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19 août 2011 5 19 /08 /août /2011 19:42

Javier Pastore a connu son premier match et sa première victoire avec le PSG (0-4) jeudi en Ligue Europa contre Differdange. Le meneur argentin a montré de belles qualités techniques et de la disponibilité. A court de rythme, il a pourtant tenu tout le match face aux modestes Luxembourgeois.

 

Ligue Europa - Pastore déjà dans le coup

 

Dans l'optique de donner du temps de jeu à Pastore, Antoine Kombouaré avait promis de le faire jouer sur la pelouse du stade Josy-Barthel. Confiant quant à la progression physique de son joueur, il l'a même lancé d'entrée dans un 4-2-3-1 qu'il devrait souvent utiliser cette saison. Placé derrière Gameiro, seul en pointe, Pastore a d'abord manqué de concentration avec deux ballons perdus dans les premières secondes. Mobile sans être rapide et visiblement très à l'aise techniquement, il s'est vite rassuré avec un petit pont (7e). Devant des amateurs luxembourgeois repliés dans leur camp, le meneur de jeu ne s'est pas affolé et s'est rapidement montré disponible et lucide pour combiner avec ses partenaires de l'attaque. "Le coach et les joueurs me font confiance, j'ai pu jouer tranquillement", analysait celui qui a vite trouvé ses premières marques.

Deux belles passes pour finir..

 

Jeudi contre Differdange, Javier Pastore a connu son premier match et sa première victoire avec le PSG (0-4). Et montré de belles qualités. - 2 

 

 Précis dans le jeu long pour lancer ses coéquipiers sur les côtés comme dans le jeu court à une touche, il a commencé à bien s'entendre avec Ménez à l'image de ce joli une-deux qui a amené la première occasion parisienne. Devancé de peu par Weber, le portier adverse, l'Argentin a obtenu le corner à la suite duquel Gameiro a ouvert le score (17e). Dans une rencontre disputée sur un petit rythme, Pastore a poursuivi dans un registre précis et inspiré en jugeant bien le placement des autres Parisiens comme sur cette remise immédiate vers Gameiro au milieu de la surface adverse (29e) ou celle sur Ménez pour une frappe de l'ancien Romain détournée par Weber (60e). S'il n'a pas tiré les coups francs, le meneur de jeu a fait preuve de combativité pour récupérer quelques ballons et a offert quelques gestes de classe quand son équipe poussait avec cette aile de pigeon pour la tête de Gameiro que Weber a encore repoussée (66e).

 

Souvent bien placé, "El Flaco" (Le Maigre) aurait même pu ouvrir son compteur-but dès son premier match mais il perdu son duel au point de penalty face à l'excellent Weber après une louche de Menez (73e). Pastore a tout de même eu la satisfaction de tenir l'intégralité de la rencontre et surtout de se retrouver à l'origine des troisième et quatrième buts parisiens avec une louche pour Ceara, buteur après un nouveau corner (0-3, 90e) et une ouverture parfaite sur la droite pour lancer Menez qui est allé glisser le ballon entre Weber et son premier poteau (0-4 90e+1). "Je n'ai pas de pression supplémentaire en raison du coût de mon transfert. Seulement celle du terrain", a conclu Javier Pastore.

 

Pourtant, en Ligue 1 face à des adversaires déterminés ou au Parc des Princes devant des supporters exigeants, il devra avoir les épaules assez larges pour justifier son nouveau statut de joueur le plus cher du championnat de France.

 

Damien DORSO / Eurosport

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15 août 2011 1 15 /08 /août /2011 10:13

Jean-Michel LarquéJean-Michel Larqué

Jean-Michel Larqué et les juifs d'Arsenal...

 

Jean-Michel Larqué

Le commentateur vedette a fait un raccourci surprenant entre les juifs qui dirigeaient le board d'Arsenal et leur goût pour l'argent...

 

Certains auditeurs de Larqué Foot sur la radio RMC se sont étranglés vendredi en écoutant une diatribe de Jean-Michel Larqué sur les dirigeants d'Arsenal. Alors que le commentateur s'en prenait au départ promis de Nasri et de Fabregas du club londonien, il s'est livré à une association d'idée qui a mis mal à l'aise ses collègues :

"Je me rappelle toujours d’une réflexion d’Arsène Wenger, qui résume un petit peu quand même la philosophie du board d’Arsenal.

 

Il m’a dit le jour où j’ai vu que le board d’Arsenal, qui est plutôt de confession juive [Il ne l'est plus, NDLR]. A cette époque il l’était donc et qu’ils se sont mis autour une table avec les représentants d’Emirates. Il m’a dit "j’ai tout compris, j’ai compris ce jour-là qu’il y avait une chose importante pour le board d’Arsenal. C’était l’argent."

 

Et aujourd’hui, l’argument selon lequel Nasri vaudrait 0 euro, enfin 0 livre à la fin de la saison, c’était insupportable."

Jean-Michel Larqué a immédiatement tenté de corriger le tir après une interruption, expliquant qu'il était proche de très nombreux juifs et que ses paroles n'étaient pas antisémites.

 

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9 août 2011 2 09 /08 /août /2011 11:46
 

Javier Pastore a déjà une idée de ce qui l'attend en L1 avec le PSG. Il sait qu'il doit être décisif. Il se dit prêt à tous les schémas offensifs possibles. Mais il a surtout déjà compris qu'il faudrait de l'impact physique à son équipe pour faire triompher la supériorité qu'elle a sur le papier.

Ligue 1 -

JAVIER PASTORE, n'avez-vous pas l'impression d'une régression en passant de la Serie A italienne à la L1 ?

J. P. : Non pas du tout. La L1 française n'a pas le niveau de la Ligue espagnole ou anglaise, mais ce n'est absolument pas une régression. La L1 a gagné en qualité de jeu, de spectacle. Elle se renforce, et elle pourra rivaliser bientôt avec la Liga et la Premier League. J'en suis convaincu.

Le Paris-SG est un club où la pression est très forte sur les joueurs. La ressentez-vous ?

J. P. : Je suis très content d'être à Paris, la ville est superbe, le club est important dans le football mondial. Je n'ai pas peur. Je me sens très bien avec mes partenaires et avec le club. J'ai déjà découvert l'Europe en venant d'Argentine et je me suis bien adapté à tout, lors de mon séjour à Palerme, sans problème. Le club et mes partenaires font tout pour favoriser mon intégration.

"On a une équipe capable de jouer les premiers rôles"

Diego Maradona a dit que vous étiez un joueur mal élevé. Que voulait-il dire et qu'est-ce que votre football va apporter au Paris-SG ?

J. P. : Oui il a dit ça pendant la Coupe du monde. Il a apprécié le fait que j'essaie de toujours percuter. Il me l'a bien rendu en me faisant confiance. Ici, au PSG, je ferai le maximum pour l'équipe, c'est-à-dire donner de bons ballons et aussi marquer des buts.

Quel regard portez-vous sur vos partenaires et sur le niveau de l'équipe ?

J. P. : Je me sens très heureux de jouer dans cette équipe qui possède de très bons joueurs de ballon. C'est une équipe compétitive, pétrie de talents. Si on répond physiquement, on sera en mesure de faire la différence. On est solide derrière, avec de joueurs costauds. Mes partenaires sont des joueurs bien connus du Championnat de France. Pour moi, on a une équipe capable de jouer les premiers rôles, c'est sûr.

Quel est votre meilleur poste ? Combien d'attaquants aimez-vous avoir devant vous ?

J. P. : J'ai peut-être été plus habitué à jouer avec deux attaquants. Mais ce n'est pas une obligation absolue. Je peux jouer avec une seule pointe et tourner autour d'elle. On verra avec l'entraîneur ce qu'il vaut mieux faire pour l'équipe.

Propos recueillis par Cédric ROUQUETTE / Eurosport
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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 20:42
 

LEMONDE.FR

Qui succédera à Lille, champion de France de Ligue 1 en 2011 ?
 
Qui pour succéder à Lille, champion de France 2011 ?
 
La saison 2011-2012 de Ligue 1 débute samedi 6 août. Outre les Lillois, candidats légitimes à leur propre succession, la nouvelle armada parisienne, flambant neuve, équipée par ses investisseurs qataris, fait figure d'épouvantail grâce à son recrutement pharaonique. L'OM de Didier Deschamps sera également à la lutte pour le titre sans oublier des Lyonnais revanchards. A l'inverse, en bas de tableau, la lutte pour le maintien sera rude. Comme chaque année, les promus sont promis à l'enfer. A Evian-Thonon-Gaillard, Dijon et Ajaccio de déjouer ce funèbre pronostic.

L'OM ET PARIS SE DÉTACHENT, LILLE CHERCHE À CONFIRMER

Tous les regards sont tournés vers le PSG et son équipe bâtie à coups de dizaines de millions d'euros. Avec l'arrivée de Javier Pastore, la somme dépensée par les investisseurs qataris atteint désormais plus de 80 millions d'euros. Outre le prodige argentin, sept joueurs ont débarqué : Jérémy Ménez, Salvatore Sirigu, Mohamed Sissoko, Blaise Matuidi, Milan Bisevac, Nicolas Douchez et Kevin Gameiro. Clairement orienté vers la Serie A, le nouveau directeur sportif du club, Leonardo, détient les clés du pouvoir. Mais la nouvelle vie dorée du PSG, si elle constitue bien évidemment une chance aux yeux de tous, divise les observateurs.

 

Ainsi, pour Jean-Louis Triaud, président des Girondins de Bordeaux, si l'argent est une condition indispensable au succès, il n'apporte aucune garantie. "L'exemple de Manchester City montre bien que même des moyens colossaux ne suffisent pas à jouer immédiatement le titre", lance-t-il. Pour l'entraîneur marseillais, Didier Deschamps, l'émergence parisienne est positive mais est à relativiser : "Les investisseurs du PSG veulent investir énormément, mais ils ont aussi beaucoup de retard. Mais, en tout cas, c'est une nouvelle réalité qui arrive en Ligue 1."

 

D'autres ne font pas de mystère quant aux nouvelles capacités parisiennes. "C'est l'équipe la mieux armée, celle qui aura le plus gros budget. Je ne crois pas ceux qui disent que l'argent ne suffit pas. Ce n'est jamais du 100 % mais, sans argent, tu es certain de ne pas être champion", affirme Frédéric Hantz, entraîneur de Bastia en Ligue 2. Le statut hors norme du club parisien ne laisse, en tout cas, pas indifférent. "Ces moyens financiers considérables peuvent êtregênants pour les clubs qui se bagarrent pour 1 ou 2 millions d'euros", avoue "Mecha" Bazdarevic, entraîneur de Sochaux, pour qui l'investissement des Qataris en France est cependant "positif".

 

A Marseille, le temps est au beau fixe. Handicapé la saison dernière par un recrutement tardif,Didier Deschamps a obtenu la plupart des arrivées souhaitées en temps voulu : Morgan Amalfitano, Jérémy Morel, Alou Diarra et Nicolas Nkoulou. Le départ attendu de Lucho pourraitprovoquer le recrutement d'un attaquant. Frustré par la deuxième place en 2011, le champion de France 2010 aura à cœur de retrouver son trône, fort d'un Didier Deschamps renforcé et d'une direction remaniée.

"L'état d'esprit des Marseillais sera revanchard. La première place est l'objectif prioritaire dans un club où la victoire est culturelle", explique Frédéric Hantz. Mecha Bazdarevic confirme ces propos : "L'effectif olympien est taillé pour le succès. Les qualités de gagneur de Deschamps et l'expérience plus forte de l'OM paraissent décisives." Pour Hantz, si la prise d'influence grandissante de Deschamps est réelle vis-à-vis de ses dirigeants, "Marseille sera encore meilleur cette saison".

 

 

 

Mais, si le PSG et l'OM fourbissent leurs armes, nouvelles ou anciennes, ce sont bien les Lillois qui défendront leur titre de champion de France. Impressionnant l'an passé, Lille continue de progresser. Les départs de joueurs d'importance tels que Rami, Gervinho et Cabaye ont été bien et vite comblés. Pedretti, Basa et Payet ont notamment débarqué. "Le LOSC fera tout pour renouveler son succès. C'est une très belle équipe avec un effectif capable de réaliser cet exploit. Les Lillois seront là en fin de saison dans la course au titre", analyse Bazdarevic.

 

Si Lille a les moyens de ses ambitions, conserver son titre relève pour certains du tour de force. "Il est toujours compliqué de se retrouver dans une situation d'attente. Les Lillois n'ont pas une expérience de champion comme des clubs tels que l'OM ou l'OL", remarque Frédéric Hantz. Les joueurs de Rudi Garcia profiteront en tout cas de la Ligue des champions pour continuerà grandir.

A Lyon, la tempête semble s'être éloignée. Claude Puel a été licencié après trois saisons sans trophée et un dernier exercice fort agité. Le club du président Aulas s'est tourné vers ses racines en faisant confiance à Rémi Garde, ancien joueur lyonnais."C'est humain, lorsqu'on souffre, on a tendance à revenir aux sources. C'est un passage obligé dans l'évolution du club", décrypte Frédéric Hantz. Si peu de personnes parient sur les chances lyonnaises, Mecha Bazdarevic n'enterre pas les septuples champions de France : "Il ne faut pas oublier Lyon, qui possède de très bons joueurs. Ils n'ont pas oublié leur football." Et pour le Bosniaque, la présence de Rémi Garde n'est pas fortuite. "Oui, il connaît la maison, mais il a été choisi aussi pour ses qualités", déclare-t-il.

 

Grâce à cette ambiance a priori apaisée, le seul handicap lyonnais réside dans ses difficultés financières, ce qui le rend atone pour l'instant sur le marché des transferts. Un handicap pas si évident, selon l'entraîneur de Bastia. "Pour les débuts d'un entraîneur, ce n'est pas plus mal de ne pas avoir à gérer l'intégration de nouveaux joueurs. Et puis Lyon va recruter, c'est sûr", défend Frédéric Hantz. Avec un groupe qui regorge de talents sur le papier, fort de l'apport des jeunes issus du centre de formation, Lyon tentera de reprendre ses habitudes de victoire.

 

DES PROMUS PLUS QUE JAMAIS EN DANGER

La saison 2010-2011 a été marquée par la relégation surprise de Monaco, celle, attendue, d'Arles-Avignon et celle, prévisible, de Lens. Cette année, les promus de Ligue 2 en Ligue 1 seront plus que jamais sous pression. Les novices Dijon et Evian-Thonon-Gaillard, les Corses d'Ajaccio devront batailler pour assurer le maintien. "Ces trois équipes ont accédé à l'élite avec le plus petit nombre de points depuis vingt ans. Ils n'ont pas dominé leur sujet en Ligue 2", rappelle Frédéric Hantz. Pour l'ancien entraîneur du Mans, deux sur trois descendront directement à l'étage inférieur. "Cela sera difficile pour eux. L'écart entre les deux divisions est très important", précise-t-il.

 

Mecha Bazdarevic, s'il confirme ce pronostic, apporte une nuance. "Bien sûr, c'est plus compliqué pour les équipes qui montent, mais beaucoup d'équipes sont concernées par la relégation. Et, chaque année, il y a désormais des surprises", affirme-t-il. Une équipe comme Brest, par exemple, séduisante en première partie de saison, à la peine par la suite, devraéviter la malédiction de la deuxième saison parmi l'élite. Un promu paraît cependant plus en mesure de résister que les autres : "Evian-Thonon-Gaillard, grâce à une enveloppe de recrutement intéressante, est un peu moins menacé", risque Hantz.

 

DES OUTSIDERS AMBITIEUX : RENNES, SAINT-ÉTIENNE ET BORDEAUX

Derrière les favoris, au-dessus des clubs menacés par la relégation, la variable d'ajustement du championnat s'illustre dans cette catégorie de clubs de qualité, capables de bien figureret de créer des surprises. Grâce à une politique sportive et financière cohérente, Rennes tente de rejoindre les plus grands. Saint-Etienne a mené un recrutement intéressant qui lui apporte une ambition non feinte. Enfin, Bordeaux, malmené la saison dernière, espèretrouver en son nouvel entraîneur Francis Gillot l'homme idoine pour rebondir.

 

"D'année en année, Rennes avance. On attend les Rennais depuis longtemps. Ils vont parvenirenfin à monter d'un cran", prédit Frédéric Hantz. Mecha Bazdarevic tient, quant à lui, àévoquer le statut bordelais : "Il y a deux ans, ils étaient champions. Le club possède des joueurs de qualité." Si ces équipes espèrent titiller les favoris logiques, une place européenne constitue déjà un objectif raisonnable.

Anthony Hernandez
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2 juillet 2011 6 02 /07 /juillet /2011 09:04
Comment Al-Khelaïfi va faire du PSG un très grand d'Europe...

 

 


Comment Al-Khelaïfi va faire du PSG un très grand d'Europe....

 

 

A la différence de Colony Capital, ancien actionnaire majoritaire du club, QSI souhaite rester longtemps dans le capital du club parisien: "On n'est pas là sur du court terme, mais vraiment sur du long terme. Le PSG a un potentiel énorme: c'est quand même le seul club d'une capitale dont l'agglomération compte 12 millions d'habitants. C'est quelque chose d'unique en Europe".

En conséquence, le PSG devrait être très actif sur le marché des transferts, comme le confirment les nombreuses rumeurs qui circulent autour du club de la capitale.

 

Mais qu'on ne s'y méprenne pas, Paris ne sera pas une vache à lait: "On sait comment dépenser notre argent. On n'est pas là pour jeter l'argent par les fenêtres, mais pour réaliser des investissements réfléchis et efficaces". Et c'est là que la bombe tombe ! "On veut surtout le nouveau Lionel Messi (...) On veut investir dans les très grands talents de demain. Et, parmi eux, il y aura des joueurs français".

 

 

Nasser Al-Khelaïfi est le nouveau patron du club et l'a bien fait comprendre à Robin Leproux, le président actuel du PSG. Alors qu'une rumeur d'un limogeage de l'ancien boss de RTL a circulé, l'homme d'affaire qatari n'hésite pas à rappeler que l'avenir de Leproux n'est pas inscrit dans le marbre du côté de la porte d'Auteuil: "La semaine dernière, le club appartenait à Colony Capital. Désormais, il appartient à QSI. On est propriétaire depuis seulement une heure.

 

En signant l'acte de vente, on n'était pas là pour parler des situations des uns et des autres. Mais il y aura certaines discussions ultérieurement avec des gens du club..."

 

Nasser Al-Khelaïfi, le nouveau propriétaire du PSG, a des projets très ambitieux pour le club de la capitale. Pour cela, il est prêt à chambouler le club.

 

Le Paris Saint-Germain est officiellement entre les mains de ses propriétaires qataris depuis jeudi. Mais le nouveau patron du club de la capitale sait très bien ce qu'il veut faire de son nouveau joujou. Pas question de venir à Paris pour faire de la figuration, mais bien pour faire grand bruit, aussi bien sur le terrain qu'en dehors: "Je sais que notre arrivée suscite beaucoup d'espoirs autour du club. Sachez que, nous aussi, nous sommes emplis d'espoirs. On veut amener le PSG très haut", indique-t-il au cours d'un entretien accordé à L’Équipe.

 

"Le PSG a un potentiel énorme"

 

C'est pourquoi, le nouveau boss du PSG voit grand pour son club: "Notre objectif est d'abord de participer à chaque Ligue des Champions dès 2012. Ensuite, à partir de 2015, on aspire à jouer un rôle majeur dans cette compétition". Et un titre de champion de France ? "On veut être en Ligue des Champions la saison suivante, donc il faudra bien finir parmi les trois premiers du championnat", s'amuse-t-il à répondre en ne laissant planer aucun doute sur la véritable ambition sportive et financière du PSG version qatarie: "Tous les clubs rêvent d'être champions. Mais la priorité sera d'être chaque année en C1".

 

Le PSG définitivement SDF ?  

 

Enfin, c'est le Parc des Princes, qui pourrait lui aussi se trouver en danger. Le PSG évoluera au Stade de France lors de la saison 2012-2013, le temps des travaux de rénovation de son enceinte historique. Et pas sûr que le déménagement ne soit que temporaire: "Il y a des discussions à ce sujet, c'est évident. Mais je ne peux pas encore apporter de réponse définitive". La révolution qatarie est en marche, c'est certain.

 

 

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11 juin 2011 6 11 /06 /juin /2011 20:04
Margarita et ses hommes....pour L'OM....

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                 Margarita Louis-Dreyfus et le nouveau président de l'OM, Vincent Labrune

 

 



 
Dassier et Veyrat évincés, le nouvel organigramme de l'OM se veut désormais clair. Avec à sa tête un homme de pouvoir, Vincent Labrune, un gestionnaire, Philippe Pérez, et un entraîneur omniprésent, Didier Deschamps. L'objectif de Margarita Louis-Dreyfus : simplifier pour mieux régner.
Vincent Labrune, l'homme clé

Cette fois, Vincent Labrune passe sur le devant de la scène en devenant le président de l'OM. En 2009, lors de l'éviction de Pape Diouf, il avait scrupuleusement pris soin de ne pas se retrouver aussi pleinement exposé, même si personne n'était dupe de l'influence qu'il avait eu dans ce limogeage. Ni d'ailleurs de son pouvoir considérable au sein du club. Mais à l'époque, conscient de l'impopularité de sa décision, il ne souhaitait pas prendre les commandes, se contentant alors de la confiance sans faille de l'actionnaire majoritaire, Robert Louis-Dreyfus. Sa rencontre avec l'homme d'affaires suisse remonte à l'année 2003. Directeur de la communication de Réservoir Prod, Labrune partage une passion commune avec Louis-Dreyfus, celle de la boxe. Rapidement, les deux hommes se rapprochent, Louis-Dreyfus lui accordant sa confiance et Labrune lui prodiguant des conseils en termes de stratégie et de communication.
 
En janvier 2008, ce n'est donc pas une surprise que l'Orléanais soit nommé à la tête de la holding Eric Soccer, la société mère de la SASP (société anonyme sportive professionnelle) OM, en parallèle de son nouveau poste de président du conseil de surveillance. Dès lors, il devient le vrai patron du club en assurant le relais entre celui-ci et l'actionnaire.

Margarita Louis-Dreyfus, l'héritière
Un pouvoir encore renforcé à la mort de Louis-Dreyfus avec la bénédiction de sa veuve, Margarita, qui lui confie la gestion de l'OM. La suite logique de son ascension. Profitant de ses rapports privilégiés avec Margarita et des mauvais résultats financiers liés à la gestion de Dassier, Labrune a ensuite savamment orchestré l'éviction de l'ex-directeur de LCI. Bien mieux, en tout cas, que lors de la «guerre» interne menée face à Diouf. A croire qu'il a achevé son apprentissage des arcanes du pouvoir à l'OM… Contrainte de combler un trou de trésorerie de l'ordre d'environ 15 millions d'euros cet été, Margarita Louis-Dreyfus, elle, ne cache plus son exaspération de voir l'OM souffrir de manière récurrente de déficits. Déjà, en août 2010, elle avait stigmatisé ces errements. En évinçant Dassier, Margarita poursuit donc deux buts : remettre de l'ordre financier dans la maison phocéenne et simplifier l'organigramme du club. Or, en partant du principe que Labrune et elle sont «bonnet blanc, blanc bonnet», cela supprime la notion d'intermédiaire entre l'actionnaire et le club. La prise de décisions sera désormais optimisée en prise directe.

Philippe Pérez, la caution
Dans ce cadre, la nomination de Philippe Pérez comme directeur général de l'OM est la dernière brique consolidant l'édifice. Expert-comptable de formation, ce Parisien d'origine algérienne connaît Labrune de l'époque de Réservoir Prod, dont Pérez a été le directeur général. Depuis 2003, il était également le président de la SASP Red Star, en guise de formation dans le monde du football. Sauf que s'il a été nommé, ce n'est pas pour sa connaissance du ballon rond, mais pour ses qualités de gestionnaire. Qualifié d'intransigeant dans ce domaine, il aura pour mission de mettre un terme aux déficits endémiques de l'OM.
 
 
Didier Deschamps, l'homme fort
 
Sur le plan sportif, l'organigramme de l'OM ne varie pas. José Anigo conserve son titre de «directeur sportif en charge du recrutement, de la politique de formation, de la sécurité et des relations avec les groupes de supporters» et devient conseiller honorifique ? du président. Didier Deschamps, lui, reste l'entraîneur en charge du secteur professionnel.

Mais dans les faits, ce dernier sort tout de même renforcé de ce renouvellement de façade. En effet, son rôle dans l'éviction de Dassier n'est pas négligeable. En traitant directement avec Labrune pour sa prolongation de contrat, il a marqué une véritable défiance vis-à-vis de son ex-président et fragilisé encore un peu plus sa position.

A ce titre, l'anecdote du double rendez-vous Walter Sabatini-Vincent Labrune mi-janvier, est révélatrice : durant la même journée, l'entraîneur de l'OM se voyait offrir un contrat juteux par la Roma, avant que Labrune, mis au courant en temps réel de cette négociation, ne se dégage de ses obligations pour rencontrer Deschamps en fin d'après-midi. L'objectif ; l'assurer qu'il comptait sur lui à long terme, même si Dassier se montrait plus hésitant en laissant traîner le dossier. Maintenant, si son pouvoir politique au sein du club est conforté, Deschamps sait très bien que sur le plan du recrutement, il devra faire avec les faibles moyens du bord. Ainsi, si l'actionnaire principale a décidé d'allouer une rallonge exceptionnelle de 20 millions d'euros à la SASP OM, celle-ci aura majoritairement pour but de combler le trou de trésorerie. Clairement, la folie des grandeurs n'est pas à l'ordre du jour sur la Canebière…

 

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29 mai 2011 7 29 /05 /mai /2011 13:57
Barcelone triomphe en Ligue des champions 2011...



Le Point.fr - 

Les Catalans se sont offert une victoire 3-1 face à Manchester United à Londres et ils renouvellent leur exploit de 2009 face au club anglais.

Quel triomphe ! Le FC Barcelone a inscrit dans le marbre son hégémonie actuelle en remportant sa deuxième Ligue des champions en trois ans (après 2009) après avoir surclassé Manchester United (3-1), samedi à Wembley, grâce encore à Messi, auteur d'un but et artisan d'un autre. Le premier sacre du Barça avait été acquis à Wembley déjà, en 1992, après deux échecs (1961 et 1986). Il glane là sa quatrième C1, et dépasse désormais MU d'une unité (1968, 1999, 2008), déjà battu en 2009.

"Si on joue comme en 2009, on ne gagnera pas demain", avait pourtant prévenu vendredi l'entraîneur catalan Pep Guardiola. Il s'agissait de hausser son niveau de jeu face à des Mancuniens qui, même en ayant perdu Cristiano Ronaldo, semblaient plus forts que jamais. Et le Barça s'y est employé. Et comment ! Non pas tant en changeant son style de jeu : la possession de balle est restée hégémonique, autour de 70 %. Mais en se créant beaucoup plus d'occasions qu'il y a deux ans, et en en concédant largement moins. Une maîtrise quasi totale.

Manchester lâche en seconde période
Mais aussi en trouvant des ressources psychologiques pour se relever de l'égalisation de Rooney, au bout d'un une-deux avec Giggs pourtant hors-jeu (34e) et sur l'un des deux tirs au but seulement de MU en première période. Quelques minutes à peine après l'ouverture du score de Pedro, délicieusement servi à droite par un Xavi très entouré (27e). C'était la première période, et la parité au tableau d'affichage semblait équitable. Après la pause, MU a disparu de la circulation du ballon, totalement préemptée par les Espagnols.
 
Surtout, Messi faisait basculer le match. À sa manière, pleine de vivacité, d'une frappe soudaine sur laquelle Evra était en retard et qui trompait Van der Sar (54e). L'Argentin égalait ainsi avec son 12e but le record de réalisation en une saison de Ligue des champions établi par Van Nistelrooy en 2002-2003, sous le maillot de... Manchester United.
 
Festival de Messi
Messi célébra alors ce but le visage déformé par la rage, un visage de guerrier qui contrastait avec son sourire enfantin habituellement arboré pour fêter ses buts. Et dans l'élan, cette personnalité si timide et sage shootait dans un micro d'ambiance ! À 23 ans seulement, le Ballon d'or 2009 et 2010 coupe décidément le sifflet à la planète foot. Tout en explosant les statistiques, car il inscrivait ainsi son 53e but de la saison (en 55 matches toutes compétitions confondues), rejoignant ainsi son grand rival, Cristiano Ronaldo (qui a toutefois joué un match de moins). Le festival Messi se poursuivait avec un débordement sur le côté droit pour servir Busquets, qui remettait à Villa dont la frappe travaillée trouvait la lucarne (69e). Une belle récompense pour Villa, à la fin de saison difficile. Trois à un, l'affaire était pliée, et les vingt dernières minutes s'enfonçaient dans une certaine torpeur et un stade de Wembley rouge et bleu de bonheur, résonnant de "campeones, campeones !".
 
Les Anglais n'auront finalement connu que deux séquences positives : les dix premières minutes de pressing haut de la part des Diables rouges bousculant les Blaugranas dans leur camp, et deux semi-occasions anglaises où Valdés devait s'employer (9e, 11e). Et l'égalisation de Rooney. Chicharito Hernandez est resté invisible, et les ailiers Park et Valencia trop occupés à défendre.
 
"Ce sera peut-être la meilleure finale de la décennie, l'attrait des deux équipes fantastiques est évident, avait dit vendredi l'entraîneur mancunien Alex Ferguson. Et elle peut être la finale la plus attractive pour ce qui peut se passer : beaucoup de buts, beaucoup d'émotion, et beaucoup de bon foot, franchement." Finale de la décennie, peut-être pas. Mais pour le reste, sir Alex n'avait pas tort. Sauf qu'à la fin, c'est le Barça qui gagne.
 

 

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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 20:28
Découvrez en images l'équipe-type de Ligue 1 de Football...
 

 

Découvrez en images l'équipe-type de Ligue 1 de Football...

 

Mamadou Sakho (PSG)

 

Mamadou Sakho (PSG)

Adil Rami (Lille)

Adil Rami (Lille)


Anthony Réveillère (Lyon)

Anthony Réveillère (Lyon)

Taye Taiwo (OM)

Taye Taiwo (OM)

Yann M'Vila (Rennes)

Yann M'Vila (Rennes)

Nenê (PSG)

Nenê (PSG)

Eden Hazard (Lille)

Eden Hazard (Lille)

Kevin Gameiro (Lorient)

Kevin Gameiro (Lorient)

Moussa Sow (Lille)

Moussa Sow (Lille)

Steve Mandanda (OM)

Steve Mandanda (OM)

Gervinho (Lille)

Gervinho (Lille)

 

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15 mai 2011 7 15 /05 /mai /2011 09:19

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Lille, ça vous la Coupe...Par "Pierrot le Foot", alias Pierre Ménès

 

Pas top cette finale, en définitive. Limite décevante même. Non, carrément décevante en fait. Il faut dire qu'on attendait peut-être trop de ce match entre deux des équipes réputées pour avoir la meilleure qualité de jeu en France. Alors pourquoi ? Je crois qu'un premier élément de réponse est à chercher du côté du calendrier. Lille et Paris ont en effet disputé des matchs au couteau lors des trois dernières journées de championnat. Et ils seront à nouveau sur la brèche dès mercredi.

Et puis c'est vrai qu'il n'y a pas eu beaucoup de fautes défensives de part et d'autre. Rami, Sakho, Béria, Ceara, Mavuba... Les joueurs à vocation défensive ont tous été très bons. Le pressing était aussi d'un très haut niveau, des deux côtés. Offensivement en revanche, on n'a pas vu grand chose malgré certains des joueurs les plus spectaculaires de l'hexagone. Ni Hazard, peu en vue, ni Nenê, exaspérant à force de toujours râler, n'ont eu leur éclat habituel.

Cette Coupe de France, le LOSC est allé la chercher au bout d'un match engagé et rythmé mais finalement très pauvre en buts et en occasions. Une victoire qui aura évidemment des conséquences. Boostés par ce premier trophée, les Lillois pourraient finir la saison en trombe, alors que les Parisiens peuvent redouter des dommages collatéraux après la perte d'un trophée dont ils étaient les tenants. Quand je vois la façon dont Arsenal s'est écroulé après sa défaite en finale de la Coupe de la League contre Birmingham...

Et si les Franciliens risquent de regretter longtemps cet échec, c'est avant surtout cause du scénario de la rencontre. Car le premier constat à faire, c'est que le LOSC a sorti un tout petit match. Si l'on excepte la frappe de Sow au-dessus en première période, les Nordistes n'ont eu aucune occasion notable en près de 90 minutes. A l'inverse, Paris a livré une partition au diapason de sa saison : en étant globalement supérieur à son adversaire et en se créant beaucoup plus d'occasions. Mais sans marquer.


Shoot d'euphorie pour le money time

Un manque de réalisme symbolisé par Hoarau, dont on ne dira jamais assez qu'il manque cruellement d'agressivité devant le but. Comme sur le centre en retrait d'Erding sur lequel il ne rentre pas assez dans le ballon. Et puis bon, quand Edel n'est pas là, Coupet prend le relais. Alors OK, le coup-franc d'Obraniak épouse une trajectoire parfaite. Mais je suis désolé : à ce niveau-là et dans cet angle, le gardien parisien n'a pas le droit de l'encaisser.

Et juste après ça, il se permet de sortir en retard et de provoquer un péno flagrant, heureusement mal tiré par Debuchy. Eh oui, cette saison les maux du PSG étaient bien là, aux deux extrémités du terrain : ses deux avant-centres et ses deux gardiens l'ont plombé. Parce que le reste de l'équipe est très correct par ailleurs. Paris arrivera-t-il à se relever de cette désillusion pour aller chercher la troisième place synonyme de Ligue des Champions ?

De leur côté, les Lillois peuvent savourer ce succès historique. Un premier trophée depuis 1955 (!) qui leur offre un shoot d'euphorie sans équivalent pour le money time du championnat. Et justement, ce money time démarre dès ce soir avec sept matchs de la 36e journée. Une soirée qui à mon avis, va être décisive. Si l'OM ne gagne pas à Lorient, le titre sera dans la poche pour le LOSC, qui réalisera ainsi un doublé. Remarquez, le futur champion réalisera obligatoirement un doublé puisque l'OM a gagné la Coupe de la Ligue.

Allez, à ce soir...

Pierrot

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15 mai 2011 7 15 /05 /mai /2011 07:30
Football - Coupe de France : C'est l'année de Lille..
Le LOSC a remporté la Coupe de France aux dépens du Paris-SG (1-0) grâce à un coup franc tardif d'Obraniak (89e). Le leader de la Ligue 1 est sorti vainqueur d'une finale très intense où chaque équipe a eu sa mi-temps. C'est le premier trophée des Nordistes depuis 1955. Déjà, la Coupe de France...
 


LILLE - PARIS SG : 1-0
But : Obraniak (89e)

 

Les Lillois auront attendu 89 minutes pour décrocher leur premier trophée de la saison. 89 minutes avant de voir Ludovic Obraniak, entré en jeu quelques minutes plus tôt, trouver la faille dans la défense parisienne sur un coup franc excentré qui a terminé son chemin dans la lucarne opposée de Grégory Coupet (1-0). Une belle manière de mettre un terme à une disette de 56 ans. Pour la première fois depuis 1955, les Dogues ajoutent une ligne à leur palmarès en s'offrant la Coupe de France face à des Parisiens, spécialistes de l'épreuve, qui restent à huit Coupes de France... Avec cette finale intense entre deux équipes qui ont proposé du jeu, le LOSC fait le plein de confiance pour la suite de sa saison. Tous les Lillois, rêvent maintenant de décrocher un nouveau doublé Coupe-Championnat, comme en 1946. Le leader de L1, qui compte quatre points d'avance sur Marseille, s'est donné toutes les chances pour arriver à ses fins.

 

Les Nordistes ont toutefois mis du temps avant de mettre les mains sur leur sixième Coupe de France. Parti sur un rythme très élevé, le LOSC a certes pris la direction des opérations dès les premières minutes. Le spectacle a été au rendez-vous entre deux équipes habituées à produire du jeu en L1. Et si les permutations d'Eden Hazard et de Gervinho ont déstabilisé la défense parisienne, les joueurs de la Capitale se sont procuré les meilleures occasions. Si Lille n'a pas cadré un tir en première période et a attendu la 59e minute pour trouver le cadre, Mickaël Landreau a eu du pain sur la planche. Pour son anniversaire, le portier lillois n'a pas passé une soirée de tout repos. Mais comme à son habitude, il a sorti le grand jeu pour repousser les tentatives de Nenê (18e), Guillaume Hoarau (55e) ou encore de Clément Chantôme (76e).

 

Landreau a fait le boulot pour s'offrir pour la troisième fois la doyenne des coupes après ses titres en 1999 et 2000 avec Nantes. Les entraîneurs aussi ont joué leur rôle. Voyant son équipe mal en point au début de la seconde période, Rudi Garcia a changé de tactique en lançant Tulio De Melo pour passer en 4-2-3-1. Antoine Kombouaré, qui a dû faire avec la blessure de Claude Makelele - sorti à la 48e -, a répondu en optant pour un 4-4-2 avec Melvüt Erding (70e). C'est finalement Garcia qui a gagné son pari avec ce but de Ludovic Obraniak. Avec un nouveau titre à ranger dans son armoire, Lille, qui a vu Grégory Coupet arrêter un penalty de Debuchy à la 90e, est sur un nuage. Et ne compte pas en redescendre. Le LOSC possède quatre jours pour digérer ce trophée et assurer le deuxième, en L1. Mais c’est bien le PSG qui pourrait avoir plus de mal à s'en remettre. Bordeaux se profile pourtant et l'équipe parisienne peut encore accrocher la Ligue des Champions.

Eurosport - Glenn CEILLIER
 
 
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