblement snob pour le premier, brasserie cossue d'un palace pour l'autre. Avec des prix conséquents dans les deux cas, justifiés par la générosité et la qualité des plats, le panache de l'adresse. En même temps, et c'est ce qui nous ravit à Paris, ces gagnants sont talonnés par trois adresses aussi dissemblables que D'Chez Eux,Jeanne A et la brasserie Flottes, dont le seul dénominateur commun est le souci du bon produit.


Enfin, les scores sont serrés, comme vous le constaterez dans ce classement. Simplement parce qu'ils sont le reflet d'une sélection pointue. Depuis que les poulets sont omniprésents sur les cartes, il faut ruser pour dénicher les meilleurs, remonter parfois jusqu'aux fournisseurs. Le prix à payer pour ne pas se faire plumer.

Méthodologie

Test. Le poulet rôti reste l'un des plats les plus appréciés des Français, il garde comme un parfum de déjeuner de famille. Ce pourquoi nous avons voulu dénicher les meilleurs de Paris, même si au fil des ans, les rôtisseries dont c'était la vocation sont de moins en moins nombreuses.

 

Chez Flottes, 3ème ex-aequo
Chez Flottes, 3ème ex-aequo Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/LE FIGARO

 

Méthode. Chaque adresse a été testée de façon anonyme par l'équipe de journalistes du Figaros cope. Certains poulets étaient servis entiers pour deux, le plus souvent en moitiés, d'autres proposant l'aile et la cuisse, avec possibilité de choisir parfois (voir Chez Flottes).

Critères retenus. Nous en avons retenu quatre, notés chacun sur 5. D'abord le goût, qui varie considérablement selon la qualité du poulet. Ensuite, l'équilibre entre le fondant de la chair et le croustillant de la peau, voire la qualité du jus. Autre critère d'importance : la garniture. Le poulet, traditionnellement accompagné de pommes de terre rissolées ou de purée, nous a parfois été servi avec des haricots verts, du gratin dauphinois ou des champignons. Enfin, nous avons noté le rapport qualité/prix, tant l'addition peut passer du simple au double en fonction des lieux, des portions, de l'origine du poulet.

Résultats. Sans surprise, ce sont les adresses qui font un effort sur la qualité du produit et qui vous font patienter (40 minutes à la commande, c'est bon signe) qui obtiennent les premières places de notre classement.

Précision. L'excellent poulet fermier de Challans à l'ail rose et au thym duLutetia(VIIe) ne fait pas partie de notre classement : étant donné qu'il est servi en cocotte, il fut impossible de juger de son croustillant.

Notre classement

Sacré poulet ! C'est fou, le nombre d'abattis que nous avons dévorés lors de cette enquête pour ne vous garder que les meilleurs morceaux.

 

Cliquez sur le palmarès pour l'agrandir :

 

Le gagnant : L'Ami Louis

 

L'Ami Louis (Le Figaro)
L'Ami Louis (Le Figaro)

 

Si le monde entier accourt à cette adresse d'un autre temps (le décor semble importé des années 1940), c'est sans doute parce qu'il y a de la dégaine dans ce bistrot mondain, du chien, de l'atmosphère à l'Arletty. L'assiette que l'on moque outre-Atlantique, histoire de se faire mousser, tient plus que la route. C'est avec le poulet rôti que cet établissement tire son épingle. C'est un coucou de Rennes (fourni par Hugo Desnoyer, à l'instar de l'auberge D'Chez eux) rôti à la minute et servi entier avec un dôme de frites allumettes. Magnifique, croustillant et, sincèrement, il faut être de mauvaise foi pour lui chercher des poux dans la tête, si ce n'est son prix (80 € pour deux) et la nécessité de réserver longtemps à l'avance. Mais Paris est ­ainsi, elle adore casser les tirelires pour voir ce qu'il y a dedans, rigoler des ­glorieux, s'amuser des réussites. Inimitable. Comme L'Ami Louis.

L'Ami Louis 32, rue du Vertbois, IIIe. Tél. : 01 48 87 77 48. Tlj sf lun. et mar.

Pour accompagner le poulet : quelle garniture et quel vin ?

En ce qui concerne la garniture, les amateurs sont formels : rien ne vaut les pommes de terre rissolées une bonne vingtaine de minutes dans le jus de cuisson du poulet. Pour qu'elles soient fondantes et grillées à point, il faut couper grossièrement les morceaux de pomme de terre : les reliefs sont alors plus croustillants. Autre accompagnement star : la purée maison. Ne serait-ce que pour pouvoir y verser le jus du poulet. C'est aussi une façon de varier les textures en bouche.

L'accord avec le vin en revanche sera plus délicat. On aurait tendance à servir un rouge léger sur la volaille. Or si l'on en croit ­Enrico Bernardo, meilleur sommelier du monde 2004 et auteur d'un récent ouvrage sur les accords plats et vins (Que boire avec… par Enrico Bernardo, 9,90 € aux Éditions Le Figaro l'avis du vin), le poulet rôti acquiert une légère amertume et une bonne persistance gustative. Surtout cuit avec des herbes aromatiques. Pour mettre en valeur la délicatesse d'un poulet ainsi préparé, le sommelier conseille un vin blanc, fruité et rond, un peu complexe et élevé en barrique. Ses recommandations : un Saint-Péray (vallée du Rhône septentrionale) du Domaine Gripa, cuvée Les Pins 2007, dont la vivacité « dégraisse » l'onctuosité du jus. Ou encore un Château Simone 2006 (région d'Aix-en-Provence), à la fois spontané et désaltérant.


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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 21:35




Le chroniqueur gastronomique du Figaro livre ses adresses, ses secrets, même les plus gardés... Cette semaine, le restaurant L'Ogre, à Paris.

 

Assez des pizzas ? Quels sont les fruits de saison ? Comment reconnaître un bon étalage de poissons ? Et si nous n'avons que peu de temps ? Pas assez d'argent ? Au moment de petit-déjeuner, déjeuner ou dîner, il existe autant de questions que de restaurants. A chaque problème sa solution : c'est pourquoi toutes les semaines, François Simon nous livre ses adresses, ses secrets, même les plus gardés...

 

 

 

Genre : Brasserie - Bistrot

En bref : L'Ogre, le nouveau bistrot gourmand du 16ème, face à la Maison de la Radio, réservé aux affamés : une cuisine généreuse et goûteuse, uniquement des produits de saison, avec une belle carte des vins naturels aux Grands Crux.

 

Budget : 15-40€

Services : Cuisine familiale | Parking | Belle carte des vins | Après 23 heures | Fumoir | Etudiants bienvenus | Enterrement vie de jeune fille

Horaires : Lundi au Vendredi, midi et soir, samedi soir

Le chef : Henry Bauche

Adresse : 1, Avenue de Versailles 75000 XVIème |

Téléphone : 01 45 27 93 40

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4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 18:35
On mange quoi?
restaurant.jpg

 

Pas de porc: Grippe porcine...

 

Pas de poulet: Grippe Aviaire....

 

Pas de bœuf: Maladie de la vache folle...

 

Pas d'œufs: Salmonellose...

 

Pas de poissons: Trop de métaux lourds dans l'eau...

 

Ni fruits, ni légumes: Trop d'insecticides et d'herbicides...

 

HUMMMMMMMMMMMM...

Je crois qu'il nous reste que des gâteaux,



du chocolat

et de la crème glacée... 

 


BONNE JOURNÉE!

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