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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 18:19

 

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Comme Microsoft jadis, le moteur de recherche fait ­figure d’épouvantail. Atteinte à la vie privée, concurrence déloyale, les plaintes se multiplient. Etat des lieux.

Voilà un ramdam dont Google se serait bien passé. En février, le géant californien - 17 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2009 - a lancé Buzz, une nouvelle fonction inspirée du réseau social Twitter. Tollé immédiat des utilisateurs de Gmail, la messagerie maison : Buzz avait rendu public à leur insu tous leurs carnets d’adresses. S’il n’y avait que les atteintes à la vie privée…

Sur le terrain du business aussi, sa position hégémonique – 90% de la recherche sur Internet en France – menace des pans entiers de l’industrie. Les éditeurs l’accusent de vouloir assécher leurs catalogues. Les médias lui reprochent de faire son beurre sur leur dos. Et ses concurrents s’agacent de le voir proposer gratis des services (bureautique, système d’exploitation, vidéo…) qui, chez eux, sont payants. Faut-il pour autant le diaboliser ? Réponse en huit points.

Google lit-il nos e-mails ?

Oui, mais c’est un robot qui s’y colle. Faites le test : envoyez un e-mail à un ami abonné à la messagerie de Google, Gmail, en évoquant son prochain voyage au Japon. Comme par magie, le destinataire verra apparaître à droite de votre message une promo sur les vols Paris-Tokyo. «C’est comme si le facteur ouvrait votre courrier pour y glisser un prospectus», s’étrangle Gwendal Le Grand, de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).

Un peu exagéré : Google n’emploie personne pour lire la prose de ses utilisateurs. Ce sont des robots qui balaient les e-mails et affichent des publicités en rapport avec certains mots-clés. Enfin, pas tous : puritanisme américain oblige, Google s’abstient sur les sujets intimes, par exemple les pubs pour le Viagra. Ce business, encore marginal, ne lui rapporterait qu’une trentaine de millions d’euros par an. Mais le tarif pour 1 000 clics devrait passer de 25 à 46 centimes d’euro d’ici 2016, selon la société d’études Trefis. Prometteur, donc.

 

Nous suit-il à la trace dans la rue ?

Non, sauf si on le souhaite. Début 2009, Google a exaucé le rêve des maris jaloux en lançant Latitude, un service qui permet de localiser ses proches en temps réel grâce à la puce GPS de leur smartphone. Les défenseurs de la vie privée ont évidemment crié à Big Brother. Tout doux ! Pour être pisté par Google, il faut s’inscrire volontairement sur Latitude, puis choisir les amis à qui l’on souhaite communiquer sa position. L’entreprise a pris des gants pour amadouer un maximum de monde. Avec l’espoir de transformer ce service gratuit en espèces sonnantes et tré­buchantes. Le scénario ? Les commerçants pourront envoyer une promo sur le téléphone portable d’un quidam lorsqu’il passe à proximité de leur magasin. Difficile de faire plus ciblé comme marketing…

Sait-il quels sites on visite ?

Oui, et il conserve nos traces plus longtemps que ses concurrents. Si Google s’accroche tant à cet archivage, c’est aussi pour une question de gros sous : depuis un an, il adapte ses liens commerciaux aux requêtes des internautes. Vous cherchez souvent des sites de jardinage ? Google vous aiguillera vers des vendeurs de désherbants. Un moyen d’augmenter le nombre de clics sur ces liens, et donc le prix facturé aux annonceurs. Cette fonction est désactivable. Mais bien rares sont les utilisateurs qui savent comment procéder.Dans ses serveurs dont il refuse d’indiquer la localisation géographique, le mastodonte du Web archive pendant neuf mois toutes les requêtes tapées par les internautes.

Un énorme listing qu’il classe en fonction de l’adresse IP des ordinateurs. «On a besoin de cet historique pour améliorer la pertinence de notre moteur de recherche, mais aussi pour lutter contre les spammeurs ou les hackers, à la demande des autorités», justifie Peter Fleischer, le monsieur vie privée de Google. La Cnil trouve quand même ce délai bien long. «Bing, le moteur rival de Microsoft, ne les stocke que six mois et Yahoo! a promis de descendre à trois mois d’ici l’été prochain», précise le président de la Cnil, Alex Türk.

Viole-t-il notre droit à l’image ?

Seulement dans quelques cas.Si cette caméra agace, c’est qu’elle flashe de nombreux visages sur son passage. En théorie, ils sont tous floutés avant leur mise en ligne. Mais le logiciel n’est pas fiable à 100% et beaucoup de particuliers se sont plaints. En Suisse, les autorités estiment qu’il reste 400 000 images à corriger. «Nous atteignons 98% d’efficacité et donnons la possibilité à chacun de nous prévenir d’un simple clic, se défend Peter Fleischer, chez Google. Mais on ne pourra jamais atteindre le zéro défaut.» Un argument trop rapide pour Alex Türk : «Depuis quand tolère-t-on un service illégal sous prétexte qu’il est impossible, techniquement, de le rendre légal ?» Si la Google mobile continue de tailler la route, c’est parce que la firme compte, à terme, gagner beaucoup d’argent grâce à elle.

D’après un brevet déposé par ses soins en 2008, elle envisage d’insérer des publicités sur les photos de Street View. Déjà, à New York, elle propose aux hôteliers d’afficher leurs disponibilités et leurs tarifs sur ses cartes routières Google Maps. Moyennant paiement, bien sûr. Paul Jacobs est une célébrité en Angleterre. Il y a un an, lorsque cet habitant de Broughton a aperçu la voiture-caméra de Google Street View à l’entrée de son village, il a rameuté ses voisins pour lui bloquer le passage. Pas question de laisser passer ce mouchard sur roues, dont les clichés permettent de se balader virtuellement dans une quinzaine de pays. Fin mars, à Oldenburg, en Allemagne, les anti-Google ont été plus radicaux encore : ils ont vandalisé le véhicule dans la nuit…

 

Menace-t-il le droit d’auteur ?

 

Oui, a reconnu la justice en première instance. La révolte gronde à Saint-Germain-des-Prés. «Google doit arrêter de pirater nos livres», tempête Christine de Mazières, déléguée générale du Syndicat national de l’édition. Pirater ? Le terme est un peu fort. Sur les 12 millions d’ouvrages que Google a déjà numérisés, 1,5 million sont tombés dans le domaine public : la plate-forme Google Books a donc le droit de les diffuser intégralement sur le Web. Pour deux autres millions de livres, la société a obtenu l’accord des éditeurs et ne met en ligne que des extraits (20% du livre autour du mot-clé recherché). Restent 8,5 millions de bouquins, scannés dans les bibliothèques, sur lesquels Google flirte avec la ligne jaune.

En vertu du «droit de citation», explique Philippe Colombet, le responsable du dossier dans la filiale française, la firme publie des extraits de deux ou trois lignes autour du mot-clé recherché par un internaute. Mais le TGI de Paris ne l’entend pas de cette oreille. Saisi par les Editions de La Martinière, le tribunal a condamné cette pratique en décembre dernier. Google, qui a fait appel, ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. D’ici la fin de l’année, il lancera en France Google Edition, une librairie en ligne qui commercialisera, moyennant une commission de 37%, les ouvrages que voudront bien vendre en ligne les éditeurs.

Hormis L’Harmattan et les guides Michelin, ils sont peu nombreux à avoir sauté le pas. Et pour cause : en participant au développement de Google Edition, ils risquent d’ouvrir la voie à l’autoédition. A l’instar de certains chanteurs qui vendent directement leur album sur Internet, rien n’empêchera demain un Michel Houellebecq de publier son best-seller sur Google. Il encaisserait alors 60% du prix public de son œuvre, contre 15% environ aujourd’hui.

Va-t-il devenir notre seule source d’info ?

Non, mais il est désormais incontournable pour les médias traditionnels.Jusqu’ici, les journaux français n’ont pas osé aller au clash. Mais ils partagent les mêmes griefs. «Google fait du business sur notre dos», râle Denis Bouchez, le directeur du Syndicat de la presse quotidienne nationale. A son crédit, une étude américaine vient de montrer que 44% des visiteurs de Google News – ils sont 5,5 millions en France tous les mois – survolaient les titres de cette revue de presse sans se rendre sur les sites Web des médias traditionnels. «Chaque mois, dans le monde, nous envoyons 1 milliard de clics vers ces sites», nuance Philippe Colombet, chez Google. Le moteur de recherche assure par exemple 18% du trafic du site LeMonde.fr. Difficile de s’en passer.

Du coup, les quotidiens français préfèrent concentrer leur tir sur une autre cible : contraindre le géant de Mountain View à leur verser une petite partie de ses revenus publicitaires. Pour faire pression, ils négocient actuellement des référencements exclusifs avec Orange et Bing. Mais, en trustant près de 90% des recherches en France et en Europe, le moteur américain règne sans partage. Les Belges ont tiré les premiers. Depuis 2006, les quotidiens francophones du pays résistent à Google en l’empêchant d’indexer leurs articles en ligne dans son service d’actualité, Google News. Motif ? Le géant de l’Internet attirerait à lui du trafic et des recettes publicitaires au détriment de leurs propres sites.

Google pèse-t-il trop lourd dans la pub ?

 

Oui, et il impose sa loi. L’incident montre à quel point Google a droit de vie et de mort sur de nombreux sites, grâce à ses 90% de part de marché sur l’achat de mots-clés en France. Sa position est à ce point dominante qu’il se permettrait même de tricher avec ses clients. C’est la thèse développée par Renaud Chareyre dans un récent ouvrage, «Google Spleen». «Ils vendent leurs mots-clés selon un système d’enchères qui pousse les annonceurs à payer plus pour sortir en bonne position dans la liste des liens commerciaux, raconte ce petit patron toulousain, qui a longtemps pratiqué la chose. Mais, en réalité, c’est l’opacité totale. Le client qui met le plus au pot peut apparaître derrière un moins-disant ou ne pas figurer du tout dans la liste, sans s’en rendre compte.»

Chez Google, on assure que cette «pondération» vise à adapter les propositions commerciales aux profils des internautes. Pas clair… En février dernier, trois petits concurrents ont déposé plainte contre Google auprès de la Commission européenne pour pratiques déloyales et abus de position dominante. Et, en France, l’Autorité de la concurrence a été saisie pour avis.Jean Cherbonnier ne décolère pas. Il y a quelques mois, le site Web de sa société, Navx, a perdu du jour au lendemain plus de la moitié de son audience. Le coupable ? Google a décidé de refuser ses pubs pour des avertisseurs de radars. «Ils ont prétexté que mes produits, pourtant légaux en France, ne répondaient plus à leurs conditions générales de vente», s’emporte notre homme.

Est-ce le nouveau concurrent des télés ?

Oui, et il ne cache plus ses ambitions. Mi-mars, YouTube a diffusé en direct un match du Championnat indien de cricket. Anecdotique ? Pas tant que ça. En achetant les droits de retransmission de ce sport phare au pays de Gandhi, la plate-forme vidéos de Google a clairement montré aux chaînes de télé qu’il fallait désormais compter avec elle. Dans les années à venir, le géant californien pourrait fort bien s’inviter aux enchères sur le foot français et concurrencer ainsi Canal Plus ou TF1. YouTube a deux atouts.

D’abord, les minipubs glissées dans ses vidéos commencent à rapporter gros : 350 millions d’euros en 2009 et près de 550 millions en 2011 selon les analystes de Citi Investment. Ensuite, grâce à la généralisation des téléviseurs connectables à Internet, on pourra bientôt regarder la chaîne Google aussi facilement qu’une antenne classique. Il va y avoir du sport…

Peut-il écorner des réputations ?

Oui, car les pages Web qu’il archive peuvent être explosives. Les entreprises ne sont pas à l’abri des vicissitudes de Google. Direct Energie, Zlio ou Discounteo ont ainsi fait les frais de la fonction Suggest proposée par le moteur. Pendant des mois, les internautes qui tapaient ces marques dans la barre de recherche se voyaient proposer en complément le mot «arnaque», au motif que des requêtes de ce type avaient été effectuées auparavant par un certain nombre d’utilisateurs. Les sociétés ont porté l’affaire en justice et Google a banni temporairement le terme litigieux de sa liste de suggestions. Mais, si l’on commence par taper «arnaque», les noms de PayPal, Leboncoin.fr ou Western Union apparaissent toujours à l’écran.

De nouveaux procès en vue ? Franck R. en sait quelque chose. C’est de son ragot de 99 signes posté le 24 février dernier sur Twitter que serait partie la rumeur sur la vie privée des Sarkozy-Bruni. Devant l’ampleur prise par les événements, il pensait pouvoir disparaître du Web en fermant son compte Twitter. Peine perdue : Google permet toujours d’accéder à son message, son nom et sa photo… Le moteur propose bien un formulaire de déréférencement pour supprimer les pages Web compromettantes. Mais, dans la pratique, ce sésame est difficile à obtenir. Et le ménage peut prendre des mois.

Gilles Tanguy

 

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28 mai 2010 5 28 /05 /mai /2010 17:38
     
     
     
     
     

     

     

    Le Pew Research Center vient de publier une étude assez approfondie sur la manière dont les adultes américains utilisent Internet pour jauger leur E-Reputation. L'un des chiffres les plus notables ressortant de cette enquête est certainement celui-ci : 57% des adultes américains se sont déjà "googlés". Ce néologisme ("to google someone") signifie, au cas où vous n'auriez pas compris, taper son nom ou celui d'une personne dans le moteur de recherche Google. Voici un graphique résumant l'évolution de la chose :

    pew-chart Cette étude montre comment la gestion de son e-reputation via les moteurs de recherche à évoluer à la hausse entre 2006 et 2009 :

    • 57% des internautes adultes utilisent les moteurs de recherche pour trouver des informations sur eux mêmes contre 47% en 2006
    • 65% des jeunes internautes (18-29 ans) affirment avoir cherché des informations relatives à leur nom contre 49% en 2006.
    • 46% des internautes cherchent des noms en rapport avec leur passé, 36% en 2006
    • 38% d'entre eux ont cherché des informations sur leurs amis contre 26% en 2006
    • 44% ont fait des recherches concernant des critères professionnels (ce critère n'était pas étudié en 2006)

    Que trouvent les gens en se "Googlant" ?

    • 63% affirment trouver quelque chose de pertinent sur eux.
    • 31% disent que la plupart des résultats en 1ère page les concernent
    • 62% affirment qu'ils trouvent surtout des résultats sur d'autres personnes ayant un nom proche ou identique

     

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    28 mai 2010 5 28 /05 /mai /2010 17:14

     

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    La proposition de loi déposée par le sénateur Jean-Louis Masson a peu de chances de passer, mais elle a le mérite d'ouvrir un débat passionnant. Le sénateur (non inscrit) de Moselle propose d'obliger les blogueurs à écrire sous leur vraie identité. La proposition suscite une levée de bouclier des acteurs du web français: un appel «pour la défense du droit à l'anonymat sur Internet» a été lancé par des personnalités comme Pierre Chappaz, PDG de Wikio, Tristan Nitot, président de Mozilla Europe et Jean-François Julliard, secrétaire général de Reporters sans frontières (RSF).

    Si le débat se polarise sur la question des blogueurs, la proposition de loi est assez confuse pour englober en fait toutes les publications d'internautes sur «les services de communication au public par voie électronique», autrement dit partout sur le web à partir du moment où le contenu est public. Sur Twitter, YouTube, Doctissimo, YouPorn ou Meetic, l'internaute qui publierait des «signaux», des «écrits», des «images», des «sons» ou des «messages de toute nature» serait tenu de publier sur le site ses nom, prénom, adresse et numéro de téléphone.

    Pour bien mesurer l'impossibilité pratique de cette proposition de loi, Slate s'est amusé à imaginer à quoi ressemblerait un Internet «massonisé» après l'adoption de cette proposition de loi. L'exercice est rendu difficile par le fait que seuls les internautes français seraient soumis à ces règles sur des sites fréquentés par des internautes du monde entier. «S'agissant d'Internet, on se base sur le lieu à partir d'où le délit est commis. Par exemple, un pédophile qui héberge ses photos en Belgique reste punissable au regard de la loi Française», explique Nicolas Poirier, responsable juridique de la plateforme Overblog.

    Twitter: les mentions légales en 160 signes

    Sur le réseau de micro-blogging où règne la concision, la loi Masson devient vite ridicule. Dans les 160 maigres signes que lui octroie Twitter pour écrire sa «bio», l'internaute devrait indiquer son nom, prénom, domicile, numéro de téléphone et adresse mail valide. Il pourrait aussi «le cas échéant» désigner un directeur de la publication. Comme dans un journal où le directeur de la publication paye les frais de la diffamation solidairement avec son journaliste, l'internaute pourrait se couvrir des tweet-clashs en réquisitionnant la responsabilité juridique de ses pauvres parents.

    Reste à tout faire rentrer en 160 signes. Et à mettre de vraies informations -Twitter, start-up américaine, n'ayant guère de moyen de vérifier l'identité exacte de tous ses inscrits français. Voici à quoi ressemblerait un profil Twitter «massonisé».

     

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    27 mai 2010 4 27 /05 /mai /2010 12:40

     

     

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    Apple a temporairement ravi, mercredi, à Microsoft le titre de première entreprise mondiale de technologie en terme de capitalisation boursière, un symbole supplémentaire de la résurrection du fabricant de l'iPhone, au bord du gouffre dans les années 1990.

    En fin de séance, l'action de la firme à la pomme gagnait 1,0% sur le Nasdaq, portant sa capitalisation boursière à 225,1 milliards de dollars, devant Microsoft dont la valorisation s'établissait à 222,7 milliards de dollars, selon des données Reuters. Au même moment, l'action Microsoft perdait 2,2% à 25,50 dollars.

    L'action Apple vaut aujourd'hui dix fois plus qu'il y a dix ans, la société dirigée par Steve Jobs ayant réussi à révolutionner l'univers de la technologie grâce au lancement de produits innovants et intuitifs comme l'iPod, iPhone et le MacBook.

    Microsoft, dont le système d'exploitation équipe plus de 90% des PC, n'a, lui, pas réussi à égaler le rythme de croissance des années précédentes. Son action affiche une baisse d'environ 18% par rapport à il y a dix ans.

    La firme de Cupertino est désormais la deuxième plus importante société de l'indice Standard & Poor's-500 en terme de capitalisation boursière derrière le géant pétrolier ExxonMobil.

    Bill Rigby et Rodrigo Campos, Gwénaelle Barzic pour le service français, édité par Matthias Blamont .

     

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    22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 11:56
    On pense trop souvent qu'un bon logiciel est payant et souvent cher. La tentation est grande de vouloir se le procurer en le telechargeant ,
     
     
     
      Pourtant, il existe sur la toile des concurrents gratuits et très honnêtes de certains produits connus et reconnus.

     

    techyou+logiciels+macT

     

     

    Trop chers, n’est-ce pas, certains logiciels ? Pourtant, on aimerait tous pouvoir modifier nos photos numériques, monter nos vidéos de vacances avec un peu de style ou protéger son ordinateur sans forcément à chaque fois se ruiner dans des logiciels coûteux. Prenons Photoshop CS5, la dernière mouture du soft star de retouche photo. La licence s’élève au prix qui-pique-un-peu-quand-même de 1015,40 euros pour les nouveaux possesseurs et de 297,80 pour quelqu’un qui s’est déjà ruiné avec une version antérieure et qui souhaite se mettre à jour.

    La qualité a un prix, certes, mais la conséquence n’est pas étonnante : les versions pirates de Photoshop marchent très bien sur les réseau peer-to-peer. Il en va de même pour les antivirus, les logiciels de montage vidéo ou de gravure.

    techyou+logiciels+piratesLa plupart des utilisateurs a sûrement été au moins une fois tentée d’utiliser des moyens détournés pour installer un logiciel expert sur son ordinateur. Et même passée à l’acte, puisque la dernière étude de l’institut IDC montre que 40 % des logiciels installés l’année dernière en France l’ont été sans licence officielle.

    C’est tout de même 2,544 milliards en valeur de licence. Nous vous rappelons que télécharger un logiciel pirate peut vous coûter jusqu’à 300 000 euros d’amende et vous faire passer par la case prison pendant un an. Alors pour les frileux ou pour les curieux de nouveaux softs parfois à la hauteur

    Arrêtez de pirater Photoshop, téléchargez plutôt The Gimp !

    A l’heure de la photo numérique pour tous, la retouche des clichés est une envie qui titille forcément un grand nombre d’utilisateurs, qu’ils soient amateurs avertis ou débutant. Il faut dire que la possibilité de rattraper n’importe quelle photographie numérique peut tenter tout le monde et ce même tout le monde est loin de réussir toutes ses photos. Le grand champion dans ce domaine, c’est Photoshop, qu’on ne présente plus et sa licence ultra coûteuse. Dans le versant gratuit, le seul à pouvoir rivaliser, c’est The Gimp (pour The GNU Image Manipulation Program).

    techyou+logiciels+gimp

    Dans ses premières versions, The Gimp était surtout un tout petit utilitaire de redimensionnement d’image avec quelques filtres. Mais depuis 2 ans, le logiciel gratuit cumule les options de traficotage des fichiers image. Découper, recadrer, insérer, supprimer, saturer, monter… vos photos ne seront plus les mêmes. Gimp 2.6, la dernière version, dispose de plusieurs fichiers additionnels qui ajoute des options ou des prise en charge de fichiers, comme le RAW. Difficile de trouver des limitations par rapport à Photoshop (en prenant en compte la gratuité). Tout juste pourrait-on émettre des réserves quant à l’interface, parfois brouillonne.

    Comme pour son concurrent payant, The Gimp s’apprivoise sur la durée, le travail de retouche photo demandant un minimum d’investissement. Ne vous laissez pas intimider par l’anglais affiché sur le site de Gimp, le soft est localisé pour la France.

    Arrêtez de pirater Microsoft Office, adoptez plutôt Open Office !

    Prenez un pack Office de Microsoft, disons version 2003 pour l’interface graphique, enlevez-lui (malheureusement) le client mail Outlook et vous obtenez Open Office. Soit un pack d’utilitaires singeant assez efficacement Word, Excel ou encore Powerpoint. Il est même possible de créer des fichiers PDF.

    techyou+logiciels+openoffice

    Régulièrement mise à jour, cette suite libre éditée par Sun Microsystems est inter-compatible la plupart des éléments basiques de l’autre Office. La navigation est simple quelle que soit la fonction choisie et l’on retrouve beaucoup de similitudes, ne serait-ce que dans l’ordonnancement de certaines options, avec la suite de Microsoft.

    Arrêtez de pirater Norton et Kaspersky, prenez plutôt… l’antivirus Microsoft ou Antivir !

    techyou+logiciels+microsoft+antivirusLe monde informatique – surtout celui des « PC », la part de marché des ordinateurs Apple dans le monde étant trop anecdotique pour que les pirates du clavier y injectent  est infesté de grands méchants virus, spywares, malwares et autres chevaux de Troie malveillants.

    Pour se défendre, trois solutions : acheter un antivirus (Norton, Kaspersky, BitDeffender, MacAffee…), adopter un antivirus gratuit et libre ou tenter le surf nu et sans filet, ce qui impose une connaissance sans faille des sites potentiellement dangereux et de les esquiver.

    Ne tentons pas le diable, ni la carte bleue et passons à la protection gratuite. Certains d’entre vous sont peut-être déjà familiers avec le fameux Avast, pourtant, nous ne ferons que l’évoquer pour se concentrer sur… le dernier antivirus gratuit de Microsoft ! Security Essential, c’est son petit nom, remplace ainsi l’ancien antivirus de la firme de Redmond, Live OnCare. Un outil compatible avec Vista, XP et Windows 7, en version non piratée. Le passage à la gratuité fait perdre au logiciel la partie nettoyage de disque dur mais l’outil gagne en clarté, pour les novices.

    En analyse rapide, Microsoft Security Essentials en bien plus prompt qu’Avast, justement. Seul petit bémol, le processeur est alors sollicité à hauteur de 35 %. Attention aux analyses si vous avez des pages web ouvertes et des applications lourdes lancées, comme de la retouche photo. A noter que l’analyse des disques amovibles (clés USB, disque dur externe) est désactivée par défaut. Un tour dans les Paramètres pour l’activer et vous voilà tranquilles !

    Arrêtez de pirater Nero, optez pour Ashampoo Burning Studio !

    Est-il possible de se lancer dans la gravure de CD, DVD ou Blu-ray vierges sans activer une usine à gaz (qui a dit, entre autres, Nero ?) et, mieux encore, sans payer ? Affirmatif ! On trouve sur la toile de nombreux outils de gravure gratuit et très léger dans l’utilisation des ressources système. Nous avons choisi de mettre en avant Ashampoo Burning Studio, en grande partie du fait de son extrême simplicité d’utilisation.

    techyou+logiciels+ashampoo

    Compatible avec Windows XP, Vista et 7, Ashampoo permet donc de réaliser des projets sur plusieurs types de galettes et même sur Blu-ray, le disque haute définition allant de 25 Go à plus de 200 Go de stockage. La liste des fichiers compatibles et traités est assez exhaustive. Par exemple, pour la musique, les formats MP3, WAV, FLAC, OGG Vorbis et WMA sont pris en compte. Bien entendu, la copie directe d’un CD ou d’un DVD est disponible et Ashampoo offre aussi la sauvegarde du système dans ses options.

    Outre un éventail complet de possibilités de gravure, c’est surtout la simplicité de navigation qui séduit. Si un onglet Expert, pour une utilisation poussée des options, est disponible, les fonctions de base sont assez riches pour réaliser toute sorte de projets. L’outil n’a ainsi rien à envier à des utilitaires similaires mais payant. Certes, ces derniers vont aujourd’hui bien plus loin dans la palettes d’offres (lecture multimédia, réseau domestique multimédia, etc.) mais Ashampoo est gratuit, permet la gravure dans un large spectre et il le fait très bien.

    Ne craquez pas sur le lien peer-to-peer de Final Cut, attendez plutôt la sortie de VLMC

    Un film de vacances rempli de moments inintéressants ? C’est le moment de passer au montage vidéo pour arrnager toutes vos vidéos. Après nous avoir offert un lecteur multimédia gratuit de haute volée (VLC, avec son icône en forme de plot de circulation), VideoLan lance VideoLan Movie Creator. Compatible avec tous les OS Windows, Mac et Linux, VLMC se fait attendre depuis plusieurs mois, sa sortie officielle étant annoncée, à la base, pour février dernier pour finalement se retrouver décalée au 4 octobre prochain. Comme l’outil de lecture VLC, cet utilitaire de montage vidéo se veut simple, épuré dans sa présentation et relativement accessible.

    techyou+logiciels+vlmc

    Outre le support confirmé des fichiers haute définition, on trouve la gestion, parfois via des plug-in supplémentaires à télécharger, de 64 pistes audio mais aussi la prise en charge du même nombre pharaonique de fichiers multimédia que sur le lecteur VLC, de sources vidéo issues de You Tube, les effets 2D ou 3D ou encore l’incrustation de titres. VideoLan promet une installation ultra light, de l’ordre de 10 Mo d’espace disque. En revanche, l’installation préalable du lecteur VLC est requise pour avoir accès à VLMC. Une obligation pas forcément désagréable tant le lecteur VLC est une réussite.

     

     

    Gérard Cattan http://univers-des-news.blogspot.com/

    Gérard Cattan http://tendancedesantipodes.blogspot.com/
    Lynda Boccara
     http://tendancemagazine.over-blog.com/article-blog-tendance-blog-49648142.html



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    18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 22:22

     

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    Nous ne sommes pas certains des liens qui existent entre les produits de la mer frits et le système d’exploitation de Microsoft, mais il faut bien reconnaitre qu’ils ont signé la mise en scène et le look des services.

    L’histoire peut paraitre amusante, mais ce n’est pas une blague: Microsoft Taiwan, surfant sur le succès du burger Windows 7, a ouvert un restaurant sur le thème de Windows 7 appelé Hot Fried 77.

    Au cours des deux prochains mois, Microsoft investit le 100 Seafood —un restaurant de fruits de mer taiwanais— avec un menu spécial organisé autour de Windows 7.

    Chaque plat coûte 77$ taiwanais, soit environ 2€, et se marie parfaitement bien avec une bière Windows 7 (brasseur inconnu).

     


    Gérard Cattan  http://univers-des-news.blogspot.com/ 
     
    Gérard Cattan  http://unregarddumonde.blogspot.com/
    Lynda Boccara  http://tendancemagazine.over-blog.com/article-blog-tendance-blog-49648142.html

     

     

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    16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 11:13

    Les Etats-Unis disent stop aux Cyberattaques

     

    Le Pentagone n'exclut pas de recourir à la force armée en réponse à une attaque perpétrée contre les Etats-Unis dans le cyberespace, a affirmé mercredi un haut responsable du département américain de la Défense.

    Interrogé sur la possibilité d'une réponse armée à une agression contre les infrastructures numériques américaines, le sous-secrétaire adjoint à la défense James Miller a rétorqué: "Oui, nous devons penser à des réponses potentielles qui ne soient pas limitées au domaine informatique".

    Mais il reste à définir ce qui constituerait un "acte de guerre" dans le cyberespace, a-t-il admis lors d'une conférence à Washington.

    "Ce sont des questions juridiques auxquelles nous cherchons à répondre", a-t-il déclaré, en avouant qu'il existait "de nombreuses zones d'ombre dans ce domaine".

    "Il existe une nette différence entre du cyberespionnage et des tentatives pour dégrader et perturber nos réseaux, ou pour injecter de fausses données" dans les systèmes informatiques du gouvernement américain, a-t-il souligné.

    "Tout ce qui se passe dans le cyberespace n'est pas nécessairement un acte de guerre", a-t-il conclu.

    Mais la menace est réelle et croissante, qu'elle vienne de pirates, de groupes criminels ou de terroristes, a-t-il prévenu.

    "Au cours de la dernière décennie, la fréquence et la sophistication des intrusions dans nos réseaux n'ont cessé d'augmenter" et "nos systèmes font l'objet de milliers de tentatives d'intrusion par jour"', a-t-il assuré.

    Le Pentagone a récemment lancé un nouveau commandement militaire chargé de réagir aux attaques de ses réseaux par des pirates informatiques et mener des opérations dans le cyberespace, signe du renforcement de la lutte américaine contre les menaces informatiques alors que la Chine est régulièrement montrée du doigt dans de telles affaires.

    Fin 2009, le président américain Barack Obama a par ailleurs nommé un coordinateur gouvernemental pour les questions de cybersécurité.

    Une cyberattaque est un acte malveillant envers un dispositif informatique via un réseau cybernétique. Une cyberattaque peut émaner de personnes isolées, Kevin Mitnick étant une des plus célèbres, d'un groupe de pirates ou plus récemment de vastes organisations ayant des objectifs géopolitiques.

     

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    http://www.guysen.com/articles.php?id=12707

     

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    16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 08:09
    NFC, une révolution à portée de main
    Répétition générale avant le grand lancement : Nice sera en effet la première grande ville d'Europe à tester en grandeur nature les téléphones mobiles NFC. Ces derniers offriront bientôt des dizaines de services intuitifs et sécurisés.

     

    Grâce à la technologie NFC (Near Field Communication), le « sans contact mobile » permet d’échanger ou de collecter des informations en toute simplicité : il suffit pour cela de positionner un téléphone portable équipé à quelques centimètres d’une borne. Un mobile NFC peut servir, par exemple, de titre de transport, de billet de concert, de moyen paiement et de carte de fidélité chez un commerçant, de code d’accès à une entreprise, de lecteur d’étiquettes électroniques apposées sur un produit ou un équipement urbain, ou même de système d’échange entre deux téléphones.
    Les données stockées et les échanges sans fil sont bien évidemment cryptés, avec un niveau de sécurité identique à celui des cartes bancaires. Il est intéressant de noter que la plupart des usages restent permis même si le téléphone est en panne de batterie.

    NFC2_resizeAu printemps 2010, SFR, Orange, Bouygues Telecom, NRJ Mobile et l’Association Française du Sans Contact Mobile lanceront l’opération « Nice Ville Sans Contact », le premier déploiement pré-commercial à grande échelle en Europe. Plus de 3000 Niçois et habitants des vingt-quatre communes environnantes pourront s’équiper de mobiles NFC pour profiter de services de billettique dans les transports, de paiement chez certains commerçants et pour avoir accès à des informations culturelles. Pour vous donner une idée de ce qui sera possible, cliquez ici
    Très répandu au Japon, le « sans contact mobile » offrira de belles opportunités aux industriels européens, qui sauront proposer des services fiables, utiles et sécurisés. SFR est en pointe sur cette technologie, qui consiste notamment à équiper un téléphone d’une puce NFC et de logiciels appropriés, afin de communiquer par ondes radio à très courte portée. SFR commercialisera, courant 2010, des téléphones mobiles équipés de la technologie NFC et d’une carte SIM compatible.
    Si vous voulez en savoir plus, regardez les 2 vidéos associées à cet article.

     

     

     

    Si vous voulez en savoir plus, regardez les 2 vidéos associées à cet article.

    http://www.techyou.fr/2000/04/nfc-une-revolution-a-portee-de-main/

     

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    15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 22:57

    Plus fort que la 3G, la 4G

     

    Alors que le réseau téléphonique 3G/3G+ n'est toujours pas disponible sur l'ensemble du territoire en 2010, les opérateurs pensent déjà à la 4G pour 2011. Plus rapide, elle permet des échanges de données gigantesques et offre des perspectives sans précédents

    Le smartphone, téléphone intelligent largement répandu et congestionnant peu à peu les réseaux 3G. Pour solutionner le problème, les opérateurs appellent la 4G (ou LTE, pour Long Term Evolution) à la rescousse : plus rapide, elle ouvre de nouvelles perspectives en matière de téléphonie, de web et de services mobiles. Lancée en 2004 par SFR et Orange, la téléphonie 3G était la grande copine de la visio, cette option hors de prix qui permettant de voir son interlocuteur et obligeant à des postures pas forcément parmi les plus intuitives pour un téléphone.

    Très vite, les smartphones et la navigation web mobile se sont accaparés la technologie afin de faire transiter les données, la « data ». Année 2010, six ans après le lancement de la 3G, le réseau rapide UMTS couvre, d’après l’Arcep (L’Autorité de régulation des télécoms), entre 80 et 90 %, selon les opérateurs, des utilisateurs de téléphones mobiles.Un ratio qui revient à environ 50 % du territoire couvert.

    Plus rapide et gourmand que les capacités que lui offre le réseau 3G, le smartphone, avec l’avènement de l’iPhone et ses applications en masse et Android qui suit le même chemin (en attendant le prometteur Windows Phone 7), a besoin de tuyaux plus grands pour obtenir les infos et les données. Et ce n’est pas tout ! Avec l’apparition des clés 3G/3G+, des futurs smartbook embarquant une carte SIM 3G, le futur iPad 3G (sortie annoncée pour le 28 mai prochain), l’arrivée prochaine d’appareils photo connectés au réseau pour transférer ses clichés, la 3G n’est pas prête de souffler.

    4G = 3 x 3G+

    Avec la 4G, c’est tout l’univers de la conversation qui est repensé. Le nombre d’appels simultanés passent à plus de 200 et surtout, les appels ne passent plus par le réseau traditionnel de la voix mais par les canaux « data ». En gros, les stations encapsulent les appels et les transforment en données. Un peu comme si chaque appel était réalisé en VoIP. La conséquence ? Une qualité d’écoute et de conversation sans précédent sans pour autant perturber la partie données. Reste à savoir comment va se passer la cohabitation entre les réseaux 3G+ et 4G, même si elle devrait être plus simple que lors du passage 2G et 3G. Et surtout, quels produits seront compatibles et quand. Des tests sont réalisés un peu partout en Europe (dont la France) par les opérateurs influents et Samsung, par exemple, équipe déjà le marché scandinave d’une clé 4G (notre photo).

    Les produits, quels produits ?

    Nous aurions pu vous parler du premier terminal mobile à sortir dans le marché avec une compatibilité 4G. Le LG GW990, évoqué lors de notre visite du salon WMC de Barcelone en février dernier, vient d’être annulé… Au rayon des terminaux connus pour leur positionnement sur la 4G, il ne reste plus que le Nokia RD-3 (photo ci-contre), dont on ne sait pas grand chose, si ce n’est qu’il est effectivement paré pour la 4G LTE, qu’il possède un écran tactile coulissant accompagné d’un clavier physique.

    Finalement, ce sont bien les clés 4G qui pourraient les premières faire la promotion du LTE. Qualcomm mise gros sur l’équipement en dispositifs compatibles sur ce type de produits (ou intégrés au sein d’un netbook ou smartbook). La fin d’année devrait être le théâtre de quelques apparitions intéressantes en Métropole. Mais il faut tout de même garder à l’esprit qu’au même titre que la 3G et la 3G+ à leur lancement, plusieurs mois seront nécessaires avant d’avoir à disposition des offres et surtout des terminaux capables d’utiliser au mieux le potentiel de la 4G. Par ailleurs, avec les sommes considérables investies dans la constitution et diffusion du réseau 3G/3G+, les opérateurs vont poursuivre encore longtemps leur exploitation de la technologie, déjà dépassée, donc.

    Romain Thuret

     

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    http://www.techyou.fr/2010/05/plus-fort-que-la-3g-la-4g/

     

     

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    13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 13:25

    Microsoft met à jour sa suite bureautique Office

     

     

    LE MONDE FR avec AFP et REUTER....

    Le roupe américain Microsoft a lancé, mercredi 12 mai, la nouvelle version de sa suite logicielle Office. Ces logiciels, qui remplacent les versions précédentes remontant à 2007, ont déjà été testés dans des versions expérimentales par 8,6 millions d'utilisateurs.

    Le lancement de cette nouvelle version est stratégique pour Microsoft. Office représente environ le tiers du chiffre d'affaires de l'entreprise, mais les ventes du logiciel ont accusé un recul lors de l'exercice clos en juin 2009, et lors de chaque trimestre depuis. D'après la firme de Redmond, 500 millions d'utilisateurs ont choisi Office.

    Parmi les améliorations figurent la possibilité d'éditer des photos dans le programme de traitement de texte Word, d'utiliser la vidéo dans PowerPoint, de partager des documents et de gérer ses communications par courriels de nouvelles manières. Mais la facette la plus significative de cette mise à jour est le choix de Microsoft de se tourner vers le "cloud computing", qui permet à ses utilisateurs de manipuler des documents stockés sur des serveurs à distance.

    La version pour les entreprises est disponible mercredi, tandis que les particuliers devront attendre le mois prochain et débourser entre 119 et 499 dollars (entre 94 et 393 euros), selon les versions.

    BATAILLE MICROSOFT-GOOGLE

    Depuis quatre ans, les logiciels bureautiques sont un des fronts dans la bataille entre Microsoft et Google. "Il existe une alternative à Office 2010 ", souligne ainsi Google sur son blog officiel, le jour même des annonces de Microsoft.

    La suite Google Docs est disponible sur Internet, sans nécessité de télécharger un logiciel. Ces programmes sont gratuits pour une utilisation privée et coûtent 50 dollars (40 euros) par an à une entreprise. Google revendique 25 millions d'utilisateurs depuis le lancement de son service. Le groupe de Mountain View mise également sur l'interopérabilité avec d'autres services, tels la messagerie ou l'agenda.

    Mais si le traitement de texte, et les tableurs allégés fournis par Google peuvent séduire les particuliers, les programmes de Microsoft demeurent largement ancrés sur le marché stratégique des entreprises. Selon une enquête du cabinet Forrester, 81 % des entreprises en Europe et en Amérique du Nord utilisent Office 2007. Par ailleurs, près d'un tiers des utilisateurs d'Office envisage de passer à la version 2010 cette année.

     

    http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/05/13/microsoft-met-a-jour-sa-suite-bureautique-office_1350862_651865.html#xtor=RSS-3208

     

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