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19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 19:54

Nous avons commis une terrible erreur, un texte malencontreux sur l’une de nos photos du jour du 18 avril dernier (à gauche), mal traduit de la légende, tout ce qu’il y a de plus circonstanciée, elle, que nous avait fournie l’AFP*: sur la « reconstitution », dans un camp de réfugiés au Liban, de l’arrestation par de faux militaires israéliens d’un Palestinien, nous avons omis d’indiquer qu’il s’agissait d’une mise en scène, que ces « soldats » jouaient un rôle et que tout ça relevait de la pure et simple propagande.
C’est une faute – qu’atténuent à peine la précipitation et la mauvaise relecture qui l’ont provoquée.
C’en serait une dans tous les cas, ça l’est plus encore dans celui-là: laisser planer la moindre ambiguïté sur un sujet aussi sensible, quand on sait que les images peuvent être utilisées comme des armes de guerre, donner du crédit à un stratagème aussi grossier, qui peut contribuer à alimenter l’exaspération antisioniste là où elle s’enflamme sans besoin de combustible, n’appelle aucun excuse. Nous avons déconné, gravement. J’ai déconné, gravement: je suis responsable du site de L’Express, et donc du dérapage.
A ce titre, je fais amende honorable, la queue basse, auprès des internautes qui ont été abusés, de tous ceux que cette supercherie a pu blesser et de l’AFP, qui n’est EN AUCUN CAS comptable de nos propres bêtises.
Cela dit – et que les choses soient claires, ce que j’écris ci-dessous n’enlève rien à ce que j’ai écrit ci-dessus:
- Il arrive, quand nous nous trompons – parce que ça arrive, personne n’est parfait – que nous en soyons avertis directement, que celle ou celui qui a repéré une erreur nous envoie un mail, nous passe un coup de téléphone, nous écrive pour nous demander de nous expliquer, de corriger, de supprimer –il est assez facile de nous contacter si on le souhaite vraiment. J’attends toujours. Dès que j’ai eu connaissance, par le patron du service Monde de L’Express, de cette bourde, j’ai fait supprimer l’image et sa légende.
- Sur de nombreux sites pro-israéliens où l’affaire (!) a pris son envol et son ampleur, elle a servi à nourrir de vieilles rancœurs. Pour résumer: les médias français dans leur ensemble désinforment sciemment, s’acharnant sur Israël en toute (mé)connaissance de cause – quand nous ne sommes pas tout bonnement accusés d’encourager le terrorisme; j’ai lu tout à l’heure que nous aurions « fabriqué » Mohamed Merah…
Naturellement, ont resurgi à cette occasion d’autres incidents, au premier rang desquels figure, comme d’habitude, la mort du petit Mohamed Al-Durah, filmée par l’équipe du correspondant de France 2 à Jérusalem, Charles Enderlin – formidable journaliste, dont le courage n’a d’égal que le professionnalisme, j’en profite pour le répéter ici. Il faut avoir le cuir épais pour résister aux pressions brutales et inqualifiables dont il est la cible depuis ce jour-là. Il l’a, fait toujours bien son métier, rend coup pour coup, malgré les attaques infamantes et les calomnies dont il est l’objet, respect.
C’est d’ailleurs un regret supplémentaire: en manquant de rigueur, nous avons involontairement contribué à discréditer nos confrères qui font bien leur travail, qui relatent les emprisonnements arbitraires des uns, l’extrémisme religieux et les diatribes antisémites des autres, les opérations militaires implacables comme les tirs de roquettes, les colonies illégales comme les attentats aveugles – et rappellent aussi, ne serait-ce que par leur liberté d’y travailler, qu’Israël est la seule véritable démocratie de la région, qu’on y vote sans contrainte, qu’on y lit des journalistes indépendants, qu’on peut y manifester et s’y opposer sans risquer la torture et la mort.
- Marre de lire que tous autant que nous sommes, nous, journalistes français, nous cultivons non seulement un antisionisme atavique (ce qui est faux), mais aussi un antisémitisme historique – ce qui, pour le coup, me fait hurler. Evoquer, comme je l’ai lu ici ou là, « la connotation antisémite » de ce qui, encore une fois, n’est rien d’autre qu’une bévue, ce n’est pas seulement disproportionné et inutilement insultant, ce n’est pas seulement banaliser le Mal, c’est aussi un avertissement à peine déguisé.
J’ai utilisé le mot propagande au début de ce post, à propos de l’image qui l’a motivé. Il n’y en a pas d’autre pour qualifier les méthodes d’intimidation mises en oeuvre pour nous empêcher de parler librement du conflit israélo-palestinien. Et si reconnais bien volontiers, et bien tristement, notre erreur, je tiens à confirmer que nous continuerons, malgré elle et les réactions qu’elle a provoquées, à le faire.
PS qui a tout à voir: le sujet de ce post est éminemment sensible. Je ne vais être épargné par personne, ni par les défenseurs les plus intransigeants de la politique israélienne, ni par ceux qui dénoncent sans nuance le vil « colonisateur ». J’aimerais simplement que tous les autres, et j’espère qu’ils sont majoritaires, liront ce que j’ai écrit et pas ce que ces jusqu’au-boutistes en auront dit.
*PS qui a tout à voir aussi: pour information, la légende, en anglais, de la photo fournie par l’AFP: « LEBANON, AIN EL-HELWEH: Palestinian refugees pose as Israeli soldiers arresting and beating a Palestinian activist during celebrations of Prisoners’ Day at the refugee camp of Ain el-Helweh near the coastal Lebanese city of Sidon on April 17, 2012 in solidarity with the 4,700 Palestinian inmates of Israeli jails. Some 1,200 Palestinian prisoners held in Israeli jails have begun a hunger strike and another 2,300 are refusing food for one day, a spokeswoman for the Israel Prisons Service (IPS) said. »
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19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 08:13


Fortement critiqué par la gauche, surnommé Air Sarko One, l'Airbus A330-200, acquis et aménagé à la demande de Nicolas Sarkozy, transporte aujourd'hui le président François Hollande, sa compagne et quelques ministres pour les sommets du G8 à Camp David dans le Maryland, puis de l'Otan à Chicago. Emprunter à la place de ce gros porteur un des petits Falcon 7X serait apparu comme un geste fort, synonyme de volonté d'économies... de bouts de chandelles. 


En effet, laisser sur le tarmac un avion qui a coûté au budget de la Défense 176 millions d'euros n'est pas une vue saine des réductions budgétaires. Les autres ministres qui auront à se déplacer durant les quatre jours du voyage américain du président, ne pouvant utiliser l'A330, auraient dû louer des appareils privés. Pas vraiment rentable.


À l'arrivée à Camp David, le Falcon 7X, même s'il est considéré par les experts comme l'un des plus beaux avions de sa génération, serait apparu comme le Petit Poucet à côté d'Air Force One, le Boeing 747 du président américain, ou de l'Airbus A340-600 d'Angela Merkel qui a investi 650 millions d'euros dans le renouvellement de la flotte présidentielle outre-Rhin. Il en va donc du prestige du pays. Autre intérêt de l'A330 français, il peut transporter soixante invités. C'est très utile quand le président, VRP de la France, est accompagné de dirigeants d'entreprise qui vont signer des contrats à l'occasion du voyage.


Invendable


Certes, l'Élysée aurait la possibilité de mettre en vente l'A330 présidentiel. Cet avion est très prisé par les compagnies aériennes au point qu'Airbus doit en augmenter les cadences de fabrication. Mais pour remettre aux standards du transport aérien l'ex-Air Sarko One il faudrait dépenser une centaine de millions d'euros et casser chambre, bureau et salle de bains présidentiels, salle de réunion, centre de télécommunications, mini-bloc opératoire, etc. Un autre chef d'État ou un grand patron de multinationale pourrait-il être intéressé par l'avion en l'état ? On les compte sur les doigts de la main et il n'est pas certain que les choix sarkoziens d'aménagement de la cabine conviennent. L'État devrait alors acquérir un nouvel avion, y installer les équipements de communication nécessaires au président. L'addition risque d'être salée.


S'il est indéniable que l'utilisation de l'A330 par Nicolas Sarkozy n'a pas toujours été optimisée dans le cas, par exemple, d'allers et retours Paris-Bruxelles, le président doit-il pour autant prendre le train "comme un homme normal". Cette déclaration imprudente du candidat Hollande ne prend pas en compte les contraintes de sécurité des déplacements ferroviaires où chaque pont doit être gardé par les forces de police. On peut aussi imaginer les perturbations subies par des milliers de voyageurs quand deux à trois quais de la gare du Nord sont neutralisés pour le départ présidentiel. Si l'insertion d'un avion ministériel dans le trafic aérien est indolore, il n'en est pas de même pour une circulation ferroviaire. Autre contrainte, après 21 heures, il n'y a plus de train pour rentrer de Bruxelles comme de Londres alors que les réunions se tiennent souvent à l'occasion d'un dîner. 


Dernière option, on peut mettre en place un avion pour le retour qui voyagera à vide à l'aller... Coûteux également ! "Sur de petites distances de moins de 500 kilomètres, la meilleure efficacité de porte à porte est apportée par l'hélicoptère qui demande peu de moyens de sécurité au sol", explique un membre du service des voyages présidentiels, "mais Nicolas Sarkozy ne l'aimait pas".
 
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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 13:07



Les juifs de France et d’Israël ont axé leurs attaques sur l’influence néfaste des pro-palestiniens parmi les  socialistes et leurs amis et ont ainsi donné la majorité de leurs voix à Nicolas Sarkozy. Cependant la garde rapprochée de François Hollande comporte de nombreux juifs qui ne rejettent pas leur identité et qui resteront juifs à vie selon la Halakha, la loi juive.
 
 
Juifs actifs

 
Bien que les juifs arrivés au pouvoir ne montrent jamais beaucoup de zèle quand il faut défendre Israël, par crainte de se voir reprocher une position communautaire non objective, ils sont cependant en mesure d’infléchir la politique du gouvernement. Certes, des personnages célèbres, comme l’américain Henri Kissinger ou le chancelier autrichien Bruno Kreisky, ont prouvé dans le passé qu’ils avaient un positionnement politique indépendant de tout sentiment de solidarité communautaire et parfois même volontairement anti israélien.
 
De nombreux juifs sont actifs dans le comité de campagne de François Hollande et parmi eux, quelques uns se verront gratifiés d’un poste ministériel en cas de victoire socialiste. Leur identité juive n’est aucune garantie pour Israël.
Famille en Israël
Pierre Moscovici
Pierre Moscovici n’a jamais caché ses origines juives. Il avait même annoncé, à une émission de télévision, que la moitié de sa famille vivait actuellement en Israël, après avoir quitté la Roumanie. Cela n’en fait pas bien sûr un sioniste. Mais il pourrait instiller une dose d’équilibre dans la politique pro-arabe du Quai d’Orsay. On le voit aussi bien comme premier ministre que comme secrétaire général de l’Elysée où il aurait la main sur toutes les questions politiques.

 


 
Julien Dray
Julien Dray a lui aussi une grande famille en Israël, dont son frère qui vit dans une implantation. Il avait été clair à propos de la guerre de Gaza : «Dans cette situation il y a d’abord un agresseur, évidemment le Hezbollah qui a pris la responsabilité d’ouvrir les hostilités en tirant des roquettes sur les populations israéliennes. Israël a répondu. Nous pensons que sa réaction est légitime au regard de l’agression». Il avait soutenu Ségolène Royal en 2007, ce qui pourrait lui valoir un coup de pouce de sa part pour entrer au gouvernement. Mais ses ennuis judiciaires et la suspicion d’avoir reçu une proposition d’être ministre d’ouverture de Nicolas Sarkozy, risquent de le plomber. Sa proximité avec DSK pourrait le disqualifier vis-à-vis du nouveau président.
Coming out


 
Vincent Peillon
Vincent Peillon a fait son «coming out» juif il n’y a pas longtemps, à l’occasion de «l’appel à la raison» Jcall, qu’il avait signé avec Daniel Cohn-Bendit, Elie Barnavi, Bernard Henri-Levy, Zeev Sternhell et Avi Primor. Sa grand-mère maternelle est juive. Sa mère, sœur du médecin Etienne-Emile Baulieu et de l’économiste Suzanne de Brunhoff, est chercheuse. En 2009, il avait célébré la Bar-Mitsva de son fils Elie à la synagogue de la Place des Vosges à Paris. Pour la circonstance, Vincent PEILLON, qui a épousé en seconde noces la journaliste Nathalie Bensahel, avait mis les tefillins et était monté à la Torah. Agrégé de philosophie, il serait nommé ministre de l’Éducation Nationale.

 

 
François Rebsamen
François Rebsamen, dont l’origine est d’Alsace-Lorraine, est juif et  franc-maçon. Il est responsable des problèmes sécuritaires auprès du candidat socialiste. Il avait été chef de cabinet du ministre de l’intérieur Pierre Joxe. Il aspire à être ministre de la sécurité intérieure, sinon ministre de l’intérieur.
Les militants
Harlem Désir
Harlem Désir a tenu quelques mois l’intérim du secrétariat général du parti socialiste et souhaite remplacer Martine Aubry qui ne rempile pas. Son père est martiniquais tandis que sa mère est juive alsacienne. Licencié de philosophie, il a dirigé l’UNEF et présidé SOS Racisme. Député européen, il est vice-président du groupe socialiste européen depuis 2004.


 
daniel Cohn-Bendit
Chef des Verts et proche des sociaux démocrates en Allemagne, Daniel Cohn-Bendit, qui avait pris position dès avant le premier tour pour la candidature unique socialiste, pourrait créer la surprise. Au soir du premier tour, il avait damé le pion à Éva Joly en annonçant, avant elle, son soutien à François Hollande. Connaissant à fond les arcannes de la politique à laquelle il a été nourri dès son adolescence, bénéficiant d’une aura depuis 1968 et parlant parfaitement l’allemand, il pourrait faire un excellent ministre des affaires européennes, capable de peser sur les décisions d’Angela Merkel. Il serait en mesure de lui exposer la position française dans le cadre d’entretiens qui ne souffriraient pas de la lourdeur des interprètes.

 
Les femmes et les ami
 
hazan-adeline
Deux femmes entourent François Hollande. Adeline Hazan, d’origine égyptienne, quinqua du PS, députée européenne depuis 1999 est maire de Reims et a été présidente du Syndicat de la Magistrature de 1986 à 1989. Dans le cadre de la parité imposée par le futur président, elle pourrait bien hériter du poste de ministre de la Justice.


 
sabban-michelle
Michèle Sabban, vice-présidente du Conseil d’Ile-de-France est née en Tunisie. Diplômée des Beaux Arts, elle siège depuis près de vingt ans au Conseil Régional comme vice-présidente.

 
 
casa-jean-michel
Enfin, sur le plan des amis non juifs d’Israël, le nom deJean-Michel Casa, directeur de l’Union européenne au Quai d’Orsay, est avancé pour occuper le poste de sherpa, conseiller diplomatique à l’Élysée. Il avait été remplacé en 2009 par Christophe Bigot au poste d’ambassadeur de France en Israël qu’il occupait depuis 2006.Tous les noms qui ont été cités dans l’article figure dans l’organigramme de l’équipe de campagne de François Hollande. 

 
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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 13:42
Le président élu François Hollande dispose de biens immobiliers d'une valeur de 1,17 million d'euros et ne possède aucune valeur boursière ni collection diverse, selon sa "déclaration" de patrimoine parue vendredi au Journal officiel.


En même temps que la proclamation officielle des résultats de l'élection présidentielle, le JO publie comme la loi l'exige la "déclaration de situation patrimoniale" de François Hollande. Les biens immobiliers d'une valeur actuelle de 1,17 MEUR se répartissent entre une maison à Mougins (Alpes-Maritimes) pour 800.000 euros et deux appartements à Cannes de 230.000 et 140.000 euros.


François  Hollande déclare en outre posséder "divers meubles" d'une valeur de 15.000 euros. Il fait état des sommes déposées à la date de la déclaration (15 mars 2012) sur trois comptes courants ainsi que d'un contrat d'assurance-vie. Le nouveau président déclare ainsi un contrat d'assurance-vie de 3550 euros, un compte courant à la Banque Postale où sont déopsés 4960 euros, ainsi que deux comptes à la Société générale pour un total de 3298,95 euros.


François Hollande déclare ne détenir aucune valeur mobilière (actions cotées ou non, placements...) ni aucun compte à l'étranger. Il n'a en outre pas de collection d'objets d'art, de bijoux ou pierres précieuses et ne déclare pas de véhicule. 


Durant la campagne, il avait promis en janvier que la transparence serait "totale" concernant son patrimoine et son état de santé.


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/05/11/97002-20120511FILWWW00306-hollande-patrimoine-evalue-a-117-m.php
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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 19:19
Le 8 mai 2012 s’est déroulée un manifestation qui se voulait anti-raciste et anti-islamophobe organisée par les partis et groupuscules d’extrême gauche, ceux qui ont permis à François Hollande d’être élu. En fait d’anti-racisme et d’anti-islamophobie cette manifestation de tous ces immigrés a très vite tournée à une autre forme de racisme: l’anti-sionisme primaire !

 
Ils défilaient en hurlant contre l’Etat d’Israël, traitant l’ancien gouvernement français de « collabo » israélien. « Stop à la collaboration franco-israélienne » « Le sionisme dégage dégage ! » « Colonialisme dégage dégage ! » 
En fait comme cette vidéo le met en évidence, ces manifestants anti-israéliens sont tous des musulmans radicaux, étrangers à la France pour une majorité. Ils défilent avec des drapeau palestiniens au milieu des drapeaux algériens, tunisiens, etc…

 
Les membres du collectif Euro-Palestine sont tous des islamistes, souvent membres des collectifs Cheikh Tassine ou Forzane Alizza ! Ils sont soutenus par quelques « illuminés » d’extrême gauche du NPA et du Front de gauche.
Cette vidéo permet de comprendre que « la cause palestinienne » n’est qu’un prétexte pour l’Islam radical afin de rallier à lui  le plus grand nombre d’occidentaux. La cause palestinienne ne sert en tout cas pas le peuple palestinien mais les groupes terroristes islamiques tels que le Jihad islamique et le Hamas.

 
Les européens doivent enfin ouvrir les yeux: en soutenant ici en Europe la cause palestinienne ils contribuent à délégitimer le seul Etat démocratique de la région au profit de l’Islam radical et du Jihad mondial en vu d’installer le prochain grand califat islamique.
Les associations pro-palestiniennes sont pour la grande part financées par la finance islamique. La pseudo « cause palestinienne » permet à l’Islam radical de faire de l’entrisme au sein des populations européennes. Elle est utilisée comme une sorte de « passeport » humanitaire pour apitoyer les occidentaux mais en réalité elle n’a d’autre objectif que l’islamisation de l’Europe…
Il est temps que les peuples européens comprennent les dangers de soutenir ce genre cette cause, elle est la « tête de pont » de l’Islam radical.
Photos:
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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 08:14

Nicolas Sarkozy quitte la Mutualité après sa défaite à l'élection présidentielle. 

POLITIQUE - Indemnités, avantages divers, le site de Challenges.fr a détaillé ce qui attend le chef de l'Etat quand il se sera retiré...

6.000 euros de retraite, des voyages gratuit, un appartement... Comme tous les anciens présidents, Nicolas Sarkozy va bénéficier d’avantages dus à son ancienne fonction. «D’abord, il percevra une indemnité de 6.000 euros brut, accordée à tous les "ex", quelle que soit la durée de leur séjour à l’Elysée. Ensuite, il pourra siéger au Conseil constitutionnel, en tant qu’ancien Président et percevoir, à ce titre, une indemnité de 11.500 euros net par mois», explique le site challenges.fr
Pour le moment, Nicolas Sarkozy n’a pas précisé s’il comptait siéger dans cette institution mais il pourrait redevenir avocat.


1,5 million d’euros pour l’Etat


A ces avantages, Sarkozy bénéficiera d’avantages en nature. Un appartement de fonction, deux fonctionnaires de la police nationale pour assurer leur protection rapprochée, une voiture de fonction avec deux chauffeurs, sept collaborateurs L’ancien président pourra également voyager gratuitement, grâce à deux cartes de circulation illimitées, l'une sur Air France, en classe affaires, l'autre à la SNCF première classe.


«Pour l'Etat, la facture de ces nombreux avantages est salée: La charge financière -que personne ne connaît compte tenu de la dispersion des financements- peut être estimée à 1,5 million par an et par ancien président, souligne le député René Dosière dans son livre "L’argent de l’Etat" (Seuil)», détaille Challenges.fr.
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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 08:33


Les scènes de liesse qui ont accompagné l'éléction de François Hollande ne sont pas du goût de certaines personnalités de droite. Au-delà de la défaite du candidat Sarkozy, certains membres de l'ancien gouvernement, mais aussi du Front national, ont dénoncé, lundi 7 mai, la présence de "drapeaux rouges et étrangers" lors du rassemblement pour célébrer la victoire du socialiste, la veille, place de la Bastille à Paris.
Sur France info, l'actuel vice-président du FN, qui fut le directeur de campagne de Marine Le Pen, Louis Aliot, s'est déclaré "surpris"par la présence "d'autant de drapeaux étrangers pour saluer la victoire de M. Hollande". Et de poursuivre : "Ce sont les mêmes drapeaux étrangers que l'on a vus saluer la victoire de M. Sarkozy et[celle] de Jacques Chirac, en 2002."






"J'ai beaucoup vu de drapeaux algériens, ce qui prouve bien que la communautarisation de la société française n'est pas une utopie, ni une vue de l'esprit mais qu'elle est une réalité", affirmé le conseillerrégional du Languedoc-Roussillon.
Sur Europe 1, c'est Nadine Morano qui s'est saisie du sujet. La ministre de l'apprentissage a indiqué, lundi, avoir éprouvé "un drôle de sentiment" après avoir vu "très peu de drapeaux bleu-blanc-rouge", "beaucoup de drapeaux rouges et également beaucoup de drapeaux étrangers" place de la Bastille. "Ça ne me rassure pas beaucoup, a-t-elle ajouté. Je me dis : voilà quelle est la France qu'on va nous construire avec le droit de vote des étrangers (...) Cette démonstration n'était pas engageante ni réjouissante pour la France que nous avons à construire."


 


Intervenant sur la même antenne, peu de temps après la ministre, le député de l'Essonne et maire d'Evry, Manuel Valls, a réagi à ces accusations. "J'ai passé toute la soirée à la Bastille (...) Je n'y ai pas vu Nadine Morano", a d'abord lancé le directeur de la campagne du candidat socialiste. (Vidéo à partir de 02:40)





"Il y avait beaucoup de drapeaux, comme en 1995 ou en 2002. Il y a un sentiment de double appartenance qui existe. La Marseillaise a été entonnée par ces dizaines de milliers de citoyens, dont les jeunes des banlieues, ça m'a pris aux tripes. J'ai ressenti chez eux la fierté d'être français. Je n'avais jamais vu ça sauf dans les stades de foot, et encore. Nous sommes tous français", a ajouté Manuel Valls.
Né à Barcelone, il revient ensuite sur son cas personnel. "Je n'ai pas pu voter en 1981 parce que je n'étais pas français", explique-t-il. L'élu de l'Essonne se fait ensuite plus saillant : "Ce n'est pas à Nadine Morano d'expliquer qui est français et qui ne l'est pas."


http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/05/07/apres-la-bastille-la-polemique-des-drapeaux_1696965_1471069.html#xtor=AL-32280515
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7 mai 2012 1 07 /05 /mai /2012 09:22


La « France du changement » a commencé à fêter la victoire du candidat Hollande, une victoire particulière dans l’histoire de la cinquième République puisque acquise grâce au vote communautaire des musulmans répondant à l’appel de Tariq Ramadan et de 700 imams (mais quel journaliste osera parler du lobby islamiste ?).


Cette « jeunesse en liesse » comme le titre certains médias fête à sa manière très particulière la victoire de leur candidat: ils brûlent des voitures à Clichy s/bois, brûlent des drapeaux français place du Capitol à Toulouse, ou caillassent les policiers dans le 20ème à Paris, dans le 77, dans le 93, dans le 91…


La Place de la Bastille avait un petit air de Place Tahrir: des drapeaux palestiniens, tunisiens, algrériens, etc… flottaient mais bien peu de drapeaux français.
la France du changement à la bastille : drapeaux palestiniens, tunisiens, algériens, etc…

Plusieurs centaines de jeunes fêtaient dimanche l’élection de François Hollande dans les rues du Chêne-Pointu, quartier défavorisé de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), où deux voitures ont été brûlées, a constaté un journaliste de l’AFP. Puis, « la police est passée et comme les jeunes n’aiment pas la police, ils ont commencé à caillasser avec des bouteilles », a raconté un fonctionnaire de la mairie, également sous couvert d’anonymat.


Ce soir, l’élection de François Hollande est fêtée comme il se doit. Coté pile, on vous montre des jeunes qui brandissent des pancartes « Pour une France apaisée ».


 Place du Capitol à Toulouse
Et coté face, on ne vous montre pas les drapeaux français brûlés place du Capitol, à Toulouse, ou des violence ont éclaté.



 
On ne vous dira pas que dans le 93, le 77 et à Toulouse, dans le 91 et le 92, à Nanterre, ça caillasse et brule des poubelles, et que la police a ordre de pas intervenir.


Vous ne saurez pas qu’à Marseille, un cocktail Molotov a été jeté sur le commissariat du 3ème arrondissement. Ni que dans le 20ème à Paris, c’est la guerre urbaine contre les policiers : avec des tirs de mortier et plusieurs agressions contre les policiers.


Sur l’ensemble des arrondissements parisiens, ce soir, les policiers en patrouille et en intervention se font insulter. Dans le 93 ça brûle, et les policiers se font caillasser. Des effectifs de police du 92 ont essuyé des jets de projectiles.


Quelques villes du 93 brûlent, et à Saint Denis, la police se fait caillasser.


Sur les Champs Elysées, les boutiques ferment et les CRS chargent. Ça commence…


Plusieurs « jeunes » s’attaquent verbalement aux policiers à Paris, lesquels ne peuvent intervenir. Il y a des rodéos sauvages un peu partout.


Ordre a été donné aux policiers de quitter les secteurs sensibles.


 © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 20:14

Nelson Monfort : son geste cruel à l’égard d’un confrère

Auteur d’un « cambriolage du cœur »

Dans un long billet publié sur son blog, Patrick Montel accuse Nelson Monfort d’avoir délibérément détruit ses archives personnelles.
Ayons d’abord une pensée émue pour le troisième larron qui partage le bureau car il doit travailler dans une atmosphère irrespirable. Ce malheureux bûche dans le même espace que Patrick Montel et Nelson Monfort entre qui la guerre est déclarée suite à une triste histoire… d’armoire. Dans un long billet publié hier sur son blog (mais supprimé depuis), Montel, journaliste spécialiste de l’athlétisme sur France Télévisions, partage sa peine et sa révolte contre son populaire collègue Nelson Monfort.

 
À la faveur d’un réaménagement de leur bureau, ce dernier a donné l’ordre d’envoyer à la benne une armoire qui gênait l’ouverture d’une porte. Problème : le meuble contenait les archives sportives de Patrick Montel. « Mes plus précieux trésors, se lamente le journaliste dans son billet. Des images rares, des interviews de champions disparus, des reportages au long cours. Toute une mémoire athlétique compilée par strates successives depuis 1984. » Comparant l’acte à « un viol », « un coup de poignard intellectuel » et « un cambriolage du cœur », Montel raconte que Monfort, confronté à son geste, n’a manifesté aucun regret, arguant que les cassettes stockées n’avaient aucune valeur pour le service.

 
En découle une longue charge contre le plus anglophone des journalistes sportifs français qu’il dépeint comme un personnage bien moins sympathique qu’il n’en a l’air. « J'en suis arrivé à la conclusion qu'un tel comportement n'était en rien dicté par la volonté de nuire, écrit Montel. Que son attitude n'était dictée que par le confort de sa seule personne. Pour cet homme poli et avenant, les autres n'existent pas. Ils ne sont que des virtualités commodes, des miroirs dans lequel se reflète l'égoïsme monstrueux, porté à son paroxysme. Des miroirs à qui chaque fois il sert ses formules toutes faites, vides et creuses, mâtinées de louanges ou de compassion selon les cas. »

 
Pour servir son propos, il cite l’exemple d’un concert de charité auquel ils participaient et au cours duquel Nelson Monfort a été le seul à refuser d’aller rencontrer le public à l’entracte. « [Il] m'avait glissé ces quelques mots qui aujourd'hui prennent toute leur résonance, se souvient Montel. “Je ne te conseille pas d'y aller. Il convient de conserver en toutes circonstances une distance entre les hommes de télévision et leur public, sous peine de rompre le charme !” » S’il n’était jamais nommé dans le billet de Patrick Montel, Nelson Monfort a reconnu sur l’Express.fr que c’était bien lui qui était visé. Cependant, il assuré qu’il n’avait rien calculé : « C'est un geste totalement involontaire que je regrette infiniment, je n'avais aucune intention de nuire. » Il risque d’avoir du mal à en convaincre Montel.
 
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5 mai 2012 6 05 /05 /mai /2012 07:48


C’était pathétique de constater, au lendemain du premier tour, combien les commentateurs, même ceux qui font profession de politologues, ne comprenaient toujours rien à la situation de la France. Ceux qui, hier, expliquaient – et expliquent toujours – que le fondamentalisme et l’antisémitisme islamiques – jusqu’à Mérah – sont le produit du chômage, de la misère sociale ou de l’« humiliation » nous expliquent aujourd’hui que le vote FN ou  (beaucoup moins) le vote Mélenchon sont le fruit amer de la « souffrance ». 
C’est étonnant de voir combien la sociologie ou la psychologie sont devenues les instruments par excellence de l’occultation de la réalité !


C’est le signe que nous sommes dans un univers où il n’y a plus de vérité établie ni de réalité objective, comme si tout n’était que le produit d’interactions dans lesquelles plus personne n’est responsable. C’est le même stratagème qui a été utilisé depuis 12 ans pour nier l’antisémitisme derrière de pseudo tensions « inter-communautaires ».


 Or, le vote pour les extrêmes du spectre politique n’est rien de tout cela, mais l’indice d’une recomposition à venir du paysage politique. Le FN, en maintenant ses candidats aux futures législatives, pulvérisera l’UMP et favorisera l’avènement d’un inquiétant État-PS.


Quant à Mélenchon, il fera tout pour agiter la rue dans une perspective résolument anarchiste. Cette législature à venir risque fort d’être un coup pour rien, qui verra la situation se dégrader, d’elle même et indépendamment de la victoire de l’un ou de l’autre candidat, jusqu’aux prochaines élections présidentielles.


 Le problème français est autant un problème relevant de l’économie que des choix politiques erronés de ces 20 dernières années. L’unification européenne a laminé la France, un État fondamentalement national et centraliste : elle l’a non seulement empêché d’intégrer les immigrés, qui n’ont plus eu devant eux de modèle d’identification culturelle clair, de choix impératif, mais elle l’a aussi profondément vidé de son contenu et de son économie.


Les gens qui réclament de la France qu’elle reste un État providence et qui exigent en même temps le multiculturalisme et l’affaiblissement de l’État-nation sont tout simplement des irresponsables. L’État social (la sécurité sociale) ne marche que lorsque des citoyens ont suffisamment de choses en commun pour se serrer les coudes et s’entraider les uns, les autres, en cas de coup dur. 


Mais, là où il n’y a pas de communauté d’identité, de valeurs, de projet, de mémoire, il n’y a aucune raison pour qu’il y ait de la solidarité. Dans ce sens-là, le projet du PS est profondément irréaliste et voué à l’échec. Il n’y a pas de solidarité sans identité nationale, sans un minimum commun dans l’ordre des valeurs et de l’imaginaire. Le problème national de la France est ainsi central et il n’y a que des journalistes négligents pour se scandaliser que la campagne n’ait parlé que de cela au lieu de parler de la dette. Il n’y aura pas de solution à la crise économique, sans solution du problème national.


 Le slogan rabâché sans cesse du « vivre ensemble » est l’exemple même de cette mystification idéologique. Le problème n’est pas de « vivre ensemble », côte à côte, comme des étrangers, dans un supermarché de droits à géométrie variable. Cette idée fausse a englouti des sommes considérables, des budgets municipaux et régionaux. Le problème est d’«être ensemble »: être, c’est à dire partager, à la base, une même vision des choses, quitte à ce que chacune communauté lui donne sa variation spécifique. Dans tout État-nation démocratique, il y a une identité culturelle dominante qui doit être la référence déterminante de toute la société dans toutes ses différences. Sans nation, pas d’État-providence ni de solidarité universelle


Shmuel Trigano A partir d’une chronique sur Radio J, le vendredi 4 mai 2012

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