Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 08:14

manifestation_crs.jpg

GGRE

 

 

 c0xihav45rk2h0w55bzncvy55G326741

 

 1.) NOTRE AMI GG CATTAN A DISPARU VIRTUELLEMENT....1°) par  Somelier Richard

 

Comment a-t-on pu en arriver là.

Après la disparition de Isabelle Cohen, retrouvée avec une tarte à la main, il y a deux semaines voilà que GG disparait. Mystère et boule de gomme. Personne ne comprend ces événements, deux juifs disparaissent en si peu de temps et voilà la planète qui ne s’émeut guère. Isabelle et GG pourquoi eux… ? Afin de voir plus clair dans ce sac de nœuds, le Commissaire Boulak est rentrée en urgence des Caraibes, suite à un fax envoyé par son ministre de Tutelle, Monsieur RIGAUT, propriétaire de la Brasserie Chez RIGAUT ON RIGOLE. Un homme charmant qui joue double rôle. Costume le matin, à MATIGNON, brasseur le soir.

Tous les ministres ont double casquette non… ? Alors pourquoi pas Monsieur Rigaut.

 

Bref, les choses bougent et nos amis, une bonne centaine de compagnons CATTANAIS ont décidé de planter un piquet mais pas n’importe où, juste devant la brasserie. Histoire de montrer que les BRASSEURS ne sont pas seulement des nageurs mais aussi des HOMMES SOLIDAIRES DE LA FIN FOND DE L’ALSACE.

Notre service presse a remarque que tout cela se faisait dans une atmosphère bon enfant.

Isabelle et compagnie sont assis autour d’une table à grignoter des glibettes salées sous le regard surpris de Monsieur Rigaut. Halla, le sol a changé de décor, un surplus d’écorces de cette petite denrée rare s’est transformé en montagne à tel point que les rayons du soleil font défaut à la terrasse de ce gentil monsieur…

A Suivre…

 

2.)REPRISE.

 

Devant la brasserie de l’honorable Alain Rigaut ‘…CHEZ RIGAUT ON RIGOLE… Une centaine d’amis à GG campe devant sa terrasse.

Sur des calicots imprimés à l’effigie du grand homme GG on peut lire

 

‘…GG ON T’AIME ET SURTOUT NE TE FAIS PAS TROP LANGUIR… !’

 

Deux heures plus tard, un contingent d’amis juifs, chrétiens et musulmans venu de tout horizon  en VELIB, à pieds ou en trottinettes convergent vers la place Jules RIGAUT (Papa de notre Alain, mort en 14/ 18 en héros durant la campagne de  Verdun).

Il est venu grossir la petite foule déjà sur place. 4 heures plus tard, la place est noire de monde et les organisateurs comptent 100 000 Personnes alors que LA PP en compte Trois  cent. Toujours à la baisse.

 

Devant cet afflux de monde, Monsieur Rigaut bien généreux met tous ces employés au service de cette armée de fidèles en leur offrant des glaces dans des cornets. La foule bienveillante applaudit à ce geste et en redemande.

Monsieur Alain à court de cornets leur sert deux de  mes boules carrément aux creux des paumes.

Zab haillons et vanille. Rien que cela.

Sans se démonter, il téléphone à son ami Sarko et lui demande…

 

‘…Sarko, cher ami, je voudrais une rallonge budgétaire… !’

‘…A quel titre… ?’

‘…Au titre du bien être de mes amis manifestants… !’

 

Là Carla intervient.

 

‘…Et bien sur, vous compter sur le budget de l’état pour payer vos facéties…!’

‘…Le peuple de Paris s’en souviendra… !’ Alain.

‘…Vous me laissez de glace Madame… !Marie Antoinette pour moins que cela s’est faite décapitée… !’

‘…Je suis CARLA MOI….CARLA MOIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiIIIIIIII….Et je n’aime pas les brioches, j’aime les cordes de guitare, chanter avec ma voix... !’

‘…Votre voix ne pèsera pas lourd dans une urne… !’

 

Sarko en retrait appelle Filou, son premier ministre éjectable.

 

‘…Filou avant de disparaitre du paysage peux tu me rendre un service…,’

‘…Oui Sarko… ! De quelle importance… ?’

‘…Le ALAIN… !’

‘…Chalandon… ?’

‘…Non, celui de la brasserie, ne pourriez vous pas lui faire passer un message… ?’

‘…De quelle importance… ?’

‘…Dites lui que sa licence de BRASSEUR est arrivée à échéance.. !’

‘…Ca m’étonne de vous que vous ne soyez pas au courant, il a renouvelé hier pour 99 ans … !’

‘…Dans ce cas, j’attendrais… !’

 

Ainsi vont les choses dans le palais du ROI SOMEILLE.

 

A Suivre…

 

3.)En Amérique du SUD, à Montévidéo…. !!! Une certaine KIKI Som merville…..

 

En Amérique du SUD, à Montevideo…. !!! Une certaine KIKI Som merville…..Une bombe. Call girl dans le COCO CLUB TERMIN est filée par quatre agents du MAUSSADE tandis que la tenancière RINA  CHECCHI est mise sur écoutes téléphoniques  par les services spéciaux argentins  sur commission dérogatoire délivrée à la demande de la Juge Michelle KA.

 

Ils soupçonnent ces deux femmes d’être parties prenantes dans la disparition de GG LE CATTANAIS.

 

Autrefois, GG LE CATTANAIS travaillait comme BARMAN dans ce cabaret et il a laissé qqs ardoise.

 

A Paris, la sœur du CATTANAIS, Daisy est dans l’angoisse.

Elle se confie à notre journaliste Mon _Germain.

 

‘…Men yaich ââla khouyé (Que je ne vive après mon frère)....Hier encore, il était là a piquer dans les assiettes et à kiffer ma MAC BOUBA… ! Je lui ai fait une MLOUKHIYA MTA FARH ( un ragout noir fêteux) Et le soir, comme si j’étais MNIBIYE( inspirée) je lui ai proposée de dormir dans  la chambre de ELIE, mon fils.

Il a refusé, il n’a pas voulu nous gêner, malgré mon insistance… ! Mnih, Il est tellement gentil, chaque année il va à la GHRIBA pour déposer qqs amandes, pistaches, œufs, bougies, fekia, bref tout le bien de D IEU… ! Comment je vais faire maintenant qu’il a été kidnappé…! Si je savais je lui aurai fait une bsal ou loubia, (ragout de haricots)  il adore … ! Ahhh lé la MLOUKHIYE c’est elle la coupable… !

 

GG  YE OMRI, (mon chéri) SI TU M ENTENDS SACHE QUE DAISY TA SŒUR T’ATTENDS LES BRAS OUVERTS…! RABI LEI I NAHIC AALIYE…AMEN… !’ (Que D ieu te garde… !’)

 

A Suivre…

 

Dans le  quartier de SOHO…. !

 

 

 http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan

Partager cet article
Repost0
11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 08:20

 

  manifestation_crs.jpg

GGRE

 

 

 c0xihav45rk2h0w55bzncvy55G326741

 

 1.) NOTRE AMI GG CATTAN A DISPARU VIRTUELLEMENT....1°) par  Somelier Richard

 

Comment a-t-on pu en arriver là.

Après la disparition de Isabelle Cohen, retrouvée avec une tarte à la main, il y a deux semaines voilà que GG disparait. Mystère et boule de gomme. Personne ne comprend ces événements, deux juifs disparaissent en si peu de temps et voilà la planète qui ne s’émeut guère. Isabelle et GG pourquoi eux… ? Afin de voir plus clair dans ce sac de nœuds, le Commissaire Boulak est rentrée en urgence des Caraibes, suite à un fax envoyé par son ministre de Tutelle, Monsieur RIGAUT, propriétaire de la Brasserie Chez RIGAUT ON RIGOLE. Un homme charmant qui joue double rôle. Costume le matin, à MATIGNON, brasseur le soir.

Tous les ministres ont double casquette non… ? Alors pourquoi pas Monsieur Rigaut.

 

Bref, les choses bougent et nos amis, une bonne centaine de compagnons CATTANAIS ont décidé de planter un piquet mais pas n’importe où, juste devant la brasserie. Histoire de montrer que les BRASSEURS ne sont pas seulement des nageurs mais aussi des HOMMES SOLIDAIRES DE LA FIN FOND DE L’ALSACE.

Notre service presse a remarque que tout cela se faisait dans une atmosphère bon enfant.

Isabelle et compagnie sont assis autour d’une table à grignoter des glibettes salées sous le regard surpris de Monsieur Rigaut. Halla, le sol a changé de décor, un surplus d’écorces de cette petite denrée rare s’est transformé en montagne à tel point que les rayons du soleil font défaut à la terrasse de ce gentil monsieur…

A Suivre…

 

2.)REPRISE.

 

Devant la brasserie de l’honorable Alain Rigaut ‘…CHEZ RIGAUT ON RIGOLE… Une centaine d’amis à GG campe devant sa terrasse.

Sur des calicots imprimés à l’effigie du grand homme GG on peut lire

 

‘…GG ON T’AIME ET SURTOUT NE TE FAIS PAS TROP LANGUIR… !’

 

Deux heures plus tard, un contingent d’amis juifs, chrétiens et musulmans venu de tout horizon  en VELIB, à pieds ou en trottinettes convergent vers la place Jules RIGAUT (Papa de notre Alain, mort en 14/ 18 en héros durant la campagne de  Verdun).

Il est venu grossir la petite foule déjà sur place. 4 heures plus tard, la place est noire de monde et les organisateurs comptent 100 000 Personnes alors que LA PP en compte Trois  cent. Toujours à la baisse.

 

Devant cet afflux de monde, Monsieur Rigaut bien généreux met tous ces employés au service de cette armée de fidèles en leur offrant des glaces dans des cornets. La foule bienveillante applaudit à ce geste et en redemande.

Monsieur Alain à court de cornets leur sert deux de  mes boules carrément aux creux des paumes.

Zab haillons et vanille. Rien que cela.

Sans se démonter, il téléphone à son ami Sarko et lui demande…

 

‘…Sarko, cher ami, je voudrais une rallonge budgétaire… !’

‘…A quel titre… ?’

‘…Au titre du bien être de mes amis manifestants… !’

 

Là Carla intervient.

 

‘…Et bien sur, vous compter sur le budget de l’état pour payer vos facéties…!’

‘…Le peuple de Paris s’en souviendra… !’ Alain.

‘…Vous me laissez de glace Madame… !Marie Antoinette pour moins que cela s’est faite décapitée… !’

‘…Je suis CARLA MOI….CARLA MOIiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiIIIIIIII….Et je n’aime pas les brioches, j’aime les cordes de guitare, chanter avec ma voix... !’

‘…Votre voix ne pèsera pas lourd dans une urne… !’

 

Sarko en retrait appelle Filou, son premier ministre éjectable.

 

‘…Filou avant de disparaitre du paysage peux tu me rendre un service…,’

‘…Oui Sarko… ! De quelle importance… ?’

‘…Le ALAIN… !’

‘…Chalandon… ?’

‘…Non, celui de la brasserie, ne pourriez vous pas lui faire passer un message… ?’

‘…De quelle importance… ?’

‘…Dites lui que sa licence de BRASSEUR est arrivée à échéance.. !’

‘…Ca m’étonne de vous que vous ne soyez pas au courant, il a renouvelé hier pour 99 ans … !’

‘…Dans ce cas, j’attendrais… !’

 

Ainsi vont les choses dans le palais du ROI SOMEILLE.

 

A Suivre…

 

3.)En Amérique du SUD, à Montévidéo…. !!! Une certaine KIKI Som merville…..

 

En Amérique du SUD, à Montevideo…. !!! Une certaine KIKI Som merville…..Une bombe. Call girl dans le COCO CLUB TERMIN est filée par quatre agents du MAUSSADE tandis que la tenancière RINA  CHECCHI est mise sur écoutes téléphoniques  par les services spéciaux argentins  sur commission dérogatoire délivrée à la demande de la Juge Michelle KA.

 

Ils soupçonnent ces deux femmes d’être parties prenantes dans la disparition de GG LE CATTANAIS.

 

Autrefois, GG LE CATTANAIS travaillait comme BARMAN dans ce cabaret et il a laissé qqs ardoise.

 

A Paris, la sœur du CATTANAIS, Daisy est dans l’angoisse.

Elle se confie à notre journaliste Mon _Germain.

 

‘…Men yaich ââla khouyé (Que je ne vive après mon frère)....Hier encore, il était là a piquer dans les assiettes et à kiffer ma MAC BOUBA… ! Je lui ai fait une MLOUKHIYA MTA FARH ( un ragout noir fêteux) Et le soir, comme si j’étais MNIBIYE( inspirée) je lui ai proposée de dormir dans  la chambre de ELIE, mon fils.

Il a refusé, il n’a pas voulu nous gêner, malgré mon insistance… ! Mnih, Il est tellement gentil, chaque année il va à la GHRIBA pour déposer qqs amandes, pistaches, œufs, bougies, fekia, bref tout le bien de D IEU… ! Comment je vais faire maintenant qu’il a été kidnappé…! Si je savais je lui aurai fait une bsal ou loubia, (ragout de haricots)  il adore … ! Ahhh lé la MLOUKHIYE c’est elle la coupable… !

 

GG  YE OMRI, (mon chéri) SI TU M ENTENDS SACHE QUE DAISY TA SŒUR T’ATTENDS LES BRAS OUVERTS…! RABI LEI I NAHIC AALIYE…AMEN… !’ (Que D ieu te garde… !’)

 

A Suivre…

 

Dans le  quartier de SOHO…. !

 

 

 http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 12:19

 

bxl_charbonnier.gif

 

Situé entre l’avenue  Pasteur et la rue la rue Capitaine Bourdonneau, coincé entre la rue Hamouda Pacha et la Rue Rabbi Rahmine Chmila, ce lieu était aussi appelle le TERRAIN DU FAHEM. Un commerçant de charbon avait pignon (sur le dessin, son emplacement est marqué par un 4).

 

Sur sa partie donnant sur la rue Hamouda Pacha, il y avait quatre familles, trois juives et une musulmane, qui y habitaient.

Leur logis donnait aussi bien sur le terrain que sur la rue.

 

Il y avait les Chmila( aucun rapport avec le nom du rabbin) ensuite Mahmoud, le peintre à l’occasion, éleveur de poules, de coq, pigeons et légumes, il avait érigé une clôture  et s’était approprié une dizaine d’ares pour ce faire. Sa famille était nombreuse et souvent il nous confisquait le ballon de foot, toutes les fois que ce dernier tombait dans son Mahmoud-Land.

 

Dans sa partie Nord, marquée par le chiffre 1 vivait une famille nombreuse et indigente dont le nom m’échappe.  Le papa était menuisier, le fils aîné Yacoub surnommé l’homme des BOIS vit en Israël en ce moment.

Ses sœurs à Paris.

 

Il était connu pour son gros  pouce aussi épais qu’une base de marteau.

La légende voulait  qu’il aida son papa à clouer les planches  avec son gros pouce.

Dés sa naissance.

 

 La maison était scindée en deux parties ; une partie pour  l’atelier, un baraquement et l’autre en deux chambres construites en dur. Elle n’avait pas le tout à l’égout donc tout était rejeté en plein air à quelques mètres du fameux terrain de volley.  Le maître du logis avait creusé une tranchée et les eaux polluées venaient sécher à tous les soleils.

 

Je vous laisse deviner de la puanteur qui s’en dégageait.

 

Le terrain en question avait une longueur d’environ 70 mètres sur 60 de large. Son sol était noir d’où son nom.

Deux générations de pieds de goulettois ont joue la dessus toutes sortes de jeux de saison.

 

Toupie, jeux de bille, chariot  (Un planche avec quatre roulements et un guidon, le tout confectionné d’une façon artisanale.)  Un ami avait pour tache de pousser par les épaules celui qui était assis et vice versa, chacun à son tour.

 

Le jeu des noyaux( premier prend tout) celui des tire boulettes, de la sarbacane,  le temps des arcs et des flèches, celui des images qui consistait à deviner le sujet caché entre les paumes de la main de son ami, celui des billes ( gazeuses) et des bisse- voleurs.

Un stratagème pour voler la bille du copain. Mais souvent l’astuce était découverte.

Les cerceaux (squelette de roue de vieux vélos) ont aussi laissé leurs empreintes. Ceux qui n’ont avait pas, utilisaient un vieux pneu ou carrément une chambre à air, rafistolée, de voitures ou de camions qu’il poussait de par-devant. En été, elle servait de bouée de sauvetage ou tout simplement de bouée tout court. Lorsque les rues de la Goulette étaient inondées, certains ploucs, en mal d’amusement, circulaient ainsi comme naviguent les gondoles dans  les ruelles de Venise.

 

Bref, le terrain du charbonnier était aussi connu pour être le terrain officiel de VOLLEY BALL. Tout un art pour ceux qui comme moi ai fais mes premiers pas dans le sport.

 

Il y avait  deux poteaux qui se faisaient face, mais que les responsables retiraient après les confrontations du dimanche ou du samedi après midi. Le  filet qui n’était jamais à la bonne hauteur (2,43).

 

Les limites  (9X9) étaient marquées par un tracé à la chaux.

 

 Le préposé au marquage  à chaux se servait d’un appareil composé comme suit ; d’un guidon soudé à une flèche  qui se terminait en fourche. A son extrémité une grande et assez large roue, environ 60 cm de diamètre sur 10 cm d’épaisseur, qui contenait la chaux. Une petite ouverture permettait d’y introduire la précieuse ‘denrée’.

La roue   tournait sur un axe retenu pas  un gros boulon.

A mesure que le préposé poussait devant lui cette circonférence, la chaux s’écoulait lentement en suivant l’ancien marquage. Mais avant, il fallait mouiller le terrain afin que la chaux puisse s’imprégner sur le sol dur. Il arrivait que le marquage se répète une seconde fois si la partie devait se prolonger au delà des quatre manches.

 

Anecdotes de la mauvaise foi goulettoise.

 

-Nous étions réputès comme étant une équipe qui ne voulait jamais perdre.

Les arbitres le savaient et comme nous n’étions pas des anges bien nès, toutes sortes de

miséres leur étaient consacrèes. Gifles, coups de pieds aux fesses, crachats,

blasphémes, poursuite jusqu’au TGM, jets de pierres, toute la panoplie de menaces

dont nous avions le secret.

Il arrivait parfois par manque de joueurs,  que notre coach nous ordonnait la veille

d’un match important, d’innonder le terrain d’excréments prelevés de la fameuse tranchèe.

Et le lendemain, l’arbitre, constatant de l’inutilsation du terrain de jeu, repportait

la partie pour la semaine d’après.

Ce qui voulait dire que nous étions capables de chambouler le calendrier de toutes

les futures rencontres  de la FTVB qui croulait sous les matches à reporter de notre séction.

 

Aucun des joueurs ne portait le même maillot. Plus encore les numéros étaient

marquès par du charbon sur les Marcel  blancs faute de tenue adéquate.

On jouait le plus souvent pieds nus, les fly-foot ( basket’s aujourd’hui) ne nous

convenaient pas.

 

-Un jour, un arbitre mesurant le terrain après le match, s’est rendu

compte qu’il manquait un métre de notre cotè, après le second marquage.

Ce qui désavantageait la partie adverse qui voyait toutes ses balles frappèes ‘OUT’.

Nous étions à la 5 iéme et dérnière manche. Nous l’avions remportèe ainsi en retrécissant

notre aire de jeu.

 

-A l’appel des joueurs par l’arbitre des rentrants sur le terrain, ce dernier  s’aperçut que

l’un d’entre eux n’avait pas de licence, notre coach, pour sauver la face, lui

réplique ‘..LICENCE DEPOSEE...!’.

 Une invention que l’arbitre n’eut aucune peine à consigner sans celà, son sifflet

se serait retrouvè  coincè dans son larinx. Surtout que 50 compagnons d’arme l’entourait.

 

-Le collectionneur de poules, de coqs et de pigeons SI MAHMOUD a dû se résigner

de ne plus nous emmerder suite à la disparition en une nuit de toutes ses pastèques

et melons.

 Nous lui avons assuré que nous n’étions pas au courant de cette tragique et

mystérieuse dispartion et que c’étaient surement ces  poules et autres plumès qui ont

commis le forfait.

Or, nous répondit  t’il avec surprise, que ses volatiles, bien éduquès commes ses

filles,  étaient encagès durant toute la nuit. Là, on n’a rien dit, sauf que si les

coqs etc....n’étaient pas coupables, il fallait croire que nous étions les mafieux qui 

avons procédè intelligement et sans bavure à l’assassinat en bonnet régle

de ces curcubacées.

Depuis, SI MAHMOUD n’osait plus nous réquisionner le ballon.

 

-Juste en face du terrain, la fille ainèe Chmila, Claudine, une fille de réve, aimait étendre

son linge sous nos yeux. Et dés qu’elle se baissait pour saisir une lingette, on

s’étalait par terre comme des sioux pour admirer son beau cul.

 

-Un jour, YACOUB, où l”homme des BOIS,  au gros pouce, était invitè à un anniversaire.

A sa maman bien surprise de voir  son fils s’habiller avec gôut, il répliqua qu’il allait danser.

Sa grand-mere prit au vol sa réponse et lui lança à l’avenant  ‘...Yekhir enti

saroualeq menqoub ou thab temchi tesstah BOUGUI BOUGUI....!’

( Mais enfin, ton pantalon est rapièécè et tu veux aller danser le BOWGIE BOWGIE....!!!!’

 

-Par la suite, le terrain de VOLLEY se transforma en terrain de HAND, et quelques

annèes plus tard, il ne servait plus à rien suite à la constructuon d’un terrain plus

adaptè dérrière ce qui s’appellait la            SALLE LAMBERT. Un terrain qui jouxtait

deux terrains de tennis et qui accottait la Municipalitè.

 

Ironie du sort, sur ce terrain noir, trois villas furent construites et curienx hasard,

j’ai habitè la villa centrale le jour où je me suis mariè.

J’ai donc remis les pieds à l’age de 30 ans sur ce qui fut mon terrain de prédiléction

et  d’apprentissage  de tous les jeux et vices.

 

ANECDOTES PERSONNELLES.

 

-Maman m’appelait de notre balcon lorsque je tardais trop dans la rue.



http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan

Partager cet article
Repost0
7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 20:45

 

EL CHARRA.

 

LA RUE, CETTE ECOLE.

 ecole%20ancienne

 

visconti renejacques 1939.11802645923521383413890.jpg

 

Si l’école m’a instruit jusqu’à l’âge de la préretraite J J J, la rue m’a beaucoup appris dans ma jeunesse et adolescence.

On ne trouve pas dans les bouquins d’histoire, des histoires à la gloire des rues.

Et portant. Chaque rue à une histoire dans ma ville natale.

Je suis à même de raconter chaque événement important ou désuet des rues de mon patelin parce que chacune d’elles m’a donné quelque chose et surtout elles m’ont appris à partager, à me faire des amis, à jouer autant de jeux que nous avons et inventons à chaque saison. Elles m’ont appris le courage. Le gout du risque. Elles m’ont appris à me battre. Elles m’ont données cette liberté qui a fait de moi un enfant de la RUE.

Pourtant la rue est dangereuse.

Avec ses risques, ces bagarres qui pouvaient tourner aux drames, ces accidents, ces mauvaises rencontres.

La rue est pleine de tentations et s’y on n’y prend pas garde, elle peut vous détruire. Vous menez en tôle.

La rue fait la renommée.

On vous traite de voyou si vos fréquentations sont mauvaises.

Ou alors elle catalogue de mauvaise vie.des jeunes filles innocentes.

Une jeune fille marchant avec un simple ami et voilà la rumeur qui nait.

Deux amis qui marchent souvent ensemble et voilà la rumeur qui enfle.

La rue est destructrice.

La rue c’est comme un miroir où tout un chacun toise l’autre et porte un jugement sur autrui.

C’est un peu comme un café où tout le monde vient s’abreuver de cancans, faire son stock de médisances. Remettre ses fiches à jour. Cataloguer de braves gens pour n’importe quoi.

Jalouser l’autre et surtout jouir en secret du malheur du voisin parce que voyez vous, en ce temps là, personne ne remarquait sa bosse. Ils étaient tous blancs bleus, normaux et sans handicaps. Mais jamais noirs ou gris. Surtout dans ces cafés de petites villes où tout se sait et rien ne se cache.

Mes rues ont été pour moi des havres de joie et de bonheur à la Goulette.

Emprisonné pendant 3 ans dans un ‘SENDOUQ’ (Caisse en bois, mon youpalla immobile, mon parc de misère).

J’ai eu la chance d’en sortir 4 ans plus tard, libre mais en tenant la main de ma mère qui m’accompagnait à l’école. Et c’est à partir de cet âge que la rue s’est ouverte à moi. Belle, grande, immense, bruyante, fleurie, chahutant, mystérieuse avec ses impasses, ses coins et recoins et ses couloirs d’immeubles qui avaient souvent deux issues. Une sur rue, l’autre sur la plage.

La rue m’a appris la ruse. Les caractères des gens. De découvrir des visages sincères, hypocrites, ignobles, des comédiens, des charlatans, des saltimbanques, des musiciens, des vendeurs ambulants, des commerces tenus par des communautés diverses, des gens méchants aussi.

La rue m’a appris à faire des choix ; à séparer le bon grain de l’ivraie. La rue m’a appris à me cacher. A me découvrir vis-à-vis des autres car la rue fait la réputation.

La rue m’a offert l’occasion d’être inviter dans des maisons qui ressemblaient presque toutes à la mienne. Elles avaient toutes une porte qui donnait sur la rue.

La rue a émoustillé mon odorat. Les odeurs de cuisine qui s’échappaient par les fenêtres et les ouvertures parfumaient l’air de la rue.

Les prières me parvenaient par la rue, les querelles entre mari et femme, les enfants qui pleuraient. Les insultes et les blasphèmes qui tombaient drus des premiers étages. Des râles de mourants, des hurlements d’horreur, des gémissements de famille en deuil.

Des fêtes religieuses et des enterrements de toutes sortes.

Des rires aussi. Et surtout.

Elle m’a fait aussi découvrir certains corps de jeunes filles surprises dans leur nudité par un volet ma fermé.

Elle m’a fait entendre de la musique.

La rue m’a donné cette formidable occasion d’être à mon âge un homme averti.

De faire la part des choses et surtout, la rue m’a donnée le sens du partage et l’amour des filles. Généreuse ??? La rue l’est.

Elle m’a donné l’occasion de sentir la chaleur d’un premier baiser échangé le cœur battant avec ma première girl friend. ‘...Comment oublier mes rues... ?’

Elle a su m’apprivoiser. Provoquer en moi des désirs, des envies.

Elle a su me faire respecter les anciens.

Ma grand mère Meiha z’a me disait ‘...Obyad mel louled l’ahram...’ Evite les enfants du péché...!’ Sous entendus les Voyous. Il y avait de ces jeunes gens, rares heureusement il est vrai, non pas nés du pèche mais porteurs de vices de toutes sortes.

Oui, je me souviens de ma rue Pasteur.

Là où j’habitais avec candeur et chaleur.

De la rue Hamouda Pacha,

Puis renommée Cheikh Albelaziz Thalbi

Elle aussi restée encore dans mon qalbi. (Mon cœur).

J’en garde les clés ye si El Becha.

Pas loin la rue du Colonel Bourdenneau

J’ai les oreilles qui bourdonnent

Par tant des souvenirs heureux.

Rue Rebbi Rahmine Chmila,

Pas loin de mes voisins Smilla,

Et la rue de Bourgogne et voilà cela ma rappelle la France.

Rue Chadly Kaznadar,

A quelques mètres de mon DAR (Maison).

Ma syna, ma yechiva mon sacré lieu de torah.

Et cette rue de Marseille,

Qui me guidait vers le canal.

Avenue Cardinal Lavigerie

Me voilà chez les italiens.

Et sur la grande avenue Franklin Roosevelt,

Je croisais Pierre, Tilda ou Tchicho le svelte

Sans oublier Ahmed, Noura, Frej et mon cinéma Rex.

Et enfin la Rue du Limousin.

Et voilà la fin de mon refrain.

Sous les ponts de la Goulette

Les rues se reflétaient comme se reflète

Ma vie sur la surface de mon onde pure.

 


http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan

Partager cet article
Repost0
7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 00:32

Le fils du KIF s’appelle KIFON….La sœur…..KIFONNE…OU KIFETTE…

 

 h-20-1584428-1245400918.jpg

 

 

msoki.JPG

 

De Temps à autre, un kif vient me surprendre et me rappelle soit  un plaisir de BOUCHE  dans un situation bien précise,  soit un bout de  farniente ou d’occupation…

 

Autrefois je kiffais sur mon métier…Aujourd’hui je kiffe doublement ; le parfum des femmes y est pour qq chose sûrement.

 

Mais ce n’est pas de cela que je vais vous entretenir mais de plaisir de la….Bouche…

Du plat et oui celui qui régale nos soirée de Pâques……Vous avez deviné puisque vous êtes tous des Hakhamim en culotte reprisée….Allez ne prenez pas la mouche, on pardonne tout au fedleg….C’est mon kif…..

 

Et bien figurez vous, j’a triplement apprécie la semaine dernière le bon  MSOKI fait maison par les doigts de fée de ma chère épouse....Hors-Paques…Hors-Saison mais avec légumes de saison…..Même la fumée était de son temps….d’autant que le temps s’y prêtait pour déguster cette jardinière où les févettes, les carrées de carotte, de petits pois etc…bref…

 

Cogitaient dans cette COCOTTE MINUTE chère à mon amie Michka, grande conseillère dans la MKHALTA…. J J J Ajoutez à cela un bon morceau d’épaule ou de muscle et il y a de quoi kiffer pendant une semaine.

 

Je suis au régime donc mis aux soupes de légumes d’où l’idée géniale de ma moitié pour satisfaire son autre moitié….Deux louches n’ont pas suffit à me repaître. …Une troisième louche ajoutée en cachette de la surveillante,  a fait déborder mon assiette……

Plus deux galettes et j’ai du essuyer le sol par le débordement provoqué…

Mon plat servi,  je kiffais encore plus en lorgnant sur le petit écran…Je porte une bonne cuillère remplie à raz le bord là juste entre mes deux lèvres…

 

Je goûtais enfin,  en tricot et culotte manche courte, ce délicieux mélange en solitaire, loin de ma compagne, et de la campagne car il était Minuit quand je m’y suis mis.

 

Un kif de savourer dans sa solitude cette MELASSE moelleuse, fondante, salée à point au point que profitant du sommeil de mon épouse, je versais tout le contenu de LA KASSDRA (marmite) dans mon plat creux, assouvissant ainsi une bonne MITSVAT….Exquis ces petits pois et carotte…..Je ‘ n’irvanais’ quand soudain, le nez dans le plat, ma femme je vis surgir l’ombre féline de mon épouse, elle se leva sans me demander ma permission…..

 

Comme on dit ‘…Tnè…’ . J’adoptais  un profil bas surtout qu’elle me dit….

 

‘…Tu as laisse un peu pour ta fille…. ? Pour demain… !’

 

‘…Oui…. !’ Lui dis avec assurance  remplie de crainte….Elle alla contrôler la bassine de MSOKI…..Elle revint, déçue,  en me disant…’…Tu viens de manger 3 kilos de légumes…. !’

 

Merde quelle salade…..

 

http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan

 

 

 

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2010 2 05 /10 /octobre /2010 08:01

  

garcon-et-fille-285x300.jpg

 

AVANT PREMIER '

...KHANA ET OTTO'...DISTRIBUTION DES ROLES ET AVANT PROPOS ET DEBUT. par Somelier Richard  

 

LE RÉCIT

 

KHANA ET OTTO....

 

Dans KHANA ET OTTO, ou le destin de deux jeunes enfants que la guerre a prit comme otages.

 

La guerre qui détruit le destin des hommes et raccourcie la vie. La guerre la moche, la laide, qui laisse derrière elle malheurs et destructions. Destructions des âmes, morts et désolations. Voilà que dans l'enfer de BERLIN, dans ce déluge de feu,une jeune fille KHANA STEINBERG surprise par l'arrivée des allemands, des nazis, de la gestapo voit toute sa famille embarquée alors qu'elle allait chercher du vin pour sa grande et honorable famille.

Son seul tort est d'être juive.

 

Khana apeurée va se réfugier dans la cave à vin de son papa. Voilà que contre toute attente, un jeune allemand âgée de 6 ans, Otto, échappant par miracle à ces bombardements par les alliés, trouve lui aussi refuge dans cette même cave.

C'est la triste histoire d'une rencontre fortuite entre une jeune fille juive de 11 ans et un jeune garçon allemand catholique, dans un espace réduit et dans des conditions de souffrance.

Un amour va naitre, un amour qui ne dit pas son nom entre deux frêles jeunes enfants, pour qui le mot amour ne veut rien dire encore.

On y trouvera dans ce récit tous les ingrédients voulus qui tiendront en haleine le lecteur. La peur, le courage, la fraternité, le sens du partage dans des heures difficiles, la survie, la séparation, la libération, la fin du cauchemar et enfin l'amour.

 

Dans les rôles de...

Khana Steinberg…..La fille des Steinberg. 10 ans. Michka.

Hans, Gurt, Willy ses frères……….18 ans, 14 ans, Willy 4 ans. Zarka, Addine et Rigaut.

Reinhard Steinberg…..Le père déporté. JEAN TAIEB.

Olga Steinberg…..La maman déportée. ALINE RIVKA SCEMAMA.

Isaac Steinberg…..Le grand-père paternel déporté. ALDO FELENI.

Octave Steinberg…..Le grand-père maternel déporté. JOSEPH CETALDI.

Otto Pimenger…..Le jeune garçon, ami de Khana. GEORGES BOUBLIL.

Eva Simpson...............La seconde assistance anglaise. MaYte. David Rosenberg…..

L’avocat juif. PHILIPE CARON.

Burst Holkoze.........Le doyen du barreau de Fribourg. PHILIPE LORE.

RAYMOND DE TOULOUSE Le Rav de Fribourg.

Rappe l historique. Source Google.

Willy Brant chancelier. 1969.

La guerre de Viêt-Nam. 1959/1975.

La nuit de Cristal du 9/11/38 au 10/11/38.

Fin de la seconde guerre mondiale en Europe 1945.

Entrée des forces américaines, anglaises et françaises dans Berlin en Juillet 45.

Tous les événements narrés dans cette nouvelle sont imaginaires et ne se rapportent à aucun fait réel connu ou déjà relaté. Les noms et prénoms sont fictifs ainsi que les lieux.

Acte I. Scène I.

 

A CHEM. KHANA ET OTTO.

‘...Khana est aux petits soins envers son jeune compagnon Otto...!’

1945 à Berlin. La fin de la guerre approche.

Dans Berlin dévasté par les bombes, Khana et Otto, debout sur la pointe des pieds et s’agrippant au rebord du vasistas, regardaient par le vasistas du soupirail de la cave, les derniers allemands fuirent en débandade cette ville maudite à l’approche des allies.

Ils voyaient de quelle façon, les ‘bochs’, comme les appelaient les français, se débarrasser de leurs armes et uniformes pour se vêtir de vêtements civils pour sauver leur peau à l’approche des forces alliés, et se fondre ainsi parmi ce qui restait de cette population misérable berlinoise.

Ils ont vu, par cette ouverture étriquée à quelle allure leur ville s’est transformée en un vaste champ de ruines fumantes durant ses dernières mois de guerre les bombardements quotidiens.

Ivre de malheur, elle offrait un décor apocalyptique comme sur un plateau scénique pivotant où se jouent des tragédies japonaises, ces ‘Nô’. Ces immeubles éventrés rasés et réduits en des tas de pierrailles, si ce n’est en poussière. Ils présentaient au ciel obscur, le dernier acte de la fin d’un règne sanglant où l’on aurait pu voir les 4 Cavaliers de l’Apocalypse semer terreur, effroi et mort.

Khana et Otto, durant des mois et des mois supportaient mal l’odeur acre des émanations d’obus, les bruits infernaux et incessants de ces vrombissements de bombardiers qui s’acharnaient sur leur ville, capitale du Reich. Elle tombait en lambeaux sous leurs yeux. Cette ville enfer qui allait chuter comme une pomme pourrie dans un moment ou à un autre bien lasse de supporter les coups de boutoir de ces milliers de bombes qui transperçaient ses entrailles de jour comme de nuit.

Khana et Otto étaient sans doute les quelques derniers témoins oculaires de ce grand bourg où malheurs, tragédies et désolations consumaient son faste d’antan.

Khana avait 10 ans, lorsque par un soir morne, les nazis de la gestapo font irruption dans sa famille semant le désarroi et la frayeur.

Son père Reinhard était marchand d’art. Il possédait une grande galerie de peintures située sur la célèbre avenue Oberschtrass 117.

A suivre.

 

http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan

 

 

 

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2010 1 04 /10 /octobre /2010 19:34

 

Lettre de Mme la Marquise de Grignan ( fille de la Marquise de Sévigné )

 

Lettre de Mme la Marquise de Grignan (Authentique)

Oh qu'en termes galants ces choses là sont dites... Voilà enfin retrouvée une de ces lettres tant recherchées... Si nous avons pratiquement toute la correspondance de la Marquise de Sévigné vers sa fille, personne jusqu'à présent n'avait pu mettre la main sur la correspondance inverse : celle de sa fille (qui devint marquise de Grignan) vers sa mère, mais qui avant cela, comme toutes les jeunes filles dût faire son éducation sentimentale....

Ah ! vous dirais-je Maman

A quoi nous passons le temps

Avec mon cousin Eugène?

Sachez que ce phénomène

Nous a inventé un jeu

Auquel nous jouons tous les deux.

 

‘ …Ah ye MaAAAAA, é’ch méch nah’qilec...

Äl ouakt e’li nââ’diou Eugéniou ou é’ne… ?

Taref é’li él  fénoméne édé tâ’lââ  lâ’bé

Oue’hné nel’ ââbou bié.

 

Il m'emmène dans le bois

Et me dit: "déshabille-toi "

.. Quand je suis nue tout entière,

Il me fait coucher par terre,

Et de peur que je n'aie froid

Il vient se coucher sur moi.

 

‘…Yez’ni fél ghé’bé

Ou i colli ‘…Ââri rou’héc… !’

Ou kif é’ne ââ’riénè

I taouélni foc él ard

Oué’ni bél khouf ou bél bard

I ji yen’séb ââliye.

 

Puis il me dit d'un ton doux:

"Écarte bien tes genoux

" Et la chose va vous faire rire

 

‘…Bââd i qoli bél sawt él hé’di

Hal fraydatèc…!

Ouel haja teoua dah’qec.

 

Il embrasse ma tirelire

Oh ! vous conviendrez, Maman,

Qu'il a des idées vraiment....

 

I bouch  saksakac’ti

Ou taref yé Maaaa

E’li âândou fec’ret beyin… !

 

Puis il sort, je ne sais d'où,

Un petit animal très doux,

Une espèce de rat sans pattes

Qu'il me donne et que je flatte.

Oh ! le joli petit rat !

D'ailleurs il vous le montrera.

 

‘…Ou bââd, i khé’rej mé naref min

Haje hloué, kif eï’che mesrara,

Ha’je kif zar’bou mé’ghir saqin.

Ou yat’tiouli ou é’ne en cadrou

‘…OOOOuuu  Mehlé el ZARBOUuuu….. !’

Ou tahbt en coloc i ji nââr i waroui’lec.

 

Et c'est juste à ce moment

Que le jeu commence vraiment.

Eugène prend sa petite bête

Et la fourre dans une cachette

Qu'il a trouvée, le farceur,

Où vous situez mon honneur...

 

Ou féc él ouakt eh’de

El lââb yeb’da sahih

Eugénou yé’khed él ei’ché

Ou i hatalli fél mes’couca

E’li  lca’a, él fedleg’ji

Fél noc’ba mta  ounouri.

( Zaboura)

 

Mais ce petit rat curieux,

Très souvent devient furieux.

Voilà qu'il sort et qu'il rentre,

Et qu'il me court dans le ventre.

Mon cousin a bien du mal à calmer son animal.

Complètement essoufflé,

Il essaye de le rattraper.

Moi je rie à perdre haleine

Devant les efforts d'Eugène.

 

Si vous étiez là Maman, Vous ririez pareillement.

 

Mé’lè él zarbou megh’roum

Yeb’ca é’yej

Ou yet’khel ou yekh’rej

Yej’ri fouc joufi.

EugéniooUU mesquine

Ma'dassar  mei i né’jem’ch i sabar zar'‘bouyou.

Bélli ne’yekh, I hab yej’ri oura

Oué’ne ned’hak bdmou’yi

Béch net fer’fet.

Bél couah éli  I had fi

 

Ahhhhh ye MAMA loucen jit fi blasti

Tmout bel’dahk.

 


http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2010 1 04 /10 /octobre /2010 17:50

Monsieur Germain chroniqueur à la TRIBUNE JUIVE.

 

AM.jpg

 

Mesdames, Messieurs, Mesdemoiselles et alliés, j’ai le plaisir de vous narrer la soirée de la remise des Oscars. Je vous rappelle que ces remises de récompense sont attribuées aux artistes acteurs qui ont, malgré leurs lourdes charges, pu se libérer pour donner un peu de leur temps à la production.

Cette remise des OSCARS, placée sous le HAUT PATRONNAGE DE FACE BOOK et rehaussée par la présence de Monsieur CLAUDE SITBON, fut couronnée pas un immense et vif succès tant par sa CONVIVIALITE que par sa simplicité.

 

Une ambiance exceptionnelle régnait dans la salle.

 

Le silence s’imposa lorsque Monsieur CLAUDE SITBON en costume pincée pris le micro pour annoncer le commencement de la cérémonie.

‘…C’est avec un grand plaisir mêlée d’émotion que je vais désigner les acteurs et actrices qui ont été nominés pour recevoir les OSCARS au vue de leur participation active dans le FILM CULTE ‘… La DISPARITION VIRTUELLE DE ISABELLE COHEN… ! Sans plus tarder, j’appelle Monsieur….’

Citer tout ce beau monde prendrait du temps, cependant Madame Luna reçue le BISTROT D’OR, Sylvana, l’OSCAR BECHAMEL, Aldo l’OSCAR SICILIA etc….Bref tous furent récompensés et heureux.

Cependant qqs incidents mineurs se sont produits comme celui de Madame Sylvana qui au micro et bien à l’aise…

‘…Je…Je…Je ne sais que dire…. ! C’est mon ange gardien qui veille sur moi… ! ‘

Emue, elle commence à pleurer. On l’a sentait fiévreuse à un tel point que, par la chaleur de ses mains, la statuette d’OR commença à fondre lentement. Une demi-heure plus tard, alors qu’elle prenait l’allée pour regagner sa place, la statue dégoulinait et lorsqu’elle se fut assise, il ne restait plus rien de l’OSCAR…Ce qui a fait dire à son voisin ALDO…

‘…Tou a les doigts dorés… !’

‘…Où est passé ma statue… ?’

‘…Elle a fondu… !’

 

Elle se remet à pleurer tant et si bien qu’elle se retrouva assise par terre, le fauteuil aussi avait fondu par l’émotion. Baignant dans une mare de larmes.

On retiendra aussi la prestation de Isabelle Cohen…

‘…Que dire…SNIF….SNIF…SNIF….Je suis toute chamboulée avec ce dos au mur…SNIF…SNIF…SNIF…Que du bonheur…SNIF…SNIF…SNIF…. !

A force de SNIF on entendit Monsieur SOMELIER…

‘…YEZZIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII MEL SNIFFER RABEC…!’ (Juron)

On lui apporta un sceau d’eau pour recueillir ses larmes. D’ailleurs, il fut mit aux enchères publiques qqs semaines plus tard à la salle DOUROU… !’

Ce fut au tour de Pierre Boc le PROCUREUR. A son nom il se leva humble et droit comme une canne à sucre et prit l’allée centrale recouverte d’un tapis rouge.

 

Il avançait sur de lui, avec sa bouteille de BOUKHA, dans la poche arrière de son pantalon.

Là, notre ISABELLE lui fait un croc en jambe et voilà notre OSCARIEN à terre, à fumer la moquette et de plus sa bouteille se brisa et la BOUKHA se répandit dans sa culotte.

‘…Che fic, pour ta tronche… !’ Lui répondit Isa d’un air goguenard.

Lorsqu’il arriva enfin sur la scène.

‘…Vous avez l’air enivré Monsieur BOC… ! Vous sentez la BOUKHA… !’ Lui dit gentiment Monsieur Claude.

 

On vit aussi Michélle Ka habillé en top modèle monter avec un grand cadre.

‘…Le VOILA L’OMBRE…SUIVEZ LE… !’ Tout le monde se retourna et là ils virent rentrer celui qui avait

Avait comme nom d’acteur LA BOMBA (Freddy Galula). Au moment même où il rentrait, l’aboyeur de service lança un ‘…LA BOMBAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… !’ Et là ce fut le sauve qui peut.

Où l’on voit Isabelle Cohen s’accrocher aux lustres par la FEJYA, Eden qui passe dessus les têtes de ses amis en disant ‘…RABI YOSTOR…RABI YOSTOR… !’ Michelle Ka tenant son cadre enjamber les haies de fauteuil comme dans un STREAP CHAISE du genre STEEPLE, Joseph qui sort ses ROLLERS,

 

SYLVANA à genoux invoquant SŒUR ANNE, Anna Luna agrippée à SOMELIER ‘…MAIS LÂCHE MOI LA JAMBE ENFIN… !’ ‘…Non… !’ Qu’elle lui dit, tant et si bien que SOMELIER se retrouve en culotte à petits pois, Monsieur CARON assis et digne fumant le cigare et Monsieur RIGAUD lui dire ‘…TU VEUX ALLUMER LA MECHE… ?’ Une grande TAKHBILA…. ! Brigitte BOKOBZA hurlant ‘…YECOUALIC RABI YE SOMELIER… !’ Isabelle tenant la blouse noire et disant à Pierre BOC dans sa tenue de PROC…’…TU ME PROVOQUES LA… !’

 

Et le voilà là trainer jusqu’à la porte de sortie. ‘…NE ME REFAIT PLUS LE COUP DU PANTALON…’ Qu’il lui dit, une fois sauvé et notre CLAUDE SITBON digne et impassible qui, sur scène, micro en main aura le dernier mot de la fin ‘…FINALEMENT… ! Ce PHÉNOMÈNE DE SOMELIER IL NEST PAS FOU D’APRES VOUS… !’

 

‘…Sans doute Monsieur Claude mais vous savez là où il y a un attroupement de JUIFS on suppose une BOMBE… !’

 

Voilà c’était FEERIQUE ET SURTOUT CONVIVIALE. Et c’est dans ses moments là, que c’est le CHACUN POUR SOI ET D IEU POUR TOUS… !’ Une vraie amitié.

 


http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan

 

 

 

Partager cet article
Repost0
4 octobre 2010 1 04 /10 /octobre /2010 10:01

Il est 14 HEURES 25 lorsque le FALCONE du CAPO DEL CAPO atterrit  à VILLA COUBLAY.

 

Immédiatement, un contingent de CRS cerne l’avion tandis que quatre limousines stationnent à coté de l’appareil.

 9vyttd4zp3qanlrv3gio4ga55L960621.jpg

 4pkzwct55qbformyonakb2545I251846

 

 

YES_TE-12.GIF

 

 

 Le premier à descendre la passerelle est RICARDO, lunettes noires, teint mat, chauve, costume noire,  suivi par ses gardes du corps. Tous de la même tenue.

 

Ils s’engouffrent dans les voitures et toutes sirènes hurlantes sortent de la zone militaire  de l’aéroport.

 

 

 

-        Monsieur Boulac, le loup est dans le bergerie… !’ Mâârek dit la BASCULE.

 

-        Merci Albert, le piège est mit en place… !’ Jean François.

 

Les voitures rentrent dans Paris au bout d’une demi -heure. Elles s’engagent dans le périphérique intérieur.

 

Derrière elles, quatre voitures banalisées, six motards, trois halftracks, deux ambulances, un hélicoptère, un sous marin le TERRIBLE et  le Clémenceau, toute cette armada suit les voitures de prés, par chocs contre pare chocs… !

 

-Jé crois qu’on é souivi… !’ Le chauffeur MAYTE.

 

-Té va lé séme… !’ Le CAPO.

 

 

 

Soudain la voiture de tête des gangsters freine brusquement et voilà que les autres voitures s’encastrent dans la première tandis que l’armada qui les suit surprise par ce coup de frein inopiné à cause du rat Tarat Missou qui traversait le lacet de route. Elle  se trouve , elle  aussi imbriquée les unes dans les autres.

 

 

 

Ce qui nous donne vue de haut, un petit wagon de métro et un TGV qui avancent à vive allure.

 

Les voitures (le wagon de tête)  sortent porte de VINCENNES. Alors que les autres, ( le TGV)  pris de vitesse continuent.

 

-Nous les avons sémè CAPO… !’MAYTE.

 

Prenant donc la tangente, les bandits  rentrent plus loin dans la rentrés du  périph et là elles se trouvent derrière l’armada.

 

 

 

-Jé préfère les avoir devant que dans le coul… !’ Capo.

 

-Capo é si on passe par en déssous… ?’ Mayte.

 

-Il y a oun sous marin MAYTE… !’ Capo.

 

 

Les poursuivis continuent leur trajet, alors que les poursuivants ,  sur leurs gardes, suivent la manœuvre.

 

Les voitures des bandits sardes/ corse etc…Sortent à Bagnolet. Ils se dirigent à toutes vitesses vers le lieu dit LA MUTUELLE. Les flics et militaires toujours sur le qui vive ne les laisse pas respirer.

 

-        Chef  Boulak, ils ont bifurqué vers le quartier de la Mutuelle… !’ Amanda Parenti.

 

-        Merci Amanda, nous sommes sur le qui vive… !’

 

Enfin à 20 heures 15, les voitures des bandits stoppent devant une grande villa. L’intérieur parait désert et toutes les fenêtres sont closes.

 

 

 

 

 Le CAPO DEL CAPO sort le premier tandis que ces gardes corps armés jusqu’aux  dents suivent leur chef.

 

Toute la smala policière est sur les dents.

 

LE CAPO pousse la porte, il n’y a personne.

 

Soudain comme par magie milles lustres s’allument en même temps et là…

 

 

-‘JOYEUUUUUUUUUUUUUUUUUX ANNIVERSAIRE SOMELIER… TOUS NOS VŒUX LES PLUS SINCERES… !’

 

Reprit par tous les invités sortis comme par miracle des rideaux.

 

Isabelle en très belle tenue porte un immense  gâteau, une pièce montée, toute illuminé par des bougies. Elle est suivis par tous ses amis.

 

http://www.youtube.com/watch?v=rJ1uSAxqUuc

 

Elle vient vers lui et lui colle deux cent bises. Tandis que mille cotillons tombent du plafond. Dehors des feux d’artifice illuminent le ciel.

 

 ‘…Tu as été magnifique RICHARD… ! Tout cela était un coup monté pour ton 99 iéme anniversaire.

 

Je t’adore et même que je… !’ Lol.

 

Et là tous les policiers en tenue rentrent en applaudissant et étreignent celui qui les a fait rêver durant 15 jours.

 

Ce fut une grande fête, plus de 120 amis étaient présents  et chacun avec un cadeau dans les bras.

 

Un buffet comme je ne vous dis pas, à la mesure de l’événement, était dressé.

 

MEL CAQ EL AMBAR HATTE EL DJEJ MAHCHI ( Du cake d’ambre jusqu’au poulet farci étaient présentés par notre HOTE qui a fait honneur à cette GRANDE AMBIANCE.

 

Toute la nuit et jusqu’au matin s’est passée à rigoler et surtout à méditer sur la BLAGUE. 

 

Le clou de la soirée a été l’arrivée de Monsieur CLAUDE SITBON avec un grand collier d’argent gravé par  un 555 qu’il a remit à MONSIEUR SOMELIER en récompense de ce récit imaginaire.

 

LA COMPAGNIE PTFB remercie Monsieur KLUGERMAN de nous avoir permis de délirer sans contrainte.

 

Les acteurs et actrices ont joué bénévolement  avec un art consommé.

 

 

 DISTRIBUTION  DES RÔLES.

 

MES REMERCIEMENTS VONT…

 

 

 -ISABELLE COHEN…LA DISPARUE VIRTUELLE.

 

-A GAN EDEN L AMIE DE ISABELLE COHEN.

 

-SALWA HABACHI…L’autre amie de ISABELLE COHEN.

 

-MICHELLE COUTURE POUR LES COSTUMES.

 

-MICHELLE KA pour les DECORS.

 

-ALAIN RIGAUT pour la MISE EN SCENE.

 

-GG pour LES CASCADES.

 

-BREITOU POUR LES DIALOGUES.

 

-ALINE SIMEONI POUR LA RECONNAISSANCE DES LIEUX.

 

-JUDITH MAC LEAN CONSEILLERE A LA MAIRIE DE PARIS.

 

-Pierre BOC Procureur de la République bananière.

 

-Josianne Coejemans. Ecrivain.

 

-Albert Mâârek l’indic de la police.

 

-Aldo Fenélli DIT le CORSE.

 

-Joseph Cetaldi DIT CELTA LE SARDE

 

-Jean Mostachi DIT PEPE BRAVO.

 

-Soméliorà Ricardo dit le PARRAIN.

 

-ANNA LUNA  LA BAIRMAD DU ‘PETIT CHAPERON ROUGE’.

 

-Phillipe Caron  le PAPA de GG.

 

-Sandy Ramirez la fille de GG.

 

-Sylvana Bianco la mama de GG.

 

-Hélène Chelly la comptable de la MAFFIA.

 

-Rina Cecchi L’Hôtesse de l’air.

 

-Georges Boublil le capitaine des carabiniéris.

 

-Gérard Uzan le commandant de bord de la COMPAGNIE HALWA SALWA BOUSCOUTOU AIR ONE.

 

-CORINE LEVY seconde hôtesse de l’air.

 

-ANGIE DURAN la PDG DE LA BANCA EMBROUILLE.

 

-FEDDY GALULA  dit BOMBA L’homme de confiance del CAPO DE CAPO.

 

-Jean FRANCOIS AGER…LE POLICIER MOTARD.

 

-MAYTE….CHAUFFEUR DEL CAPO DEL CAPO.

 

-AMANDA PARENTI…SECOND MOTARD ET TOUS LES AUTRES que j ai sans doute oublié.

 

 

 

LA PRODUCTION REMERCIE LE MAIRE DE PARIS POUR LES AUTORISATIONS ACCORDÉES LORS DU TOURNAGE.

 

 Cependant pour la fin du récit, j’avais besoin d’une sortie. Je l’ai trouvé en changeant par trois fois ma date d’anniversaire. Elle est fausse je suis né un 9 FÉVRIER.

 

Je m’excuse auprès de mes amis qui m’ont envoyés  tant de jolis mots et ca m’a fait du bien.

 

Vous apprendrez avec le temps qu’est ce qu’un FEDLEG. Un amuseur, un blagueur, un humoriste juif tune, un CHÂÂ ressuscité.

 

 http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan

Partager cet article
Repost0
3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 17:28

‘CHEZ AYOUCH’

 

spaghetti2.gif

 

ojja-tunisienne-aux-merguez-L-1.jpg

 

120709_509635567_photo-002_H185006_L.jpg

 

37620_416660158279_685528279_4484338_7299707_n.jpg

                                            -BRIK A L’ŒUF A LA MAIN.

                                           -SPAGUETTIS MAISON.

                                           -GRILLAGE AU FEU DE BOIS.

                                           -COMPLET POISSON.

                                           -CASSE-CROUTE AU THON.

                                           -CASSE CROUTE A LA BOUTARGE.

                                           -OMELETTE AUX FINES HERBES

                                           -OJJA MERGUEZ MAISON.

                                           -BOISSONS ET SODA.

 

Tel était le menu affiché et écrit à la main avec une craie blanche. Cette pancarte était suspendue au mur , à hauteur d’homme, sur le coté droit du rideau, de notre restaurant/gargotte. A la Goulette;

 

Il était situé juste en face de l’épicier à deux portes Hamza à proximité du Casino. Entre la rue du Capitaine Bourdonneau et le Billard Hassen. A une cinquantaine de mètres de notre maison de la rue Pasteur. Le café Vert se trouvait à quelques coudées. Pour être plus précis. 

La faillite de mon père, en 1956, due à la fuite des entrepreneurs français mit mon père dans une situation difficile, les créanciers affluèrent puisque les débiteurs s’envolèrent. Point de recette pour payer les traites et factures. Un coup dur. Comme on dit dans le jargon populaire. Nous étions sur la hssira.

 

En 1958, pour conjurer le mauvais sort et surtout nourrir une famille de sept personnes, y compris ma grand-mère, ma mère proposa à mon père d’ouvrir avec ses quelques économies, ramassées dans la poche de mon père quand il était bu, un restaurant pendant l’époque estivale. C’est à dire quatre mois de Juin à Septembre. Avec terrasses, tables, chaises et vitrines sur le trottoir.

 

La ‘Nessba’ ( vitrine) à casse-croûte servait à confectionner les petits pains tranchée en leur milieu et remplis par les divers condiments connus, salades et autres.  Une  modeste vitrine de moindre taille reposée sur des roulettes presque au bord du trottoir. A quelques cinquante centimètres.

 

Elle servait à servir de petits ronds ‘Caque’ accompagné d’un morceau de boutargue de mulet ou de thon séché et salé recouverte par de la cire, préalablement découpé   selon grandeur et au choix du client. Suivant sa bourse du moment. Aussi. 50 millimes ou 100 millimes, la petite collation.

On jouait aussi sur les prix selon le profil du client, qu’il fusse aisé et le prix grimpé,  pour un ‘Mnèyèk’ on se sauvait. Mon père, connaissant tous ces amis me les signalait par un code convenu entre nous….Ce qui donnait à peu près ce dialogue.

‘Bebert…. ! Ehdèk elli jèyi tnèjèm zidou… !’

(………… ! Celui tu peux lui ajouter…’)

 

Quand apparaissait un ‘moisard’, un avare qui achetait un casse-croute à 50 millimes qu’il partageait avec sa femme, il me disait….

 

‘Arrab… !’ Et ainsi allait la boutargue…Bref, challinè…

 

J’avais 13 ans, Sauveur 11 ans, Richard 9 ans et Maxo faisait encore pipi dans ses langes. Maman était une femme énergique, elle s’occupait de l’hygiène et des fourneaux. Du moins pour la première saison. Mon père était aux sandwichs et moi à la boutargue. Nous partagions donc les taches sans oublier mes frères qui faisaient le service de ‘garçonage’. Notre breikèji Chaloum (‘Z’L) présidait aux briks à l’œuf à la main, accompagné par un ouvrier. Il était payé tous les week-end suivant le nombre d’œufs vendus, donc à la pièce. Au pourcentage. Souvent, je remplaçait mon père qui remplaçait ma mère à la cuisine et pour cause, elle devait rentrer pour s’occuper de mon jeun frère resté à la maison. Adèb. Elle revenait une fois le petit alité et endormi aux bras de ma grand-mère. Parfois, mon oncle venait nous donner,

sous les blasphèmes de mon père bu, un coup de main. Gratuitement. Nous avions tous une serviette collée  à la ceinture de nos shorts. Nos deux serveurs attitrés encaissé sous mon œil jaloux les pourboires des clients ce qui me mettait en colère. Car, je travaillais pour la gloire. Je mis fin à cette injustice en me ‘ promutant’ garçon le jour où mon père embaucha un maitre-cuisinier Hmida, un homme extraordinaire que nous avons pris en estime. Nous l’appelions baba Hmida. Un chef, d’une gentillesse et d’un savoir faire unique. Il était intransigeant dans la confection de ses plats et ne laissait à personne le soin de pénétrer sa cuisine. Il portait toujours sa toque blanche de chef , ce qui lui donnait une certaine distinction.

 

Tout était Cacher .Notre cuisine maison prit grâce à ce chef, sa vitesse de croisière à un tel point que les clients attendaient plus d’un service pour s’asseoir. Sous la chaleur de nos nuits d’été. Nous avions nos clients attitrés, ceux qui nous laissait un généreux pourboire, étaient les mieux servis quand aux autres, nous leur tournions le dos. Déjà. Il arrivait que telle ou telle voulait être servi par tel ou tel frère, ce qui soulevait souvent nos mauvaises humeurs. Au grand damne de mon père qui surveillait l’obédience.

 

Nous étions parfois, très fatigués mes frères et moi, ce qui faisait que nous nous allongions à pour de rôle’ sous la ‘Nessba’, cachés aux yeux des clients pour roupiller entre les pains et les sacs en jute  de farine vide. Couvertures dérisoires qui servaient à garder les petits pains au chaud.

 

Nous étions ouverts de 17 heures à une heure du matin. En réalité nous fermions bien tard, car il fallait faire le service de nuit, rentrer tables, vitrInes et chaises pour recommencer le lendemain.  Dure labeur que la restauration qui avait son fric mais aussi sa saleté.

 

Ils nous arrivaient, mes frères et moi,  de piquer dans la caisse pour aller assouvir les ‘hofra’( fentes)  des ‘pikfott’  d’à coté.

 

Trois années consécutives ont réussit à redresser la barre. Avec l’argent ramassé, mon père put ouvrir une nouvelle échoppe de marbre, sous le nom de ma mère. Dénommée MARBRERIE L.S…... ( Société Industrielle de Marbre Et Onyx Naturel Importé). C’est moi qui ai trouvé cette prédestination. A la rue Bab-El- Khadra.

Comme quoi dés fois…

 

J’en ai fais plus tard en 1971, mon métier. Mais là c’est une autre histoire.

 

‘….Savoir se reconvertir quand les circonstances l’exigent telle est la foi inébranlable des hommes avec l’aide d’ACHEM. Merci.

 

ALBERT Simèoni.

 

 

 http://univers-des-news.over-blog.com/
http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
http://www.facebook.com/photo.php?pid=141555&id=100000913129179#!/gege.rudspace.cattan
 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de univers-des-news.over-blog.com
  • : Comment tout savoir sur les stars : les news people, les potins, vidéos et photos de stars et de célébrités ? Surfez sur L'UNIVERS-DES-NEWS
  • Contact

Profil

  • catger
  • http://tendancedesantipodes.blogspot.com/


  var _gaq = _gaq || [];
  _gaq.push(['_setAccount', 'UA-15905281-1']);
  _gaq.push(['_trackPageview']);

  (function() {
    var ga = document.createElement('script')
  • http://tendancedesantipodes.blogspot.com/ var _gaq = _gaq || []; _gaq.push(['_setAccount', 'UA-15905281-1']); _gaq.push(['_trackPageview']); (function() { var ga = document.createElement('script')

Rechercher

Archives