Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
11 décembre 2011 7 11 /12 /décembre /2011 10:54
 
Le PSG, vainqueur à Sochaux (0-1) grâce à un but de Kevin
Gameiro, a profité de la défaite montpelliéraine à Valenciennes
(1-0) pour revenir à hauteur du leader héraultais, lors de la
 17e journée de L1. Toulouse et Saint-Etienne l'ont emporté
à domicile. Marseille a été accroché par Bordeaux (0-0).

Kevin Gameiro PSG Sochaux - 0

Le constat est trop troublant pour relever de la simple coïncidence. Samedi soir, Kevin Gameiro s'est remis à marquer. Et comme par hasard, Paris a gagné son deuxième match de L1 en six jours. Bientôt deux mois que le club de la capitale courait après cet enchaînement. Depuis le triplé de Gameiro àAjaccio(1-3), le 16 octobre.

A Sochaux (0-1), le PSG a surfé sur sa victoire acquise face à Auxerre, dimanche dernier (3-2). Un but malicieux de son goleador, dans un angle fermé, lui a suffi pour ramener trois points de Bonal, au terme d'une rencontre

qu'il n'a pas maîtrisée de bout en bout. Mais qui ramène les Parisiens à

hauteur de Montpellier. Car dans le même temps, le leader héraultais a

trébuché à Valenciennes (1-0). Son invincibilité durait depuis huit matches. Elle n'a

 pas résisté à une frappe flottante de Ducourtioux relâchée par Jourdren et exploitée

 par l'opportuniste Kadir. Résultat : à l'issue de la 17e journée, Montpellier ne devance

 Paris qu'à la différence de buts (+18 contre +13).

Les Verts sur leur lancée

Toulouse et Saint-Etienne sont les autres bénéficiaires de cette soirée. Grâce à

un but de Bulut dans les ultimes minutes, le TFC est venu à bout d'Evian-TG (2-1).

Les Violets rejoignent Lyon, qui ira à Lorient dimanche, et Rennes, accroché par son

voisin brestois (1-1). Les Verts, eux, ont dominé Caen (2-0) et prolongé leur belle série :

 ils ont engrangé 11 points lors des cinq derniers matches. Les Marseillais venaient

d'en prendre six contre Paris (3-0) et Caen (1-2). Face à Bordeaux (0-0), ils ont été

stoppés dans leur élan.

Devant son public, Nancy a bien failli perdre le match de la peur face à Ajaccio.

Les Lorrains ont arraché le nul in extremis (2-2), grâce à Niculae. Ils n'ont plus gagné

depuis leur succès du 20 novembre, à Paris (0-1). L'ASNL reste relégable. Les Corses

traînent toujours en queue de peloton.

Gil BAUDU / Eurosport
Partager cet article
Repost0
10 décembre 2011 6 10 /12 /décembre /2011 15:06


Samedi soir 10/12/2011 (22h00), tous les regards seront braqués sur Madrid. Le

Real et le Barça, les deux équipes les plus fortes du moment, y croiseront le fer

pour la septième fois en 2011. Ce Clasico vaudra de l'or : il peut permettre au

leader merengue de creuser l'écart sur son rival catalan.


L'ENJEU

Il serait, évidemment, prématuré de prétendre que le champion d'Espagne sera

connu samedi, sur les coups de minuit. Mais une certitude entoure ce 163e Clasico

en Liga : il s'annonce plus disputé que jamais. Car cette saison, le Real, qui surfe

sur une impressionnante série de 15 victoires consécutives, a indubitablement

comblé son retard sur son rival catalan. Plus complets, plus solides, plus efficaces,

les Merengue peuvent frapper un grand coup samedi : s'ils s'imposent à Bernabeu,

 le Barça devra cravacher pour faire son retard. Une deuxième défaite, deux

semaines celle concédée à Getafe (0-1), relèguerait les Blaugrana à six unités.

 Et quand on sait que la bande à Guardiola a joué un match de plus que le Real,

 on se dit qu'elle n'aura vraiment pas le droit à l'erreur.

Partager cet article
Repost0
5 décembre 2011 1 05 /12 /décembre /2011 17:17
 


Socrates, un géant du foot s'est éteint Le Brésil est en deuil, l'un de ses
plus grands footballeurs vient de mourir. Socrates s'est éteint dimanche suite à une
 infection intestinale. Il n'avait que 57 ans.

Capitaine de la Selecao, Socrates Brasileiro Sampaio de Souza Vieira de Oliveira a
marqué le foot brésilien avec l'une des ses plus belles équipes, sans pour autant
ne jamais gagné aucune titre. Eliminés de la coupe du monde 82 par l'Italie et de
celle de 86 par la France, Socrates, Zico et les Brésiliens de cette génération ont
 pourtant séduit la planète foot avec leur style vif et leur jeu offensif.

Socrates, frère d'un autre Brésilien célèbre, l'ancien joueur du PSG Rai, était
plus qu'un sportif dans son pays. Docteur en droit, il était très engagé
politiquement. Philosophe, forcément avec un nom pareil, il aimait aussi profiter
des plaisirs de la vie, notamment l'alcool.

Avec les supporters brésiliens, ce sont les amoureux du foot du monde entier qui
 pleurent la disparition d'un joueur qui les aura longtemps fait rêver.

Comme tous les passionnés de football j’ai été peiné d’apprendre la mort de

Sócrates Brasileiro Sampaio de Souza Vieira de Oliveira plus connu

simplement comme Sócrates, le fabuleux milieu de terrain brésilien décédé dimanche

 à Sao Paulo, d’autant plus peiné que j’ai eu la chance de le voir jouer lors d’un

France-Brésil au Parc des Princes en 1981 qui restera pour toujours dans ma mémoire.

 Lors de ce match, Arthur Antunes Coimbra, dit Zico avait marqué le 500ème but de sa

carrière et Socrates avait marqué un but magnifique en seconde période. Pour

couronner le tout, Edson Arantes do Nascimento Pelé avait reçu ce soir là le

titre de "champion du siècle" bref, un moment inoubliable pour le gamin de 14 ans que

 j’étais.

Cependant, avec Sócrates, ce n’est pas un simple footballeur qui disparaît. En tout

cas pas un footballeur au sens d’aujourd’hui où le football professionnel regorge de

gosses mal éduqués, incapables d’aligner deux phrases sans faire 10 fautes de

français et pourris par un argent qui coule à flot.

Sócrates avait en effet passé l’essentiel de sa carrière à jouer au Brésil pour mener

de front ses études tout en étant footballeur professionnel. Bien lui en prit car

il devint pédiatre tout en étant capitaine de la prestigieuse équipe de Brésil de

football la fameuse "Seleçao", d’où son surnom de "Doutor Sócrates" le

"Docteur Sócrates".

Sócrates était également un homme de convictions. Fortement ancré à gauche,

 il fit inscrire sur les maillots de son club, le prestigieux Corinthians Paulista,

 le mot "démocratie" en plein régime militaire. Une fois sa carrière terminée,

il reprit le stéthoscope et les seringues pour soigner les enfants des favelas de

 Sao Paulo. On est bien loin des intellectuels de gauche français "résistant"

aux terrasses des restaurants étoilés du "Guide Michelin" et qui ne

franchissent le périphérique que pour se pâmer devant les caméras en affirmant

 que "les banlieues c’est génial"…

Socrates restera en tout cas un fabuleux joueur dont l’intelligence, la technique, le

collectif et la frappe de balle resteront dans les mémoires (demandez

à Rinat Dasaev, meilleur gardien de but du monde à l’époque, de décrire

son but sensationnel contre l’URSS lors de la coupe du monde 1982). Il sera parmi 

 Ferenc Puskas, Johan Cruyff, Michel Platini, son partenaire Zico ou encore 

 Marco Van Basten, un des Géants (avec un grand G) du football à ne pas avoir

soulevé la coupe du monde, son équipe ayant été éliminée par un onze de casseurs en

1982 (l’Italie) et par un onze d’artistes (la France) en 1986. Le fait de ne pas

 avoir vu s’affronter en 1982 la France et le Brésil est à ce jour mon plus

grand regret : comment ne pas rêver de ce qu’aurait été le duel des milieux Zico,

Socrates, Toninho Cerezo, Falcao face à Platini, Giresse, Genghini et Tigana ?

C’eût été, comme ce le fût quatre ans plus tard avec un milieu brésilien fortement

 modifié, une orgie de technique, de beaux gestes, du football quoi…

Il y avait, parmi les posters qui ornaient la chambre de mon enfance, un visage

 

émacié et barbu portant un maillot jaune qui vient de s’envoler vers les étoiles.

Adeus Campeao, descança em paz. Adieu Champion, repose en paix.

Partager cet article
Repost0
2 décembre 2011 5 02 /12 /décembre /2011 15:26

Pierre Ménès
Paris perd les pédales....
Comment expliquer l'inexplicable ? Rien, absolument rien
ne justifie, scientifiquement, que Paris traverse immuablement une
 crise de résultats au mois de novembre. Fin octobre, peu auraient parié
que le phénomène se produirait cette année. Et pourtant… A l'heure du
bilan, les chiffres parlent d'eux-mêmes : une victoire étriquée (Bratislava),
 un nul (Bordeaux) et quatre défaites (Dijon, Nancy, Marseille, Salzbourg) !

Alors certes, Paris évoluait hier soir avec une équipe fortement remaniée
où seuls Douchez, Bisevac et Sissoko n'étaient pas là l'an dernier. Certes,
Paris a eu quelques occases et est tombée sur une équipe de Salzbourg pas
vilaine du tout. Mais bon. Comme à Marseille dimanche, l'état d'esprit, l'envie
n'étaient pas là. Et ça fait toute la différence. Du coup, après l'élimination
précoce en Coupe de la Ligue, Paris est en passe de laisser filer un deuxième
objectif de sa saison.

Car le pire dans tout ça, c'est que ce deuxième but encaissé dans les arrêts
de jeu fait perdre au PSG le bénéfice du goal-average particulier face aux
 Autrichiens, qui chipent sur le fil la deuxième place du classement.
Autrement dit, Paris devra impérativement battre Bilbao lors du dernier match
au Parc en espérant que Salzbourg ne gagne pas à Bratislava, les Slovaques
étant déjà éliminés. Pas gagné…

Aucune équipe française en 16e de finale de Ligue Europa, voilà qui
assombrirait encore un tableau déjà bien noir pour nos clubs français sur
la scène européenne. Car mercredi soir, Rennes n'a pas réussi à marquer
 un but à l'Udinese et est donc d'ores et déjà éliminé. Il faut dire qu'Antonetti
avait fait son choix en présentant une équipe B. Mais à la limite, ce n'est pas
sur ce match que les Bretons auront le plus de regrets.

Et puis, Rennes n'avait pas fait de cette Ligue Europa un objectif.
Contrairement à Paris. Avec cette troisième défaite consécutive, le crédit
d'Antoine Kombouaré vient de fondre comme neige au soleil. A tel point
qu'on peut s'attendre à tout avant le capital PSG-Auxerre de dimanche au Parc.
Intérim de Makelele ? A moins que les dirigeants demandent à Leonardo de
 prendre en main le "bouzin"…

Pierrot


Partager cet article
Repost0
6 novembre 2011 7 06 /11 /novembre /2011 19:05
Le président du Paris SG, Nasser Al-Khelaïfi, s'est longuement exprimé vendredi au cours d'un plan média bien calculé. Le patron parisien a livré son avis sur le début de saison du club, la possible arrivée de David Beckham cet hiver et ses ambitions pour l'avenir du PSG.

Jusqu'ici, il s'était fait plutôt discret. Président du Paris Saint-Germain depuis cet été et le rachat du club par Qatar Sports Investments, Nasser Al-Khelaïfi est sorti de son silence lors d'une tournée médiatique, qui l'a vu notamment s'exprimer dansL'Equipe, Le Parisien ou encore sur RMC. Et les propos du nouvel homme fort du PSG ont plutôt de quoi rassurer les supporters du club de la capitale.

La volonté de respecter l'histoire du club

Nasser Al-Khelaïfi affirme tout d'abord sa satisfaction devant le visage qu'offre actuellement le club parisien, que ce soit sur le terrain (leader de Ligue 1, bien parti pour se qualifier en 16es de finale de la Ligue Europa) ou en dehors (affluence en hausse au Parc des Princes). «Tout ce qui se passe depuis le début de la saison me satisfait, et pas seulement au niveau sportif. Les résultats en termes économiques et de notoriété sont aussi satisfaisants», indique le président parisien qui évoque «une augmentation de 180%» des ventes de maillots par rapport à l'an dernier, un quasi quadruplement des abonnements (de 4500 à 16 000) et «une affluence lors des matches à domicile de 50% supérieure à celle de la saison passée.» Une hausse qui pourrait rapidement rendre exigu le Parc des Princes et donner des envies d'ailleurs au président parisien ? Et bien non, que les supporters parisiens se rassurent, Nasser Al-Khelaïfi n'a aucunement l'intention de faire déménager le PSG et a bien compris l'importance de l'enceinte de la Porte d'Auteuil dans l'histoire du club. «Le Parc des Princes a toujours été et restera la maison du PSG. Aujourd'hui, l'objectif c'est de moderniser le Parc. Paris ira au Stade de France le temps des travaux de rénovation (Ndlr : en 2013-2014). Mais il retournera ensuite au Parc», affirme le patron parisien dans L'Equipe. «Nous ne volons pas rompre avec le passé. La nouveauté n'est pas incompatible avec le respect de l'histoire du club», souligne-t-il encore dans Le Parisien.

Côté sportif, Nasser Al-Khelaïfi estime qu'Antoine Kombouaré «fait du bon boulot» mais met gentiment la pression sur son technicien en affirmant que «vu notre classement actuel, ce serait un échec» de ne pas être champion de France à la fin de la saison. S'il refuse de s'avancer plus en avant sur le terrain sportif («Leonardo est la personne la plus habilité à parler du coach, des joueurs, du recrutement…»), le président parisien ne peut cependant s'empêcher d'évoquer les transferts de son club. Et notamment celui qui fait le plus parler, celui de David Beckham, en fin de contrat avec le Los Angeles Galaxy dans quelques jours et qui intéresse fortement QSI. «Il y a des discussions, mais rien n'est conclu», avoue-t-il dans Le Parisienavant de préciser que «David Beckham, ça dépasse le sport. C'est un grand joueur, une grande personnalité, une marque. Il serait un modèle pour tous les autres joueurs.»

Un projet sur le long terme
Si le dossier Beckham est donc bien à l'étude chez les décideurs parisiens, Nasser Al-Khelaïfi fait aussi des confidences surprenantes et que l'on n'est pas obligé de croire. Notamment lorsqu'il déclare que le PSG «a des limites financières» ou qu'il «n'est pas sûr que nous allons recruter d'autres joueurs» lors du marché d'hiver car «nous sommes satisfaits des joueurs de l'effectif, satisfaits des performances de l'équipe et de l'ambiance dans le groupe.» En revanche, on le croit plus volontiers lorsqu'il assure que le PSG «pourrait acheter de très grands joueurs» l'été prochain «mais nous cherchons toujours le nouveau Messi.» Un nouveau Messi qui ne sera pas forcément issu du monde arabe, contrairement aux rumeurs qui font régulièrement état de la volonté du club de recruter des joueurs d'origine maghrébine ou moyen-orientale pour plaire au public d'Al Jazeera Sport, dirigée par… Nasser Al-Khelaïfi. «Il est bien de recruter des joueurs d'origine arabe s'ils sont bons. Faire venir des joueurs de talent, voilà ce qu'on veut, et s'ils sont arabes, on n'y voit pas d'inconvénient. Mais on ne le pose pas comme préalable», assure Al-Khelaïfi. Le veto de Leonardo à la venue d'Adel Taarabt l'été dernier est là pour appuyer l'argumentaire. «On est venus avec un projet pour le PSG et nous croyons en ce projet. Notre investissement s'inscrit sur du long terme. Et nous espérons qu'il sera rentable d'ici trois à cinq ans. Nous voulons devenir un club très compétitif en Europe», conclut le président parisien à l'adresse de ceux qui douteraient encore des motivations des nouveaux propriétaires du club.

Partager cet article
Repost0
13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 07:55
France - Bosnie : l'analyse

 

Partager cet article
Repost0
28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 16:44


Le Paris-SG a pris seul la tête du classement en dominant Lyon (2-0), dans le premier choc au sommet de la saison, comptant pour la 9e journée. Un superbe but de Pastore (65e) a permis au club de la capitale de construire sa victoire, avant Jallet à la 90e. Et il reste de la marge dans le jeu...
Le Championnat de France se cherchait un patron. Il en a trouvé un. En sortant vainqueur du premier duel au sommet de la saison, le Paris-SG a pris trois points d'avance sur la concurrence, qui a le visage de Montpellier (2e) et de sa victime du jour, Lyon (3e), battue (2-0) à la régulière en clôture de la 9e journée. Toulouse (4e), a aussi 17 points malgré sa défaite de samedi à Sochaux (3-0). Ce PSG-OL intense plus que spectaculaire, sans gros temps faible en dehors du premier quart d'heure de la seconde période, a basculé à la 65e minute grâce à la botte de Javier Pastore.
Ce n'est pas la première fois et ce n'est sûrement pas la dernière...
Lancé par Bodmer, l'homme qui valait 42 millions s'est chargé de tout en fixant Koné puis en frappant du gauche dans les 100 centimètres qu'Hugo Lloris avait laissés pour boucher son angle. Le but de Christophe Jallet à la 90e minute, de près suite à un coup franc Nenê a surtout servi à garnir le tableau d'affichage et à décupler l'appétit du Parc. Car celui-ci va forcément croitre au fil des semaines. Cette cinquième victoire consécutive au Parc toutes compétitions confondues rend déjà caduc le discours derrière lequel Antoine Kombouaré et ses hommes cherchent à se réfugier depuis la reprise du club par QSI : ils ne visent "que" la Ligue des champions.
Interrogé par Canal+ après la rencontre, le patron du club Nasser Al-Khelaïfi a d'ailleurs cherché à maintenir cette modestie de façade. "Ffffff, c'est difficile, mais on va essayer." Pourtant, les faits sont têtus, et l'hypothèse d'un cavalier seul n'est déjà plus à exclure. Sans donner l'impression d'être au sommet de son art collectif, le club de la capitale a été suffisamment solide, constant et opportuniste pour faire toucher à la jeune équipe lyonnaise quelques-unes de ses limites dans la zone de vérité.
Eurosport
Partager cet article
Repost0
28 septembre 2011 3 28 /09 /septembre /2011 16:44

308588_274410179256791_100000634341598_923242_672507435_n.jpg

 

Gérard Cattan__Gérard Brami__Sylvain Sebag__Alumette__Mr Scemama__Gino HACCOUN__Djeballi__

Zakinne__Bajico__

Partager cet article
Repost0
24 septembre 2011 6 24 /09 /septembre /2011 12:38
 



Ligue 1 Footbal- P.S.G, ça devient sérieux...

 

Grâce à sa victoire sur la pelouse de Montpellier (0-3) lors de la 8e journée, Paris prend la première place de la Ligue 1. Menés encore une fois par un grand Javier Pastore, auteur d'un doublé, les Parisiens, bousculés en début de match, ont livré leur meilleure copie de la saison.

 

 

Cette fois, Paris y a mis la manière. Jusqu'ici, le PSG se reposait sur ses talents individuels pour enchainer les bons résultats. A Montpellier, sur la pelouse d'un MHSC très costaud depuis août et invaincu à la Mosson, le PSG a décroché un succès mérité (0-3). Malgré un début de match poussif, la bande à Pastore, auteur d'un doublé ce samedi, a livré sa prestation collective la plus aboutie de la saison. Une large victoire qui permet au club de la capitale de prendre, pour la première fois de la saison, les commandes de la Ligue 1. Un trône qu'il partage avec Lyon et Toulouse mais Paris domine la Ligue 1 à la faveur de a première place au classement du fairplay.

La rencontre face à Montpellier a basculé en quatre minutes. Montpellier est mieux rentré dans la rencontre (62% de possession dans le premier quart d'heure). Sirigu a joué les sauveurs et permis aux siens de rester dans la rencontre face notamment à Utaka puis Giroud (3e). Puis, Paris a eu deux fulgurances. Deux éclairs sur deux pertes de balle montpelliéraine parfaitement exploitées. L'ouverture du score a déjà des airs de classique avec une interception de Matuidi, au volume de jeu impressionnant ce samedi, un débordement puis centre au cordeau de Nene et Gameiro qui a profité de l'attentisme de la charnière héraultaise (40e) pour inscrire son cinquième but de la saison.

Volée somptueuse de Pastore

Quatre minutes plus tard, la volée somptueuse de Pastore à la réception d'une transversale de Tiéné a largement facilité les affaires du club de la capitale en même temps qu'elle a littéralement éteint les intentions de la bande à Loulou Nicollin (2-0, 44e). Ces coups de poignard ont ouvert en grand la voie d'un succès qui a longtemps semblé heureux pour Paris. Mais en seconde période, le PSG a géré. Une tâché facilitée par l'apathie du MHSC. Pastore a sanctionné une erreur d'appréciation de Jourdren pour redresser le ballon et donner plus d'ampleur au score (0-3, 79e).

L'addition est salée pour des Héraultais costauds durant la première période. Le ciseau retourné de Giroud injustement refusé par Laurent Duhamel sur un hors-jeu imaginaire (90e) ne change rien. Paris s'est offert le scalp du leader qui concède sa première défaite de la saison à domicile et s'installe en tête du championnat sans qu'il y ait grand chose à y redire. Plus crucial sans doute, après huit journées, le PSG semble s'être enfin trouvé un collectif.

Martin MOSNIER / Eurosport

 

Partager cet article
Repost0
27 août 2011 6 27 /08 /août /2011 12:24



PARIS est magique....

Toulouse 1 - 3 Paris SG

 

Eh bien dites-moi, bien copieux ce dimanche, non ? A 17 heures, Toulouse et le PSG ont ouvert les hostilités avec un match à deux visages. Une première mi-temps très médiocre, globalement dominée dans le jeu par les Parisiens - avec notamment ce double poteau de Ménez - mais à l'issue de laquelle ce sont les Toulousains qui sont rentrés aux vestiaires avec un but d'avance. Un but sur lequel Matuidi a explosé sur la petite poussette - comme on en voit sur tous les corners - de Capoue, qui a profité de l'absence totale de marquage pour tromper Sirigu de la tête.

 

Un Capoue qui outre, son but, a parfaitement muselé Pastore pendant toute la première mi-temps. Mais le milieu toulousain va le payer en seconde car mine de rien, le stratège argentin se déplace énormément et va profiter de ce surcroît de liberté pour montrer ce qu'il sait faire et justifier le fait que Paris ait jeté son dévolu sur lui, et pourquoi il l'a payé si cher. Contrôles, ouvertures, conduite de balle, tout respire la classe chez ce joueur.

Et en plus c'est efficace, car Pastore va délivrer en deuxième période deux passes décisives "vraiment décisives", l'attaquant n'ayant qu'une touche de balle à effectuer pour marquer. La première pour Gameiro, qui égalise d'un petit ballon piqué parfaitement dosé, l'autre pour Erding. Et c'est là l'un des seuls bémols que j'ai trouvé - car vous le savez, il faut toujours que je fasse le rabat-joie - à cette performance très prometteuse du PSG.

 

Ce premier bémol, c'est justement la prestation du Turc. Un but et une passe décisive pour Ménez en cinq minutes de présence sur le terrain, c'est le genre de choses qui devrait faire réfléchir le staff parisien. Est-il vraiment utile de s'en séparer ? J'ai toujours pensé que l'ancien Sochalien est l'un des meilleurs jeunes attaquants de Ligue 1 et qu'une période de doute associée à une incompatibilité imprévue avec Hoarau ont plombé ses prestations et ses stats.

 

Vite, une talonnade !

Alors je sais qu'il veut plus de temps de jeu, qu'il a la tête à Rennes et que l'arrivée probable de Borriello va précipiter son départ. Mais je trouve que c'est un beau gâchis. Deuxième bémol : Nene. Après la sortie du Brésilien, le jeu du PSG a gagné en vitesse et en fluidité. Coïncidence ? Ca m'étonnerait. J'ai souvent souligné les péchés de gourmandise de Nene et sur la pelouse du Stadium, on a l'impression qu'il se disait : "Ah, Pastore vient de faire une talonnade, il faut vite que j'en fasse une…" Pour lui aussi, l'arrivée de Borriello et le possible changement de schéma qui en résultera pourrait être fatale.

Dans la soirée, la Ligue 1 nous proposait le premier gros choc de la saison entre le champion en titre et son dauphin et si ce Lille-Marseille a été aussi spectaculaire que les précédents, il était néanmoins d'une qualité de jeu sensiblement inférieure. La faute à des Lillois qui avaient décidé d'adopter une stratégie attentiste. Ca ne leur a pas réussi, même si le LOSC s'est retrouvé menant au score à la pause contre le cours du jeu suite au premier but de Sow. Un but sur lequel l'ensemble de l'arrière-garde marseillaise - Mandanda inclus - n'est pas inoubliable.

 

Lille est ensuite resté derrière mais avec ce genre de tactique, on n'est jamais à l'abri d'un coup du sort comme cette frappe déviée de Valbuena. Le lutin marseillais y est même allé de son doublé avec la complicité involontaire de Landreau. A 1-2, les joueurs de Garcia se sont alors remis à attaquer "à la lilloise" et sont parvenus à égaliser avant de l'emporter sur un péno flagrant que Fanni n'avait pourtant aucune raison de provoquer. Au final, une défaite sans doute imméritée. Mais une défaite quand même.

Clairement, le problème se situe derrière pour l'OM, qui n'a jamais pu aligner la même charnière deux fois de suite depuis le début de la saison avec les absences de M'Bia et N'Koulou notamment. Mais au milieu, des failles se sont également fait jour. Diarra n'a pas joué son rôle de sentinelle (seulement 14 ballons gagnés pour 13 perdus) et Lucho a traversé ce match comme un spectre. Avec trois points en quatre matchs, le compte n'y est évidemment pas côté olympien. D'autant qu'après la mini-trève internationale, l'OM va devoir affronter Rennes, l'Olympiakos et Lyon en huit jours.

 

Rennes, il faut savoir ce qu'on veut

Dans l'après-midi, j'ai regardé d'un oeil assez distrait les deux autres matchs (il y avait MU-Arsenal en même temps et je n'ai que deux yeux), et j'ai entrevu Sochaux réagir après la déconvenue en Ligue Europa, avec un doublé de Boudebouz qui, comme Martin l'an passé, pourrait véritablement éclater cette saison. Et puis apparemment, Rennes-Caen était un match assez amusant à regarder. Sans doute pas pour Antonetti, mais pour les spectateurs c'est quand même plus sympa de voir un 3-2 qu'un 1-0.

Un succès assez heureus pour les Rennais qui menaient 3-0 à la mi-temps mais qui se sont fait peur en seconde. Après avoir raté un péno en première période, les Normands ont en effet réduit le score à deux reprises. Alors que la défense bretonne n'a quasiment pas bougé - Costil remplaçant bien Douchez jusqu'ici - Rennes vient d'encaisser huit buts en quatre matchs. C'est beaucoup, mais en contrepartie cette équipe est beaucoup plus offensive que l'an passé et s'expose donc logiquement plus derrière. Il faut savoir ce qu'on veut… Ce qui est sûr, c'est qu'avec 7 points le Stade réalise un bon début de saison.

Et puis, une fois n'est pas coutume, je vais terminer ce post du dimanche soir avec un peu de foot étranger. Car il s'est passé des trucs énormes en Angleterre hier après-midi. J'ai d'abord vu une équipe de City monstrueuse atomiser Tottenham sur sa pelouse, avec un quadruplé de Dzeko et deux passes décisives de Nasri qui, pour mémoire, en avait délivré une seule avec Arsenal sur toute la saison passée ! Et c'est exactement ce qu'on demande à l'ancien Marseillais : être décisif plus souvent.

 

Message reçu 5/5 par Samir, dont l'acclimatation chez les Citizens n'aura pris que deux jours et l'association avec Clichy - méconnaissable lui aussi - sur le côté gauche va faire mal à l'avenir. Franchement, City m'a bluffé. Cette équipe est merveilleuse à voir jouer - comme Liverpool d'ailleurs - et on se rend compte qu'il y a de très, très grosses équipes cette année en Premier League. Quand je vois que Mancini se permet de laisser Tevez sur le banc, ça laisse rêveur…

 

Wenger, indéfendable

Du rêve au cauchemar pour Arsenal, qui a vécu une après-midi en Enfer chez les Diables Rouges de MU. Pour faire simple : les gunners se sont fait démolir, détruire, pulvériser, hacher menu... bref, une humiliation totale. Les Mancuniens de Sir Alex étaient surmotivés et ont mis un point d'honneur à jouer jusqu'au bout en marquant des buts plus beaux les uns que les autres, des coups-francs de Rooney à la pichenette de Nani. Un spectacle exceptionnel et une quasi-certitude : le champion d'Angleterre habitera Manchester cette année.

Alors, c'est vrai : il manquait huit joueurs à Arsenal. Mais ce n'est pas en recrutant Park que la tendance va s'inverser. A propos du Sud-Coréen, j'ai creusé un peu l'affaire dans la journée et je ne savais pas qu'il avait déjà passé une partie de la visite médicale vendredi après-midi et qu'Arsenal paierait grosso modo le même montant que celui que le LOSC était prêt à aligner. Evidemment, ça modifie un peu ma perception.

Le joueur est fautif. Donner sa parole à un club et se tirer le lendemain matin pour aller signer dans un autre - même si c'est plus attirant sportivement -, ça ne se fait pas. Même si ça s'est déjà vu. Mais pour le coup, je trouve Wenger extrêmement limite lui aussi. Le technicien alsacien est toujours prompt à dénoncer les pratiques douteuse de certains clubs ou managers. Encore récemment, il dénonçait avec véhémence les coups de fil répétés de Mancini à Nasri.

 

Et un mois plus tard, le voilà qui fait exactement la même chose, montrant ainsi qu'il prend vraiment les gens pour des truffes. Mais bien mal acquis ne profite jamais. D'après mes infos, les Gunners étaient en pôle position pour récupérer Hazard la saison prochaine. Inutile de dire qu'avec cet épisode, Arsenal va devoir payer beaucoup plus cher que n'importe quel autre club en Europe pour s'attacher les services du prodige belge. J'ai souvent défendu Wenger contre vents et marées - et vous me l'avez souvent reproché -, mais là il est indéfendable. Et il ternit l'image d'un club qui, en un week-end, a sans doute perdu une bonne partie de son pouvoir d'attraction.

 
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de univers-des-news.over-blog.com
  • : Comment tout savoir sur les stars : les news people, les potins, vidéos et photos de stars et de célébrités ? Surfez sur L'UNIVERS-DES-NEWS
  • Contact

Profil

  • catger
  • http://tendancedesantipodes.blogspot.com/


  var _gaq = _gaq || [];
  _gaq.push(['_setAccount', 'UA-15905281-1']);
  _gaq.push(['_trackPageview']);

  (function() {
    var ga = document.createElement('script')
  • http://tendancedesantipodes.blogspot.com/ var _gaq = _gaq || []; _gaq.push(['_setAccount', 'UA-15905281-1']); _gaq.push(['_trackPageview']); (function() { var ga = document.createElement('script')

Rechercher

Archives