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12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 08:44

 

Football :Ligue 1 - Lille et Paris ont leur sauveur..

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 PSG NENE 090910

 

 

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Grâce à Tulio de Melo, buteur durant les arrêts de jeu à Arles-Avignon (0-1), Lille s'est sorti d'un mauvais pas et conserve sa place de leader devant le PSG qui s'est imposé à Valenciennes (1-2) grâce à Nenê, auteur d'un doublé. Brest et Montpellier se sont neutralisés (0-0). Lens coule toujours.

 

Caché, Lens l'est. Tout au fond du classement. Et dans l'état actuel des choses, on se demande comment les hommes de Jean-Guy Wallemme vont s'en sortir. Battus à Lorient (3-0), les Sang et Or n'avancent pas et perdent même une place. Dix-neuvièmes, les Lensois sont désormais devancés par Caen qui, face à Nice (0-0), a mis fin à une série de six défaites de rang. Certes, ce n'est pas encore Byzance. Mais il y a du mieux.

En colère samedi dernier après le nul concédé à Arles-Avignon (1-1), Pablo Correa a retrouvé le sourire. Face à Sochaux (1-0), ses hommes ont renoué avec le succès face à des Lionceaux aux crocs encore élimés et qui ont manqué l'occasion de s'installer un peu plus sérieusement dans le haut du classement. Les Sochaliens pointent au 8e rang, juste derrière Montpellier, qui s'est rassuré à Brest (0-0).

M.D. / Eurosport

 

 

 

 

 


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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 12:53

Maro c: un gardien imite Higuita et son coup du scorpion...

 

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Hamza Boudlal a tenté et réussi un geste très dangereux : le coup du scorpion. Le gardien du club marocain de l'Olympique de Khourigba a dégagé un ballon d'une aile de pigeon acrobatique, imitant tant bien que mal son glorieux aîné colombien, René Higuita.

 

Sur un terrain de foot, on se demande parfois ce qu'il passe par la tête de certains joueurs. Dernier exemple, dimanche dernier, dans le championnat marocain. 82e minute de jeu, l'Olympique de Khourigba, leader, concède le match nul (1-1) sur la pelouse d'un mal classé, le KACM Marrakech. Un léger ballon aérien arrive en direction des cages d'Hamza Boudlal, le portier de Khourigba. A priori, une balle qui n'inspire aucune inquiétude.

 

Sauf lorsque l'on veut se compliquer la tâche et tenter le fameux coup du scorpion, popularisé par le fantasque Colombien René Higuita, lors d'un match amical à Wembley contre l'Angleterre en 1995. Khourigba s'est donc volontairement légèrement fait lober pour pouvoir dégager le ballon d'une sorte d'aile de pigeon. Le geste, loin d'être parfait, a néanmoins été réussi puisqu'il n'y a pas eu but. C'est peut-être la ressemblance capillaire qui a inspiré Boudlal. En tout cas, on n'ose imaginer la réaction de ses partenaires et de son entraîneur s'il avait raté ce geste fou...

 

 

 

http://fr.sports.yahoo.com/09122010/79/maroc-gardien-imite-higuita-et-son-coup-du-scorpion.html

 

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 17:51

  Football: Le Best Of sexy 2010. Dédicacé par GéGé El Diablo !

 

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C'est bientôt Noël et le moment de recevoir ses cadeaux. Chez Chronofoot, nous avons donc décidé de vous offrir une compilation des meilleures images sexy de l'année 2010. Supportrices, copines ou épouses de joueurs, retrouvez ce qui s'est fait de mieux cette année.

 

Jean Ferrat chantait que la femme est l'avenir de l'homme et on ne peut que lui donner raison. Même dans le monde du football... Car oui, messieurs, la gent féminine s'est mise au ballon rond, n'en déplaise aux grincheux. Votre fameuse trilogie Pizza-Bière-Foot, c'est avec votre chérie que vous vous y adonnez désormais. Dans les stades également, ces dames ont fait leur entrée. Et elles s'y montrent souvent plus civilisées et inventives que les hommes dans leur manière de supporter leurs favoris...

 

Mais la gent féminine ne se contente désormais plus de s'intéresser au foot. Elle s'en sert comme tremplin! Né en Angleterre au milieu des années 90, le concept de la WAG's (Wives And Girlfriends) s'est diffusé à travers le monde. Ces dames ont appris à sortir de l'ombre de leur footeux de mari et sont désormais des stars à part entière. Irina Shayk, Sara Carbonero ou encore Noémie Lenoir et Adriana Karembeu sont des femmes indépendantes, qui ont compris quels avantages elles pouvaient tirer d'une relation avec les étoiles du ballon rond.

C'est pour leur rendre hommage que nous avons décidé d'ouvrir notre armoire à archives pour vous proposer ce Best Of des meilleures images sexy de l'année 2010.

 

 


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3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 23:10

 

P.S.G :Ligue Europa - Paris, c'est dans la poche !

 

 

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Le PSG s'est qualifié pour les 16e de finale de la Ligue Europa en dominant le FC Séville (4-2), au terme d'un match enlevé, son 9e de suite sans défaite toutes compétitions confondues. Hoarau a inscrit un doublé. Il faudra ramener un point de Lviv pour assurer la première place de ce groupe J.

Cette fois, la qualification est acquise. Les 17 et 24 février prochains, Paris jouera les seizièmes de finale de la Ligue Europa. Le PSG a composté son billet jeudi soir, en venant à bout du FC Séville (4-2). Ce succès - le troisième en cinq matches européens - lui assure l'une des deux premières places du groupe J. Un nul sur le terrain du Karpaty Lviv, dans quinze jours, lui garantirait même de terminer en tête de sa poule. Le dernier ticket fera l'objet d'une lutte acharnée entre Séville et le Borussia Dortmund, revenu à un point des Espagnols après sa victoire face à Lviv (3-0).

Nenê, l'homme providentiel

Face aux Andalous, le PSG a offert un condensé de ses forces et faiblesses du moment. L'équipe d' Antoine Kombouaré a d'abord confirmé son potentiel offensif. Deux corners de Nenê ont suffi à Mathieu Bodmer (17e) et Guillaume Hoarau (19e) pour tromper la vigilance de Palop.

 

Avec deux buts d'avance, Paris se pensait à l'abri. Mais une fois de plus, il a payé cash son relâchement défensif. Frédéric Kanouté

a profité d'un marquage élastique de Sakho et de Camara, puis d'un caviar de Perotti pour relancer le FC Séville (2-2). Ce Paris 2010-2011 a une fâcheuse tendance à se compliquer la tâche. Il a aussi un mental à toute épreuve. Et un homme providentiel, qui répond au nom de Nenê. Juste avant la pause, sa frappe enroulée du gauche s'est logée dans le petit filet de Palop (45e, 3-2). Le Brésilien est d'une efficacité redoutable. Son bilan chiffré le prouve : l'ancien Monégasque a signé 12 buts en 20 matches, Championnat et Ligue Europa confondus.

 

 

(2-1). Il s'était montré décisif à Lyon (2-2). C'est lui qui a scellé la qualification parisienne juste après la pause, sur un service de Chantôme (4-2, 47e). Apoula Edel, lui, a éteint partiellement les critiques suscitées par sa boulette de dimanche. Le gardien arméno-camerounais fut déterminant sur une frappe de Romaric (4e). Il fut ensuite impérial dans ses sorties aériennes. Et le public du Parc des Princes n'a pas manqué d'ovationner chacune de ses relances au pied. Paris perpétue ainsi une invincibilité qui dure depuis neuf matches. Dans la capitale, la froideur hivernale n'a pas de prise sur ce PSG.

 

Gil BAUDU / Eurosport

  

 

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22 novembre 2010 1 22 /11 /novembre /2010 09:08

Angleterre - France: A nous les petites Anglaises!

 

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Un match à l'extérieur de l'équipe de France, c'est l'occasion de s'intéresser aux traditions locales, notamment celle des WAG's

Le match Angleterre - France est le meilleur moyen de s'intéresser un plus en profondeur sur les us et coutumes du football Outre-Manche. Outre les stades avec son public si proche des joueurs, le kick and rush, le combat physique et son Big Four, le Royaume de Sa Très Gracieuse Majesté propose une véritable institution locale, la WAG's. Ce nom, contraction de Wife And Girlfriend, nous ramène bien entendu aux femmes et petites amis des joueurs évoluant de l'autre côté du Channel. Toujours prêtes à s'offrir aux objectifs des photographes, hésitant rarement à découvrir certaines parties de leur corps, ces dames sont devenues au fil du temps aussi célèbres que leurs footeux de compagnons.

Découvrez quelques-unes des plus belles WAG's d'Angleterre.

 

 

 

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11 novembre 2010 4 11 /11 /novembre /2010 07:43

Union sportive tunisienne

 

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L'Union sportive tunisienne (UST) (الاتحاد الرياضي التونسي) est un club omnisports  tunisien  qui demeure le doyen des clubs en activité même si sa section de football féminin est la seule à être encore active. Cet article porte sur la section de football du club.1917  par décision administrative suite à de graves incidents ayant opposé les joueurs et les supporters du Stade tunisois (exclusivement juifs ) et ceux du Stade africain (à majorité musulmane ) à l'occasion d'une rencontre disputée lors des fêtes marquant la fin de la Première Guerre mondiale . Il est alors décidé de fusionner les deux clubs en un unique club qui devrait symboliser la tolérance, la coexistence et l'unité parmi les différentes communautés tunisiennes.Espérance sportive de Tunis  en 1919  puis du Club africain  en 1920  favorise l'ancrage communautaire des clubs sportifs : le Racing et le Sporting pour les Français , le Red Star et la Mélita pour les Maltais , l'Italia pour les Italiens ), l'Espérance sportive de Tunis et le Club africain pour les musulmans, l'UST restant devint un club exclusivement juif.Henri Smadja  (fondateur de La Presse de Tunisie ), Albert Haddad, Jacques Bismuth ou encore Moïse Slama. Des entraîneurs spécialisés sont recrutés et les résultats ne se font pas attendre : un premier doublé (championnat et coupe) est obtenu en 1930 , un autre est réalisé l'année suivante et un troisième en 1933  avec deux coupes remportées en 1934 et 1935. Mais cette période faste est interrompue par la Seconde Guerre mondiale. Les joueurs se dispersent : certains rejoignent le Club africain comme André Tuil ou la Jeanne d'Arc d'avant-garde alors que d'autres raccrochent. Ce n'est qu'en 1945 que le club reprend ses activités alors que Jacques Bismuth reprend la présidence du club. Une nouvelle génération de joueurs dont les chefs de file sont Raymond Younes, Popaul Perez et Élie Taieb a pris la relève et Kiki Lakhal, qui a raccroché en tant que joueur, est là pour transmettre son savoir-faire technique et prêter main aux entraîneurs de renom que le club engage. Ce dernier revient alors progressivement à sa vocation multi-confessionnelle mais le départ en France de ses meilleurs joueurs cause sa rétrogradation en 1950.1958 et 59 en 1959) grâce à Mejri Hnia, Hamadi Hénia ou Popaul Perez.

 

Les places d'honneur sont fréquentes mais les titres ne suivent pas à l'exception de la coupe Chaker obtenue en 1961 et des titres obtenus dans d'autres disciplines (handball et volley-ball)-1964-1965, il rétrograde en seconde division et se trouve alors au bord de l'abandon et de la dissolution. Un jeune étudiant de l'époque, Jean-Pierre Liscia, en devient le président et le demeure encore depuis plus de 45 ans.1969. Néanmoins, un malheureux concours de circonstance — dissolution de l'Espérance sportive de Tunis en cours de championnat et sa réhabilitation en période estivale au détriment de l'UST qui croyait avoir sauvé sa place en nationale — condamne deux ans plus tard le club.1971-1979) puis trois en troisième division (1979-1981), l'UST sombre définitivement dans les profondeurs du classement malgré tous les efforts de son président. Redevenu, un simple club de quartier, l'UST comme d'autres ne peut plus rivaliser avec les grands clubs professionnels. À contre-cœur, Liscia dissout en 2004 l'équipe des seniors pour espérer repartir sur des bases solides avec les minimes et les cadets. Mais, trois ans après, ces deux sections sont à leur tour dissoutes. Par conséquent, seule l'équipe de football féminin continue à défendre les couleurs du doyen des clubs tunisiens de football avec un titre obtenu en 2005, celui de la première édition du championnat de Tunisie de football féminin, et un autre en 2010, la super coupe.

 

Histoire

 

Ce club est fondé en

Le premier comité réunit des représentants des deux communautés : Alfred Nataf, Mustapha Turki, Albert Perez, Salah Soudani, Émile Serfati ou encore Adolfe Bellaiche. L'équipe regroupe notamment Hédi Sfar, Mustapha Zmerli, Adolfe Bellaiche, Tijani Kabadou et Saïd Klibi. Cependant, l'apparition de l'

Cette situation favorise son rayonnement et lui permet de devenir populaire : de grandes personnalités de la vie sociale et économique se relaient à sa présidence : Adolfe Bellaiche,

Il lui faut beaucoup de patience pour revenir à nouveau parmi l'élite après l'indépendance de la Tunisie. Toutefois, l'émigration d'un grand nombre de supporters et de joueurs oblige les présidents successifs — Joseph Cohen, Albert Cohen-Boulakia et Georges Brami — à se lancer dans une politique des recrutements à outrance qui fait de l'UST une équipe à l'attaque prolifique (63 buts marqués en

 

L'enthousiasme s'étiole peu à peu avec les départs de Mokhtar Ben Jerad et Hamadi Hénia mais surtout avec les vagues successives d'émigration des juifs tunisiens qui affectent le club. À la fin de la saison

Les jeunes joueurs comme Jeannot Brami, Mongi Fekir, Youssef Ben Yahia, Ali Sraieb et Giovanni di Marco, épaulés par les chevronnés comme Hassen Refai et Saad Karmous, permettent à l'UST de retrouver l'élite en

 

Après une résistance de huit ans en seconde division (1971-1979) puis trois en troisième division (1979-1981), l'UST sombre définitivement dans les profondeurs du classement malgré tous les efforts de son président. Redevenu, un simple club de quartier, l'UST comme d'autres ne peut plus rivaliser avec les grands clubs professionnels. À contre-cœur, Liscia dissout en 2004 l'équipe des seniors pour espérer repartir sur des bases solides avec les minimes et les cadets. Mais, trois ans après, ces deux sections sont à leur tour dissoutes. Par conséquent, seule l'équipe de football féminin continue à défendre les couleurs du doyen des clubs tunisiens de football avec un titre obtenu en 2005, celui de la première édition du championnat de Tunisie de football féminin, et un autre en 2010, la super coupe.

 

Anciens joueurs

1923-1929

 

Poli Bloch

Ganouna Cohen

Jacques Cohen

David Fitoussi

Jacques Guez

Edmond Krief

Sitbon dit Kiki Lakhal

Elie Soussan

André Tuil

Gaston Tuil

Joseph Tuil

Edouard Zerbib

 

1945-1956

 

Joseph Attia

Youssef Gabsi

Hamadi Hajri

Sarraj Halouani

Michel Levy

Raymond Nataf

Mustapha Ouali

Paul dit Popaul Perez

Edmond Sfez

Claude Slama

Georges Smadja

Léon Smadja

Élie Taieb

Gaston Tayeb

Raymond Younes

 

1957-1965 

 

Belgacem Aouadia

Ali Bellil

Mokhtar Ben Jerad

 

Abdelkrim Ben Rebih dit Krimou

Alexandre Brami

Brahim Ben Miled, alias Farzit

Abdessatar Draoui dit Guenni

Said Fetni

Noureddine Fradi

 

 

Hammadi Henia Mejri Henia

Abdellatif Morai

Paul Perez

Roger Scemama

Ahmed Sghaier

 

Bébé Slama

 

1966-1971

 

Youssef Ben Yahia

Jean dit Jeannot Brami

Giovanni Di Marco

Mongi Fekir

Hassan Kandil

Saad Karmous

Béchir Kekli dit Gattous

Mohamed Khiari

Hassen Refai

Larbi Saïdi dit Grey

Ali Sraieb

 

 

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8 novembre 2010 1 08 /11 /novembre /2010 08:34

Ligue 1 - Le PSG maître chez lui..

 

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Le PSG a chassé l'OM du podium en s'imposant au Parc des Princes (2-1) en clôture de la 12e journée. La fin de six ans d'insuccès à domicile face au grand rival. Grâce au réveil de Hoarau et Erding, les Parisiens montent ainsi sur la 3e marche juste devant Marseille, qui compte un match en retard.

PARIS SG - MARSEILLE : 2-1

Buts : Erding (9e), Hoarau (19e) pour le PSG et Lucho (23e) pour l'OM

Si le Clasico se caractérise par le sentiment d'être en mission, l'absence de supporters phocéens dans les tribunes du Parc a pu exercer un effet dévastateur chez les champions de France, dimanche, dans le match de clôture de la 12e journée. A moins que ce soit le sentiment de supériorité né de la victoire à Zilina (7-0)... Qu'importe, la défaite de l'OM à Paris (2-1), la première en L1 depuis le mois d'août, a sanctionné cette défaillance dans l'engagement, ou du moins l'absence de justesse qui a accompagné, durant l'essentiel de son match, l'équipe de Didier Deschamps. Elle a manqué une occasion précieuse de rejoindre Brest en haut du classement de la L1, et la victoire du Paris-SG resserre plus que jamais les rangs dans la deuxième moitié du Championnat. Avec 19 points, le PSG se hisse sur le podium (3e), dépasse l'OM (4e, un match en retard), et oblige à faire cette lecture étonnante du classement : le onzième, Lyon, n'est qu'à trois points de la Ligue des champions. A cinq points de la première place...avec deux longueurs d'avance sur le premier relégable.

Mandanda et Edel à la faute

 

Même si elle est précaire, cette troisième place parisienne n'a pas été volée. Le réveil du duo Erding - Hoarau, ou en tout cas le retour de l'efficacité des deux comparses, est intervenu au meilleur moment pour eux. Il n'y avait trace, dans l'entame parisienne, ni de la débauche d'énergie de jeudi contre Dormund (0-0), ni des mauvaises vibrations nées d'une série à domicile qui devenait inquiétante (2 points sur 9 possibles en L1). Rassurés par un bloc défensif cohérent et dissuasif, les quatre joueurs offensifs du PSG ont brouillé pas mal de pistes dans la défense phocéenne, dont le côté droit (Diawara - Azpilicueta) symbolisa à lui seul les approximations marseillaises du jour. Il a fallu seulement huit minutes à Erding pour inscrire son troisième but de la saison, à la reprise d'une frappe de Nenê repoussée par Mandanda (9e, 1-0). Nenê était encore dans le coup sur le second but parisien, auteur d'un superbe relais avec Hoarau (19e, 2-0). Le Réunionais s'est présenté face à Mandanda comme son équipe jouait : lancé, en avançant, déterminé à mordre dans la pelouse détrempée qui servait de cadre à ce Clasico.

 

Quand Lucho Gonzalez a réduit le score à la 23e minute, après une percée de Gignac à droite (2-1), le Parc a cru pouvoir assister à un match débridé, pourquoi pas historique, dans la lignée du 5-5 de Lyon-Marseille la saison dernière. Il y avait tout : beaucoup d'espaces entre les lignes et de liberté de jouer, aucune frilosité dans l'approche du jeu, une ambiance électrique et de l'erreur dans l'air. Sur deux des trois buts, les deux gardiens, Mandanda et Edel, étaient impliqués par un ballon relâché. Sur le second but parisien, la relance de Diawara n'était pas non plus exempte de tout reproche. A la demi-heure de jeu, l'ADN du Clasico a refait son apparition avec son lot de duels chauds (le coude de Chantôme sur Valbuena), de contestations et une simulation assez grossière (Chantôme encore). Si les échanges furent moins fluides après le repos, et les occasions plus rares, le spectacle aura au moins été haletant jusqu'au bout du bout, et une dernière occasion à bout portant de Gignac, stoppée du bout des gants par Edel. Cela faisait six ans jour pour jour que le PSG n'avait pas gagné le Clasico devant ses supporters (2-1). Le Vélodrome crie déjà vengeance.

 

Cédric ROUQUETTE, au Parc des Princes / Eurosport

 

"Pierrot le Foot",

 

Franchement, je ne m'attendais pas à ça. J'avais pronostiqué une victoire de l'OM, cet OM peut-être moins brillant dans le jeu que Paris mais beaucoup plus efficace aussi bien offensivement que défensivement depuis le début de la saison... Il s'est passé exactement l'inverse hier soir. Marseille a totalement raté son entame de match, Paris a totalement réussi la sienne et tout s'est joué dans la première demi-heure.

Alors après, il y a cette polémique dérisoire et ridicule dont Didier Deschamps a malheureusement fait ses choux gras en conférence de presse. Les Marseillais sont donc arrivés au Parc avec un peu de retard... Si j'ai bien compris "DD", il trouve donc qu'il n'y avait pas assez de sécurité samedi et trop dimanche ! C'est sûr, c'est plus commode que de dire qu'on a choisi un hôtel à l'autre bout de Paris. C'est bien connu, ça roule toujours bien à Paname le dimanche soir...

Et c'est en plus déplacé sachant que son équipe a joué un match d'entraînement à Zilina mercredi alors que Paris s'est cogné le Borussia jeudi soir. Je suis assez déçu qu'un mec du niveau de Deschamps s'abaisse à utiliser ce genre d'arguments pour justifier cette défaite au Parc. A Lille aussi, l'OM avait pris le bouillon pendant toute la première mi-temps, mais ça ne l'avait pas empêché de prendre les clés du match en deuxième et de gagner 3-1.


Nenê, meilleur joueur de L1

La différence, c'est que cette fois Marseille en a pris deux, mais surtout que son milieu de terrain n'a pas réussi à prendre le dessus. Kaboré a été catastrophique, Cheyrou a été le seul à tenir son rang et Lucho, hormis ce but de renard - je ne crois pas que ce soit ce qu'on attend de lui en priorité - a été fantomatique. Personnellement, je ne reconnais pas le meilleur passeur de la saison dernière mais certains d'entre vous me tiendront peut-être le discours inverse (essayez pour voir)...

Tout le paradoxe - ou la magie - du foot, c'est que les deux buts parisiens viennent de deux mecs à la rue depuis deux mois. Ca fait un moment qu'on se demande quand va avoir lieu le réveil d'Erding et d'Hoarau et ça s'est produit au meilleur moment pour Paris. Mais côté PSG, il y en a deux qui ont été au-dessus : Nenê, qui est pour moi le meilleur joueur du championnat depuis le début de la saison et qui a mis Azpilicueta au supplice. Et Chantome, la bonne surprise, qui a très bien assuré le lien milieu-attaque qui a cruellement manqué aux Olympiens.

Autre domaine ou l'OM a failli : le physique. Lors des précédents PSG-OM, les Marseillais avaient souvent fait parler leur impact athlétique supérieur. Ca n'a pas été le cas cette fois. En revanche, au petit jeu du "Qui méritait un rouge ?", ils l'ont emporté haut la main. Entre le geste de Diawara qui tente de piétiner Nenê - ce qui a entraîné une discussion houleuse entre les deux hommes dans les couloirs - et le coup d'épaule de Heinze sur Chantome - dépit et violence gratuite -, il traînait dans l'air quelques relents d'une époque qu'on pensait révolue...


DD cherche encore...

Ce qui est sûr, c'est qu'au soir de cette 12e journée Paris est 3e du classement dans un championnat où le premier a donc 8 points d'avance sur le... 19e ! Tout est normal... Si on devait faire un petit bilan après ce premier PSG-OM, on pourrait dire que le club de la capitale a parfois développé un jeu pas inintéressant même s'il demeure encore trop tributaire des éclairs de Nenê devant. Si Erding et Hoarau confirment leur sortie de tunnel, la suite peut donner quelque chose de sympa.

Côté marseillais, il va peut-être falloir réévaluer la période de gestation de cette équipe. L'an dernier, DD a mis six mois à trouver la bonne formule. Cette saison, il cherche encore et les nombreux changements tactiques effectués en seconde période montrent que ça pourrait prendre autant de temps. En attendant, son équipe vient de quitter le podium. Le match en retard face à Rennes ? Justement, c'est face à Rennes et les trois points ne sont pas gravés dans le marbre.

Dans les autres matchs, le fait marquant c'est le réveil tonitruant de Lille. Allez, je vous sers un beau cliché tout chaud : "C'est sans doute un "match-référence" pour le LOSC, qui avec cette victoire "vient de lancer sa saison"." A Lille, c'est la paire Hazard-Gervinho qui a refait surface au bon moment et par instant, on a retrouvé l'équipe flamboyante de la saison dernière. Le LOSC est 5e, à égalité avec l'OM.

Pierrot

 

Réactions :

 

A.Mais ils sont où, mais ils sont où ces marseillais?

 

B.Et Deschamp il en pense quoi des gestes honteux de Diawarra et de Heinze? S'ils ne jouaient pas à Marseille il n'auraient jamais fini le match.

 

C. les marseillais arrêtez de vous croire le centre du monde. C'est autant un article sur Paris qu'un article sur l'OM. C'est vrai que je poste souvent sur des équipes dont je ne suis pas supporter mais je ne viens pas pour insulter moi. Je donne mon avis et c'est toujours plus objectif que la presse française en général. Vous vous prenez pour un grand club mais si c'était le cas la presse vous traiterait avec l'exigence qu'on a envers un grand club et dirait que vous jouez mal depuis le début de la saison et que vous avez énormément de réussite jusqu'ici. Et comme votre entraîneur s'appelle Deschamp il n'a pas été trop embêté par la presse qui préfère s'acharner sur Puel. C'est tellement plus facile. Et encore vous avez eu de la chance d'affronter un PSG qui avait joué un gros match jeudi soir. Comme vous avez eu de la chance face à Lille qui s'était effondré logiquement en seconde mi-temps.

 

D.paris est magique marseille est tragique muhaaaaaaahahaha

 

E.Un tres bon match ! Merci aux 2 equipes qui ont ouvert le jeu ... 3 buts en 30 minutes... c'etait chouette !
Bravo au PSG, j'avais predis un 3-2 pour l'OM, mais le resultat est amplement mérité !

 

F.le plus drole dans l'histoire,c'est que ces chers marseillais et supporters n'arrêtaient de se moquer du duo d'attaquant de paris,erding et hoarrau,disant que c'étaient des chévres,mais alors messieurs les pros marseillais,pouvez vous me rappelez les noms des buteurs parisiens de ce soir! il y a des soirs comme ça ou je ris pour rien mais ce soir je sais!

 

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 08:04

Paris a bien changé et redevient magique !par

 

Pierrot le Foot",

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Après ses dernières performances convaincantes en championnat, ce jeudi de Ligue Europa proposait au PSG de passer un vrai test au Westfalenstadion (oui, je sais qu'il a changé de nom mais pour moi ça restera le Westfalen) face au Borussia Dortmund, actuel leader la Bundesliga. Jurgen Klöpp avait sorti la grosse équipe, Kombouaré aussi et on a eu droit à un match européen digne de ce nom entre deux équipes en confiance.

Alors c'est vrai que globalement, Paris a été dominé dans cette rencontre, ce qui n'est pas illogique en soi. Mais les joueurs de la capitale n'ont jamais été dépassés. Ils n'ont pas souffert la misère non plus et Edel n'a pas eu d'arrêt extravagant à effectuer. Même après l'ouverture du score allemande grâce à un péno bidon gracieusement offert par l'arbitre, ils n'ont pas paniqué et ne se sont jamais désunis.

C'est sur ce genre de détail qu'on se rend compte que cette saison, le PSG a changé. Défensivement, c'est devenu très cohérent, avec notamment un Sakho qui n'est plus le même depuis son séjour en Bleu. Mais pour en revenir au pénalty, c'est bien la peine de placer 5 arbitres sur le terrain si c'est pour qu'aucun d'eux ne voie que Sakho dégage le ballon. Là, ça commence à devenir problématique.

Enfin, heureusement que les Parisiens ont gardé le cap et sont finalement parvenus à égaliser, avec un joli but de Chantome - tout juste entré en jeu - consécutif à un bon travail de fixation d'Hoarau. Ca fait 7 points et la première place du groupe à la bouée pour Paris et ce n'était guère prévisible au moment du tirage.

Je vois déjà vos mines goguenardes derrière vos claviers. C'est vrai qu'on approche de novembre, historiquement le mois de tous les dangers pour le PSG. Mais contrairement à ses devancières, cette équipe semble avoir du caractère. Ce n'est qu'une impression, mais je pense que ce PSG version 2009-2010 est une équipe à surveiller, y compris en championnat. Et ça, ça redonne le sourire pour ce club encore meurtri.


Le Sporting intouchable

Dans un registre différent, le match du LOSC a suscité quelques frayeurs également, en fin de rencontre notamment, puisqu'après avoir ouvert la marque en début de seconde période, les Nordistes ont commencé à reculer en fin de match, au moment où ils ont connu une baisse physique importante.

Alors qu'ils avaient bien maîtrisé leur match avant le repos, se créant les meilleures occasions et n'en concédant quasiment pas, les joueurs de Rudi Garcia ont eu plus de mal après l'ouverture du score. Ou comment se mettre en difficulté sans raison apparente...

Les assauts des Bulgares dans le dernier quart d'heure sont heureusement restés vain et Lille signe donc son premier succès dans cette Ligue Europa. Une victoire qui les repositionne à la deuxième place de leur groupe, derrière le Sporting qui a pulvérisé la Gantoise après avoir étrillé le Levski. Les Portugais semblent intouchables, mais pour la seconde place qualificative c'est redevenu tout à fait jouable. Et pour la confiance, c'est pas mal avant de recevoir Marseille dimanche...

Pierrot

 

 

 

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 22:03
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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 07:57

 

Paris et Marseille se placent Par "Pierrot le Foot",

 

Le PSG a réalisé une excellente opération ce samedi soir en allant s'imposer sur la pelouse du Stadium de Toulouse (2-0). Une victoire qui permet aux Parisiens de monter à la troisième place du classement de Ligue 1 à la place de l'OM, vainqueur plus tôt dans la soirée de Nancy (1-0).

 

Après l'OM, voici le PSG. Les hommes d'Antoine Kombouaré ont détrôné ceux de Didier Deschamps sur la troisième marche du podium de Ligue 1 en allant s'imposer sur le terrain de Toulouse (2-0). Encore une fois solide défensivement, les Franciliens se sont facilités la tâche en marquant dès la 11e minute par l'intermédiaire d'une frappe du droit de Mamadou Sakho. Plus inspiré que le TFC, le club de la capitale va vendanger quelques actions avant que Mevlut Erding n'inscrive un deuxième but synonyme de K.O pour les Pitchounes juste avant l'heure de jeu. Et si Mansaré et Machado obligent Edel à s'employer en fin de partie, cela n'empêche pas le PSG de repartir avec les trois points.

 

Le club parisien est donc provisoirement troisième de Ligue 1 à la différence de but devant l'OM, en attendant les déplacements de Lille à Lyon et de Saint-Etienne à Nice dimanche. De son côté le leader rennais jouera également hors de ses bases, à Lens.

 

 

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Quelle tristesse... Non mais sans déconner, six buts en six matchs et un niveau d'ensemble d'un insigne faiblesse... Quinze jours après une 8e journée haletante, la Ligue 1 est retombée dans ses pires travers ce soir en offrant un spectacle d'une rare indigence. Il y a des soirs comme ça... Hormis Caen-Monaco, qui malgré un score nul et vierge, échappe à la critique tant les occasions ont été nombreuses des deux côtés, le reste de cette 9e journée est à jeter aux oubliettes sans autre forme de procès.

Allez, on va également rattraper Toulouse-PSG, qui n'était pas désagréable à l'oeil. Des Parisiens de plus en plus surprenants, notamment en défense puisque l'équipe de la capitale n'a plus pris de but depuis sept matchs ! L'un des grands artisans de cette imperméabilité se nomme Sakho, encore très bon hier soir et qui surfe sur ses convocations en équipe de France qui, apparemment, lui ont fait un bien fou.

Un autre qui étonne son monde depuis qu'il a pris la place de Coupet dans les buts parisiens, c'est Edel, auteur de trois parades de grande classe. Mais dans le sillage de sa défense, c'est tout Paris qui paraît évoluer en confiance. Giuly semble renaître alors qu'il était à la cave la saison dernière, et Nenê est de toutes les actions dangereuses. Au final, Paris s'impose le plus logiquement du monde au Stadium face à une formation qui n'a pas d'attaquant et qui ne peut donc décemment pas espérer marquer de but.

A l'Abbé-Deschamps, l'AJA a une nouvelle fois touché ses limites. Déjà plombée par un effectif quantitativement limité, la formation bourguignonne doit en outre faire face à des blessures qui la handicapent de façon rédhibitoire. Les hommes de Jeannot Fernandez ont énormément souffert devant des Girondins qui ont retrouvé une vraie solidarité défensive (à l'image de Carrasso et Ciani, impériaux).


Une impression très, très mitigée

Un match marqué par l'exclusion de Diarra pour un geste d'humeur après un carton jaune. Malgré des excuses quasi-simultanées auprès du corps arbitral, le capitaine des Girondins et de l'équipe de France risque gros mais j'espère que la commission de discipline tiendra compte de ses "états de service" et fera preuve de clairvoyance et de mansuétude en ne le sanctionnant pas pour une longue durée.

Enfin, on attendait de voir comment l'OM allait s'en tirer après son match nul à Sainté et le moins que l'on puisse dire, c'est que les hommes de Deschamps ont presque totalement raté leur match face à Nancy. Et au final, ils ne doivent leur courte victoire qu'à la décision de monsieur Malige de valider le but de Rémy. Certes, c'est une action particulièrement difficile à arbitrer à vitesse réelle, mais il est indéniable que l'attaquant marseillais balance - involontairement - ses crampons dans le visage de Gregorini.

Mais s'il n'y avait que ça... Car le plus scandaleux, ce sont sans doute les deux pénalties (main de Heinze et charge de Taïwo sur Hadji) refusés aux Lorrains. Malheureusement pour les joueurs de Pablo Correa, l'histoire ne retiendra que la victoire d'un OM poussif, avec un Gignac inexistant et une prestation globale nettement insuffisante. En version optimiste, on dira que Marseille a pris des points en jouant mal, ce qui est parfois la marque des grandes équipes.

Personnellement, je trouve que le champion de France a des lacunes bien trop criantes pour le moment. Lorsqu'il va s'agir d'aller gagner à Moscou ou de faire un exploit face à Chelsea, en gros lorsque l'adversité sera plus importante, il va falloir montrer tout autre chose. Parce que pour le moment, si le potentiel est là, l'impression laissée est tout de même très, très mitigée...

A demain, en espérant voir un peu plus de buts et de spectacle.


Pierrot

PS : Désolé pour l'heure tardive de postage, mon réseau s'est montré particulièrement capricieux en ce samedi soir

 

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