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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 10:11

Ibrahimovic libère Paris

Grâce à un grand Ibrahimovic, auteur d'un doublé, le PSG repart de Lille avec son premier succès de la saison (1-2) lors de la 4e journée.

Paris n'est plus au point mort. En s'imposant pour la première fois depuis 15 ans en terres lilloises (1-2), le PSG a remporté son premier match de la saison, à l'occasion de la 4e journée. 

 
Un succès marqué du sceau de Zlatan Ibrahimovic, double buteur avec une réalisation après seulement 27 secondes de jeu et une autre (21e) alors que Lille pensait avoir fait le plus dur en revenant au score par Chedjou (12e). Et dire que le Suédois, désormais meilleur buteur du championnat (4 buts), avait dû se contenter d'entraînements légers jusqu'à vendredi... 

 
Pour les Nordistes, c'est un deuxième match sans victoire en Ligue 1 dans leur nouveau stade.

 
Les spectateurs du Grand Stade ont malgré tout été gâtés en première période par un spectacle agréable. Evidemment, ils se seraient bien passés d'une douche sur le coup d'envoi après un bon une-deux entre Menez et Ibrahimovic (1re, 0-1). Mais ils ont ensuite pu admirer le coup de tête rageur de Chedjou, plus prompt que l'attaquant suédois, sur corner (12e, 1-1). 

 
Cette égalisation faisait déjà suite à deux alertes de Roux sur le but de Sirigu (10e et 12e) mais elle n'a pas été suivie dans les actes. Pire, alors que le club de la capitale semblait accuser le coup, Ibrahimovic, lancé par Pastore, devançait Landreau dans sa sortie (21e, 1-2).

 
Pastore encore décevant

 
La seconde période s'est montrée plus indigente en termes de jeu. Paris a contrôlé et Lille, malgré l'apport de Kalou, n'a pas été en mesure de refaire son retard. Brouillon dans les trente derniers mètres, les hommes de Rudi Garcia ont même dû attendre la 73e minute pour cadrer leur premier tir par l'intermédiaire de l'Ivoirien. 

 
Les entrées de Mendes, récent transfuge du Havre, et De Melo, dont la tête a atterri directement dans les bras de Sirigu (85e), n'ont pas non plus eu l'effet escompté. Et c'est même Ibrahimovic qui n'est pas passé loin du triplé avec une reprise (79e) ou une tête, claquée par Landreau (83e).

 
On ne sait pas encore si la machine parisienne, annoncée comme un rouleau compresseur, s'est véritablement mise en branle ce dimanche soir mais gagner à Lille reste une performance. Surtout, Carlo Ancelotti a sans doute trouvé quelques certitudes et des idées à développer comme Menez très remuant en deuxième attaquant, Thiago Motta en relayeur ou encore Verrati, véritable chien de garde devant sa défense. 

 
En revanche, l'Italien va devoir se pencher très sérieusement sur le cas Pastore, positionné en soutien derrière ses deux attaquants mais créateur de peu de choses si ce n'est de déchets (14 ballons perdus sur 38).
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27 août 2012 1 27 /08 /août /2012 10:59

Paris ne décolle toujours pas : 3 nuls en 3 matches. (AFP)
Malgré le retour d'Ibrahimovic, le PSG a concédé contre Bordeaux son troisième nul consécutif (0-0). Avec seulement trois points, le club parisien reste englué à la 11e place.

 
Il reste du travail, beaucoup de travail. A peu de choses près, c'est ce que doit se dire Carlo Ancelotti après le nouveau match nul de son équipe, dimanche contre Bordeaux (0-0). Incapable de gagner pour la troisième fois d'affilée, le PSG idéal, tel que ses propriétaires qatariens le rêvent, est encore loin de ressembler à cet ogre affamé, susceptible de tout dévorer sur son passage. Comme à Ajaccio la semaine dernière, il a encore affiché des faiblesses criantes face aux Girondins. 

 
Et pourtant sa superstar était bien là. Même affaibli par une blessure récalcitrante à une cheville, Zlatan Ibrahimovic a tenu sa place, a pesé de tout son poids et tenté le maximum pour éviter à Paris une nouvelle déconvenue. Mais face au schéma ultra-resserré (3-5-2) en défense des Bordelais, le même qui avait déjà posé des problèmes aux Parisiens la saison passée, le Suédois, cerné de toutes parts, n'a pas eu souvent l'occasion de se mettre en évidence. A deux reprises (53e et 73e), il a inquiété Carrasso. Bien trop peu pour mettre en échec un adversaire potentiellement leader en cas de succès. 

 
 
Si en Corse, c'est dans l'agressivité que les joueurs de la capitale avaient pêché, c'est cette fois techniquement qu'ils ont failli, manquant cruellement d'audace, de prise de risques pour forcer la décision. Le jeune Rabiot (17 ans), pour son premier match en pros, aurait pu apporter cette fraîcheur tant désirée par son entraîneur, mais malgré une technique impeccable, il a surtout ralenti le jeu, à force de chercher constamment le geste parfait. Son remplaçant à l'heure de jeu, Ménez, aurait pu donner la victoire aux siens, apportant sa percussion d'entrée (83e). Mais là encore cela n'a pas suffi. Trop approximatifs aussi bien dans la relance, à l'image d'un Thiago Motta hésitant et à court de rythme, que dans le dernier geste, comme Alex (45e+1), les Parisiens ont aussi offert des espaces béants par moment à leurs adversaires, dont ces derniers n'ont pas su profiter (61e et 89e) comme Lorient l'avait fait avant eux. 
 
Carrasso toujours invaincu contre Paris

 
Quand ce n'est pas l'adresse qui leur a fait défaut, les partenaires de Jallet se sont également heurtés à un dernier obstacle, Cédric Carrasso, 200 matches pile poil à son compteur en Ligue 1. Par deux fois, le portier girondin a sauvé son équipe, d'abord sur un beau mouvement de Pastore (19e) puis sur un autre de Nene (45e). Carrasso aimerait presque jouer plus souvent contre Paris car en onze confrontations désormais (avec Marseille et Bordeaux), il n'a toujours pas perdu. Série en cours. 

 
Celle de Bordeaux, qui restait sur huit victoires d'affilée en Championnat, à cheval sur la saison passée, s'arrête là, laissant l'OM seul en tête. Mais nul doute que Francis Gillot se pose aujourd'hui beaucoup moins de questions que son homologue parisien. Avec déjà sept points gagnés, son équipe est plus que dans le coup. Pour Paris en revanche, ce troisième match nul consécutif n'est pas le bienvenu. Car les prochaines échéances vont arriver à grands pas, dès la semaine prochaine à Lille. Et il faudra alors montrer beaucoup plus.
Hugues SIONIS, au Parc des Princes
http://sport.fr.msn.com/Football/Actualites/Paris-sans-genie/308779
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20 août 2012 1 20 /08 /août /2012 12:35

Deuxième match et deuxième nul pour le PSG, tenu en échec à Ajaccio (0-0). Les Parisiens ont terminé à dix après l'expulsion de Lavezzi.

Le PSG n'est pas encore au point. Au terme d'une prestation décevante, les Parisiens ont été tenus en échec à Ajaccio (0-0), une semaine après avoir été incapables de se défaire de Lorient au Parc des Princes. 

 
L'occasion en or manquée par Jérémy Ménez en première période restera le seul éclair de la soirée pour la formation de Carlo Ancelotti, qui aurait pu s'incliner si la frappe d'Eduardo n'avait pas été détournée sur son poteau par Salvatore Sirigu en deuxième période. L'expulsion d'Ezequiel Lavezzi est venue ternir encore un peu plus un bilan bien maigre pour Paris, seulement 12e du classement à l'issue de cette 2e journée.
Cette place, bien éloignée des ambitions parisiennes, est d'abord le résultat d'une qualité de jeu insuffisante. L'absence de Zlatan Ibrahimovic ne peut l'expliquer à elle seule. Avec une attaque à trois têtes (Nene, Ménez, Lavezzi) mais sans véritable pointe, le PSG a eu toutes les peines du monde à enchaîner les passes et se montrer dangereux. Il ne l'aura été qu'une seule fois. Sur une transversale de Pastore, Nene a pu entrer dans la surface côté droit et servir idéalement Jérémy Ménez, seul dans les six mètres. 
Mais l'attaquant international a placé sa reprise directement sur Guillermo Ochoa, tout heureux de récupérer le ballon. A part ça, le gardien mexicain a dû s'interposer sur une tête de Clément Chantôme (38e) et une frappe de Kevin Gameiro (77e). Pour un prétendant au titre, ça reste maigre.
Paris perd ses nerfs
Ajaccio a sa part de responsabilité dans la performance bien terne du PSG. Bien organisée et agressive dans les duels, la formation corse a fait déjouer la formation de Carlo Ancelotti et essayé d'exploiter à fond ses opportunités. La meilleure restera celle offerte à Eduardo. L'avant-centre du club corse s'est retrouvé seul face à Salvatore Sirigu après une mauvaise relance de Mamadou Sakho, mais sa frappe croisée a été détournée par le portier italien sur le poteau (53e). 
Echaudé, Paris en a perdu ses nerfs. Ezequiel Lavezzi a d'abord été expulsé pour une intervention les deux pieds décollés du sol sur Benjamin André (59e), puis Carlo Ancelotti lui-même a été prié de regagner les tribunes pour un geste d'énervement (77e). 
La coupure de courant qui a plongé le stade François-Coty dans le noir et interrompu la partie durant dix minutes n'a pas changé la donne. Le PSG devra retrouver sa lucidité et une qualité de jeu plus digne de ses ambitions pour espérer signer un premier succès cette saison dimanche prochain face à Bordeaux.
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11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 17:52


 Dauphin de Montpellier la saison dernière, Paris a mis le paquet pour parvenir à ses fins et redevenir champion de France 19 ans après son dernier titre. Avec les renforts de Zlatan Ibrahimovic, Thiago Silva ou encore Ezequiel Lavezzi, le PSG est LE grand favori.
Classement de la saison dernière :
 2e de Ligue 1 avec 79 points, 23 victoires, 10 nuls et 5 défaites, 75 buts inscrits, 41 encaissés.
Les objectifs
Inutile de tourner autour du pot. L’objectif est clair, net et parfaitement défini. Après 18 ans d’abstinence, le PSG veut à nouveau régner sur l’Hexagone. Et avouons-le dès maintenant : aucune équipe, sur le papier, ne semble capable de rivaliser. Autrement dit, Paris n’a pas le droit à l’erreur. 
Une 2e place comme la saison dernière ne serait pas une déception, ce serait un échec retentissant. Une catastrophe pour le club de la capitale qui a à nouveau dépensé sans compter avec près de 150 millions d’euros d’investissement cet été. L’an passé, le PSG version qatari pouvait brandir l’excuse d’une équipe en pleine construction, d’une saison dite de transition en raison d’un effectif chamboulé et de la nomination d’un nouvel entraîneur.
Cette fois-ci, Paris n’aura aucune échappatoire. Mais avec cette «dream team», dixit Ibrahimovic, Paris peut viser bien plus haut. «Il faut aller chercher le titre, et la Ligue des Champions est également très importante pour nous, reconnaît Mamadou Sakho.Cela ne sera pas évident mais nous sommes en train de construire une équipe. 
Surtout, tout le monde a envie». Ce PSG version 2012-2013 a clairement les moyens de titiller n’importe qui en Europe. «Nous souhaitons être compétitifs en Ligue des Champions. Pas forcément la gagner tout de suite, quoique, pourquoi pas ? Tout est possible !», se met à rêver Leonardo. A condition que Carlo Ancelotti trouve le bon équilibre.
Ce qui a changé
On savait les Qataris sans limite sur le plan financier. Malheureusement, le PSG souffrait du manque d’attractivité de la Ligue 1 et avait, par voie de conséquence, montré ses limites l’an passé sur les dossiers Tevez, Pato et Beckham. Aujourd’hui, tout a changé. Paris est entré dans une nouvelle dimension. En s’attachant les services d’un des meilleurs attaquants du monde, Zlatan Ibrahimovic, de l’un, si ce n’est LE meilleur défenseur central du monde, Thiago Silva, et d'une petite pépite brésilienne, Lucas Moura, au nez et à la barbe de Manchester United ou encore l'Inter Milan, Paris a envoyé un message fort à l’Europe du football. Désormais, Paris peut rivaliser avec les mastodontes du Vieux Continent. 
Le club de la capitale est capable d’attirer dans ses filets les plus gros poissons et donc, de se donner les moyens de ses ambitions grandissantes. «On fait notre entrée dans le plus grand marché possible. Des joueurs comme Thiago Silva et Ibrahimovic ont joué dans les plus grands clubs. Maintenant, Paris est à ce niveau-là. Pour le club, c’est quelque chose de nouveau. Mais à l’international, tant au niveau sportif qu’économique, c’est quelque chose qui existe déjà. On est très fier, s’est réjoui Leonardo. Dans la rue, on voit déjà la réaction des gens. On se sent plus fort. On se sent vraiment en capacité de faire quelque chose d’important avec Paris».
L’homme à suivre : Zlatan Ibrahimovic 
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«Certains médias avaient annoncé que nous n’aurions jamais de superstar. Nous en avons une». Nasser Al-Khelaïfi n’était pas peu fier de son coup. La Ligue 1 va en effet avoir le privilège de voir à l’œuvre Zlatan Ibrahimovic, «un très grand joueur, l’un des meilleurs attaquants du monde», selon Carlo Ancelotti. Avec lui, Paris s’est enfin doté d’un goleador à dimension internationale. «Ibra», c’est 28 buts en 32 matches de Serie A la saison dernière. 33 en 80 sélections avec la Suède. Un attaquant fantasque, connu et reconnu aussi bien pour ses coups de génie que pour ses coups de gueule. Un joueur sûr de lui et au caractère bien trempé. A Paris, toutes les conditions seront réunies pour qu’il brille. L’équipe jouera autour de lui et pour lui. Ce sera, tout simplement, l’attraction de la saison.
Le mercato au 09/08/2012
Arrivées : Ibrahimovic (Milan AC), Landre (r.p. Clermont), Lavezzi (Naples), Maurice (r.p. Lens), Thiago Silva (Milan AC), Verratti (Pescara), Lucas Moura (Sao Paulo, arrivée prévue en janvier 2013)
Départs : Arnaud (f.c.), Bahebeck (p. Troyes), Boccara (Ajax), Ceara (f.c.), Ngoyi (f.c.), Rimane (f.c.)
L’effectif au 09/08/2012 :
Gardiens : Douchez, Areola, Sirigu, Le Crom
Défenseurs : Thiago Silva, Sakho, Bisevac, Tiéné, Z. Camara, Alex, Lugano, Maxwell, Armand, Jallet, Landre
Milieux : Ménez, Nenê, Bodmer, Matuidi, Chantôme, Sissoko, Verratti, Pastore, Thiago Motta, Kebano, Rabiot
Attaquants : Ibrahimovic, Luyindula, Hoarau, Lavezzi, Gameiro, Maurice
Résultats des matches amicaux
Stegersbach – Paris SG 0-9
CSKA Moscou – Paris SG 2-2
Chelsea – Paris SG 1-1
DC United – Paris SG 1-1
Paris SG – Barcelone 2-2
Le début de saison
11 août : Paris SG – Lorient 
19 août : Ajaccio – Paris SG
26 août : Paris SG – Bordeaux

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29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 14:06

Zlatan Ibrahimovic n'a eu besoin que de trois minutes  pour marquer son premier but pour le PSG, tenu cependant en échec par DC United (1-1).

La superstar du PSG Zlatan Ibrahimovic a réussi ses grands débuts sous le maillot parisien en inscrivant un but lors du deuxième et dernier match amical de la tournée américaine du club de la capitale, pourtant tenu en échec par DC United (1-1), samedi, au cours d'un match interrompu 45 minutes par un violent orage. L'histoire retiendra que c'est au bout de seulement 2 minutes et 30 secondes que le grand attaquant suédois a ouvert son compteur avec le PSG. Bien servi par Ménez, Ibrahimovic s'est facilement joué du défenseur local Woolard pour tromper le gardien adverse d'une frappe enroulée du pied gauche dans le petit filet. Un geste que l'avant-centre, transfert le plus retentissant depuis le début de l'ère qatarie, a effectué quasiment sans forcer, à l'image de cette première prestation en tant que joueur du PSG. Félicité dans la foulée quasiment par tous ses partenaires, le Suédois a donné l'impression de très bien s'intégrer à sa nouvelle équipe.

 
Comme l'avait prévenu l'entraîneur Carlo Ancelotti la veille, Ibrahimovic n'est resté que 38 minutes sur la pelouse du RFK Stadium avant d'être remplacé par Hoarau mais cela lui a amplement suffi pour montrer par instants son énorme talent et imprimer déjà sa marque sur sa nouvelle équipe. Arrivé tardivement à ce stage américain (mardi), "Ibra" n'avait pas le jus et la condition physique nécessaires pour tenir plus longtemps sur le terrain. La chaleur et l'humidité terribles de la capitale américaine l'ont également obligé à jouer à l'économie. Mais le Suédois ne pouvait pas rêver d'une meilleure entame avec ses nouveaux coéquipiers.

 
La panoplie complète, en marchant
Encore à court de préparation, Ibrahimovic s'est donc contenté de jouer simplement, décrochant énormément pour essayer de remiser à une touche de balle avec ses partenaires. Ouverture millimétrée, comme celle à destination de Maxwell (27e), passes en en pivot, frappes: le Suédois a sorti la panoplie complète de l'avant-centre...en marchant. Il a surtout démontré que la moindre erreur dans sa zone pouvait se traduire par un danger immédiat, comme cette mauvaise relance d'un défenseur américain qu'il a failli transformer en but sur une frappe surpuissante, de peu au-dessus (30e).

 
Pour le reste, Paris n'a pas montré un visage très conquérant à deux semaines de l'ouverture de la L1 contre Lorient au Parc des Princes. Après trois rencontres prometteuses contre les modestes Autrichiens de Stegersbach (9-0), le CSKA Moscou (2-2) et le champion d'Europe Chelsea (1-1), le PSG s'est fait bousculer par la franchise de la capitale fédérale américaine et a logiquement concédé l'égalisation sur un penalty transformé par De Rosario après une main de Bisevac dans la surface de réparation (33e). Si Carlo Ancelotti a une nouvelle fois beaucoup fait tourner son effectif, la défense a tout de même donné de sérieux signes de fébrilité, n'étant sauvée que par la barre transversale, sur une tentative de Pontius (20e), ou sur des parades décisives de Douchez (23e, 55e).

 
Au rayon des satisfactions, Ancelotti a pu noter la bonne rentrée de Ménez, auteur d'une passe décisive, et celle de Matuidi, très actif au milieu en seconde période. Lavezzi a par ailleurs accompli une prestation à nouveau très prometteuse. Il reste encore un match aux Parisiens, contre le FC Barcelone, le 4 août au Parc des Princes, pour peaufiner leurs réglages avant le redémarrage du championnat.
DC UNITED - PARIS-SG : 1-1 Buts: De Rosario (33e s.p.) pour DC United et Ibrahimovic (3e) pour le PSG. Avertissements: Jakovic (18e), Santos (60e), Cruz (90+3) à DC United. Temps: chaud, pelouse: moyenne, spectateurs: 13.176. Arbitre: John McCloskey. PARIS-SG, 1RE PERIODE : Douchez - Bisevac, Lugano, Alex (Sakho, 24e), Tiéné - Verratti, Bodmer, Maxwell - Ménez, Nene - Ibrahimovic (Hoarau, 38e). PARIS-SG, 2E PERIODE : Jallet, Camara, Sakho, Armand - Matuidi, Chantôme (Rabiot, 60e), Pastore - Gameiro, Hoarrau (Luyindila, 68e), Lavezzi. DC UNITED : Hamid (Willis, 72e) - Korb, Dudar, Jakovic (Mc Donald, 46e), Woolard - Deleon (Salihi, 75e), Kitchen (Saragosa, 80e), Boskovic (Neal, 46e), Pontius (Cruz, 67e) - Tan (Wolff, 67e), De Rosario (Santos, 46e).
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25 juillet 2012 3 25 /07 /juillet /2012 19:58




Venez visiter les coulisses du vélodrome avant la reconstruction de la tribune jean Bouin !
En effet, profitez de la dernière chance qui vous est offerte de visiter le Vélodrome dans sa configuration actuelle.
Du banc de touche aux vestiaires en passant par les  loges et le salon du président, découvrez les coulisses du Vélodrome telles que vous ne les avez jamais vu !
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23 juillet 2012 1 23 /07 /juillet /2012 10:56
Football : 11 grandes stars qui ont débarqué dans une équipe française....


La Ligue 1 révèle parfois de grands joueurs, parie de temps en temps sur des vieilles gloires sur le retour, mais attire rarement des types que les plus grands d'Europe s'arrachent. Avec la venue officielle d'Ibrahimovic (oui, c'est cher, on sait, mais c'est pas notre thune), on se rend compte que ce n'est pas si compliqué, il suffit d'avoir de l'argent. Mais cette découverte ne date pas d'hier. 
Attention, ce top ne comporte donc pas de grands joueurs qui sont devenus des grands joueurs après leur passage chez nous, comme Weah donc. Fallait que ça soit dit.


1. Rai (PSG)
Si on se félicite aujourd'hui à Paris d'accueillir enfin des grosses pointures internationale, on oublie un peu vite qu'en 1994, le PSG voyait débarquer le capitaine de la sélection brésilienne appelée à être championne du monde, le vainqueur de la Copa Libertadores 1992 et de la Coupe Intercontinentale contre Barcelone. Raï, c'était déjà le joueur que n'est pas encore Javier Pastore.


2. Ronaldinho (PSG)
Quand il débarque à Paris, Ronaldinho n'est pas encore tout à fait une star. Mais il a déjà tout ce qu'il faut : du talent à revendre et quelques accrocs au moment de claquer la porte de Gremio. Tout le monde sait que le bonhomme est une perle du football mondial, sauf Luis Fernandez qui lui préfère Stéphane Pédron ou Francis Llacer. Il était pas candidat au poste de sélectionneur Fernandez?


3. Fabrizio Ravanelli (OM)
Si Marco Simone débarque au PSG sans jamais avoir été vraiment titulaire au Milan AC, Fabrizio est précédé d'une glorieuse réputation acquise à la Juventus. L'arrivée des deux Italiens marque surtout une époque pleine d'espoir durant laquelle on se dit qu'on peut gagner des Ligues des Champions puis venir jouer en France et non l'inverse.


4. Jairzinho (OM)
Arrivé avec son compère Paulo César Lima au milieu des années 1970 sur la Cannebière, le champion du Monde brésilien ne se montrera que très peu sous son maillot marseillais, entre les blessures et les suspensions. Mais c'est quand même pas tous les jours qu'on a un champion du monde étranger sous le maillot blanc. Et peu importe s'il quitte le club pour avoir agressé un juge de touche.


5. Enzo Francescoli (RC Paris)
En signant le meneur de jeu de River Plate en 1986, le RC Paris prépare l'effectif de ce qui deviendra quelques mois plus tard le Matra Racing, un Manchester City avant l'heure. Peu performant dans la capitale, l'Uruguayen ira illuminer le jeu de l'Olympique de Marseille.


6. Glenn Hoddle
Si on s'interroge sur le fait que Glenn Hoddle était une star au moment où il signe à Monaco, on va imaginer un club français signant un meneur de jeu international anglais, ayant participé à deux Coupes du Monde, finaliste de la dernière Cup, signer chez le 5ème de Ligue 1. Genre Steven Gerrard qui signe à Bordeaux. Donc oui, Glenn Hoddle était une star.


7. Jay-Jay Okocha (PSG)
Le Nigérian arrive dans les valises de Charles Biétry auréolé d'une belle coupe du monde, d'un transfert de 100 millions de francs et d'une floppée de gestes techniques estampillés "Jay-Jay". On ne retiendra finalement pas grand-chose d'autre de son passage à Paris que ce missile de 35m expédié dans les cages d'Ulrich Ramé en guise de présentation et le visage incrédule d'Alain Giresse.


8. Marcello Gallardo (AS Monaco)
Marcello a deux atouts qui font de lui un joueur de classe internationale : il sort d'une coupe du monde très honorable avec la sélection argentine (ce qui n'était le cas de Renato Civelli) et il vient d'une bien belle lignée de numéro 10 à River Plate, après Enzo Francescoli ou Ariel Ortega.


9. Enzo Scifo (Girondins de Bordeaux)
Bordeaux semble apprécier faire son marché dans les boutiques milanaises. Avant d'y trouver un Gourcuff mort de faim, les Girondins avaient été repêcher un Enzo Scifo peu à son aise à l'Inter. Le Belge ne retrouvera pas son niveau d'Anderlecht et ira enflammer les tribunes d'Auxerre la saison suivante.


10. Carlos Bianchi (Stade de Reims)
Après la bonne pioche Delio Onnis, le Stade de Reims fait à nouveau ses courses dans la réserve de buteurs en Argentine. Les recruteurs rémois obtiennent un accord oral du buteur qui claque dans la foulée un triplé contre le Champion d'Argentine qui attire les convoitises. Mais Carlos sera réglo et déclinera des offres plus alléchantes venues d'Espagne pour venir planter pas loin de 200 pions en France.


11. Thiago Silva (PSG)
27 ans, international brésilien et considéré par beaucoup d'observateurs, Thiago Silva débarque en Ligue 1 au meilleur de sa forme et prouve qu'on n'a pas à se contenter des espoirs ou des vieux briscards sur le retour, on peut aussi être un club français et piocher parmi les titulaires du Milan AC. Et ça, que l'on soit supporter de n'importe quel club, c'est une bonne nouvelle. Même si ça coûte 49 millions d'euros.


12. (bonus)Zlatan Ibrahimovic (PSG)
Avoir un actionnaire plein de pétrole fait donc bien les choses. Ok il n'est plus très jeune, ok il est très cher, mais Paris était prêt à tout pour s'acheter un grand nom... Et on se demande à quand remontait la signature dans un club français d'un meilleur buteur d'un des grands championnats étrangers (et non on ne compte pas le championnat belge). On est maintenant curieux de voir Néné lui prendre le ballon pour tirer un coup-franc...


Mais aussi Joe Cole, Marco Simone, José-Luis Chilavert, Andreas Köpke, Chris Waddle, Sonny Anderson (le retour à Lyon)...
http://fr.sports.yahoo.com/blogs/topito-foot/10-footballeurs-%C3%A9trangers-d%C3%A9sormais-%C3%A9quipe-fran%C3%A7aise-161612467.html 
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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 17:14
Nasser Al-Khelaifi, le président du PSG, Zlatan Ibrahimovic et le directeur sportif, Leonardo. © Bertrand Guay / AFP

 
 
L'arrivée d'une star mondiale du football comme Zlatan Ibrahimovic rappelle l'âge d'or du championnat de France des années 1990.


C'est officiel ! Zlatan Ibrahimovic va revêtir le maillot du PSG. Le président du club de la capitale, Nasser Al Khalaifi, l'a officialisé mercredi, au Parc des Princes. Pourtant, le suspense a quelque peu plané lors de la conférence de presse avant que le joueur suédois rejoigne son président et le directeur sportif du club, Leonardo, assis à la table des intervenants. Fidèle à sa réputation, Zlatan Ibrahimovic est arrivé en retard, ce qui a longtemps inquiété un staff parisien craignant un revirement de dernière minute. Finalement, après quelques minutes d'attente le joueur a fait son entrée, s'excusant de son retard, et permettant ainsi à Leonardo de qualifier le recrutement du Paris-SG de "parfait". 


L'attaquant suédois s'est en effet engagé pour trois saisons et va toucher un salaire annuel de près de 14 millions d'euros. Il devient par la même occasion le joueur le mieux payé de la Ligue 1, ainsi que le second le mieux rémunéré du monde derrière Samuel Eto'o. C'est un véritable coup de maître que vient de réaliser le club de la capitale en enrôlant le géant scandinave (1,95 m) en provenance du Milan AC. Car l'arrivée d'une véritable star mondiale du ballon rond telle qu'Ibrahimovic dans l'Hexagone constitue un événement tout à fait assez exceptionnel pour le championnat de France de football. 


C'est effectivement la première fois depuis les années 1990 qu'un footballeur avec un tel rayonnement planétaire - et surtout au sommet de sa forme - vient jouer en Ligue 1. Le capitaine de la sélection suédoise allie à la fois des qualités sportives hors normes et une aura qui le range parmi la catégorie des meilleurs joueurs du monde. D'autant que le nouvel attaquant parisien arrive au sommet de sa gloire et en pleine possession de ses moyens. Âgé de 31 ans, le Suédois arrive donc au top de sa forme à Paris et non pas en préretraite. Une rareté dans un championnat plutôt habitué à relancer d'anciennes gloires qu'à les attirer.


Comme Rai, Rudi Völler et Jürgen Klinsmann ?


La venue de Zlatan Ibrahimovic n'a en effet rien de comparable avec l'arrivée de Fernando Morientes, qui n'avait plus sa place au Real Madrid lorsqu'il est arrivé en prêt à l'AS Monaco en 2004. D'aucuns évoqueront alors les Sonny Anderson ou Giovane Élber qui sont arrivés à Lyon dans les années 2000 avec un statut de "grands attaquants". Pourtant, Zlatan Ibrahimovic, par son parcours et son palmarès, relègue ces deux anciennes gloires au rang de bons joueurs. Seulement. Pour les plus jeunes, Javier Pastore n'est pas non plus de taille. Il entre dans la catégorie des prodiges en devenir à l'image de Ronaldinho en 2001. 


Il faut donc remonter à l'époque des Rai, Rudi Völler ou Jürgen Klinsmann pour retrouver la présence de tels joueurs de classe mondiale avec cette expérience en Ligue 1. L'ancien capitaine du Brésil et les deux champions du monde allemands 1990 ont fait le bonheur respectivement de Paris, Marseille et Monaco, mais dégageaient surtout cette aura et cette classe qui font la marque des grands joueurs au moment de leur arrivée. Ibrahimovic reprend donc le flambeau après quinze ans environ de vaches maigres.


La faute à l'arrêt Bosman du 15 décembre 1995, qui a relégué la France au second plan pour attirer les grands noms du football. Cette jurisprudence a permis aux clubs européens de pouvoir recruter des joueurs de nationalités aussi diverses que variées, puisqu'elle a mis un terme aux quotas de joueurs étrangers présents dans les équipes. La compétitivité des clubs français a donc été lourdement touchée, alors qu'entre 1990 et 1996 les performances des équipes tricolores rendaient l'Hexagone attractif pour de grands footballeurs. Mais cette décision de la Cour de justice de l'Union européenne a donc contraint les équipes françaises à renoncer à faire venir des joueurs de classe mondiale en raison des nouvelles exigences salariales dantesques de ces derniers.


Changement de dimension


Dès lors, un changement de stratégie a été observé. Les clubs de Ligue 1 se focalisent dorénavant sur les jeunes joueurs pour espérer les vendre ensuite avec plus-value. Ou bien ils jouent au "réparateurs" en récupérant des footballeurs expérimentés au CV bien rempli mais qui sont en plein doute sportif. Cette méthode, qui était la spécialité d'un club comme l'AJ Auxerre dans les années 1990, qui avait relancé notamment Enzo Scifo et Laurent Blanc, se généralise à l'ensemble du football français, y compris l'OM et le PSG. 


Et cette politique, inévitable pour des raisons financières, dure depuis presque deux décennies. Changement d'orientation donc avec le PSG version qatarie qui voulait renouer avec l'âge d'or des grandes stars. En faisant signer la vedette suédoise, le club de la capitale fait ainsi passer le football français dans une nouvelle dimension dont il était exclu depuis des lustres. Le championnat hexagonal ne construit plus des vedettes comme l'avait fait Lyon avec Essien ou Juninho, ou l'OM avec Drogba. Il en fait désormais venir ! Comme au bon vieux temps...


L'arrivée de Zlatan Ibrahimovic est donc un tournant pour la Ligue 1. Mais, à la différence des années 1990 où Paris, Marseille et Monaco se concurrençaient pour faire venir les plus grands joueurs, seul désormais le club francilien peut se permettre ce privilège grâce aux pétrodollars qataris. Les autres équipes vont continuer à pratiquer cette même politique de restriction budgétaire où il faut d'abord vendre avant d'acheter. Le recrutement de l'attaquant scandinave demeure donc un fait exceptionnel qui ne concerne que le PSG qui a des moyens financiers quasi illimités. 


Et la DNCG, le gendarme financier du football français, veille toujours au grain pour sanctionner les largesses comptables des clubs français. Mais même si la folie qatari occulte les difficultés financières de la majorité des équipes de Ligue 1, l'afflux de stars comme Ibrahimovic est une bonne nouvelle. D'autant que ce transfert ouvre la voie aux autres joueurs du même calibre. On parle d'ailleurs très prochainement de l'arrivée du Brésilien Kaka, en provenance du Real Madrid...
http://www.lepoint.fr/sport/ibrahimovic-au-psg-le-retour-des-stars-du-foot-en-france-18-07-2012-1486806_26.php?xtor=EPR-6-[Newsletter-Quotidienne]-20120719 
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19 juillet 2012 4 19 /07 /juillet /2012 07:34


Il faut virer LA TOTALITÉ de cette équipe de merde!!!


 Contrairement aux équipes de Pologne, d’Angleterre, des Pays-Bas, d’Allemagne, d'Espagne, d'Italie et d'autres équipes de foot venues pour l'Euro 2012,
L'équipe de France n’a pas visité le camp d'extermination des Juifs, des tziganes, des résistants et autres datant de la dernière guerre.


A cause de la pression des joueurs musulmans :
les Ribéry (qui a appelé son fils glaive de l’islam), et autres 
Benzema, Nasri, Ben Arfa.Auraient-ils appliqué la sourate 5:56 du Coran :
Ô croyants ! Ne prenez point pour amis les juifs et les chrétiens; ils sont amis les uns des autres.
Celui qui les prendra pour amis finira par leur ressembler, et Dieu ne sera point le guide des pervers...


Pourquoi les commentateurs sportifs si lyriques, lorsqu'ils tapent dans un ballon, sont-ils si silencieux sur cette affaire qui fait scandale en Europe?


Pourquoi nos Ministres ne se posent pas (plus?) la question sur cette forme de non-respect d'un lieu chargé de mémoire.
Pourquoi nos bien-pensants, nos socialo-cocos-bobos et autre associatifs droits-de-l'hommistes ne hurlent-ils pas aux loups ?
Pourquoi tous ces arbitres de la pensée unique ne crient-ils pas hors-jeu, pénalty, faute.
Pourquoi envoie-t-on des enfants, affronter cette mémoire et pas des  footeux millionnaires et incultes?


 Équipe de France? MON CUL !!!


 Peu parmi les footeux de cette équipe chantent la Marseillaise,  ils se sentent si peu Français et d'autres sont déjà dans la Oumma!


Oui, j'ai honte de ces représentants footeux gâtés et débiles,honte de ses supporters qui consentent à cette attitude en continuant  à les soutenir béatement: qui ne dit mot consent,honte de ses collabo-journalistes sportifs qui ne disent rien devant une évidence, cette évidence d'une équipe qui ne représente en rien la  France.


Car, il ne suffit pas de taper dans un ballon, encore faut-il savoir à quoi correspond ce maillot bleu qu'ils portent. Pour ces gens, ce n'est qu'un CV de plus pour de futurs et juteux contrats....


Cette France-là n'est pas la mienne!


Désolé, et si vous pensez comme moi, vous pouvez le faire savoir également à cette Fédération Française de Foot décidément si  écœurante par son silence tout en négociant des primes scandaleuses (100 000€) quand d'autres français d'en bas et parmi eux des "supporters" gagnent moins de 1000 euros de retraite ou de salaire ! 


Un peu de décence bon dieu!



 
 
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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 08:20

Zlatan Ibrahimovic et Thiago Silva sont annoncés au PSG. Selon Sky Sports 24, un accord de 65 millions d'euros aurait même été trouvé.


Le duo ferait rêver n'importe quel supporter. Mais ceux du PSG resteront sûrement prudents. Car ils sont encore marqués au fer rouge par les transferts alléchants annoncés et finalement tombés à l'eau depuis l'été dernier et l'arrivée des propriétaires qatariens dans la capitale. Il y a eu Pato, Beckham, Tevez ou encore Thiago Silva. Ce dernier revient justement sur le devant de la scène ce mercredi. Le défenseur brésilien de 27 ans est de nouveau évoqué  pour un transfert au PSG, qu'il a failli rejoindre pour 46 millions d'euros mi-juin. Et cette fois-ci, il pourrait venir avec Zlatan Ibrahimovic (30 ans).  


Mercredi matin, L'Equipe s'appuyait sur une déclaration d'Adriano Galliani, le vice-président du Milan AC, pour mettre le feu aux poudres. Car Galliani a laissé la porte ouverte à un départ du duo star. "Je pense qu'Ibra et Thiago Silva resteront mais...", avouait le dirigeant rossonero. Selon le quotidien sportif, le PSG pourrait les accueillir, moyennant une somme avoisinant les 60 millions d'euros. "Aucune négociation n'a encore repris et Paris ne s'est pas encore positionné", expliquait cependant le journal. L'information a été reprise dans toute l'Europe. Et dans la soirée, c'est Sky Sport 24 qui en a remis une couche. D'après la chaîne italienne, l'AC Milan aurait accepté une offre de 65 millions d'euros pour transférer ses deux joueurs au club de la capitale...


L’agent d’Ibra a rencontré Galliani
Il faut bien sûr se montrer prudent sur le dossier. Mais ce qui est sûr, c'est que l'AC Milan, qui a fait prolonger Thiago Silva pour 6 millions d'euros net par mois après la décision de Silvio Berlusconi de le conserver, est toujours dans une situation financière difficile et doit vendre pour assainir ses comptes. Or Zlatan Ibrahimovic possède un salaire mirobolant avec ses 12 millions d'euros nets par an et n'arrange pas les finances milanaises. L'agent du Suédois a aussi rencontré Galliani pendant quatre heures mercredi. Il est resté muet à sa sortie mais a pris l'avion pour la Suède où il va discuter avec Ibra, qui ne serait pas contre l'idée de rejoindre le PSG mais aurait des réticences quant au niveau de la L1.


En attendant d'y voir plus clair dans les prochains jours, la presse italienne spécule déjà sur les joueurs que l'AC Milan a dans le viseur pour compenser ces départs. Selon la Gazzetta dello Sport, le club lombard aurait fait de Tevez et Dzeko ses options privilégiées en attaque et de Dedé ou Kolarov pour la défense. Les choses semblent donc bouger du côté de l'AC Milan. Mais ça ne veut pas dire que le PSG va s'offrir une belle doublette car Silvio Berlusconi est toujours là. Et dans la capitale, on a appris à ne pas s’emballer quand une rumeur circule.
http://fr.sports.yahoo.com/news/psg-lincroyable-duo-182153214.html 
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