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Après la claque infligée par la R8 V10 Spyder, testée il y a quelques semaines, nous pensions qu'il serait difficile de prendre à nouveau du plaisir sur un essai. Mais chez Audi, les modèles grisants s'enchaînent au pas de course ! Dans un registre bien différent, la firme aux anneaux frappe fort à nouveau avec un coupé RS 5 qui flirte avec le sans faute. Une partition très soignée, rythmée par un rugissant V8 de 450 ch, qui s'accommode des tempos plus lents en préservant un certain confort à l'usage.
La signature RS
Pour mériter ses lettres de noblesse, le coupé allemand pioche dans la panoplie habituelle des sportives aux anneaux. A l'instar du TT RS, on trouve ici un pare-choc avant aux prises d'air plus grandes et un bouclier arrière intégrant une double sortie d'échappement et un diffuseur proéminent. La RS 5 s'enrichit même de passages de roues et de bas de caisse plus larges, d'une calandre en nid d'abeille noire mate et, cerise sur le gâteau, d'un aileron qui se déploie à grande vitesse ou par simple pression sur un bouton dans l'habitacle.
A l'intérieur, justement, l'ambiance sportive est aussi de rigueur. Mais la RS 5 garde les pieds sur terre et évite les clichés en conservant une certaine sobriété. Les monogrammes RS sont bien présents mais ne sautent pas aux yeux, l'utilisation d'aluminium reste raisonnable et les sièges sont finalement assez proches de ceux de la S5. Seul le carbone sur les contre-portes et la console centrale donne réellement le ton. On aurait d'ailleurs apprécié la présence d'un volant à jante plate. Il faudra se contenter d'un anneau tout rond...
Le calme et la tempête
Difficile d'être discret au moment d'animer le V8. Car le bloc atmosphérique de 450 ch s'époumone vigoureusement après une pression sur la clé de démarrage. Puis il se fait plus feutré au ralenti et à basse vitesse. Le secret de cette relative quiétude, c'est l'excellente insonorisation de l'habitacle qui permet de s'extraire du flot urbain sans trop malmener nos tympans. Il est même plaisant de manier cette pure sportive à un rythme tranquille grâce à l'Audi Drive Select, qui change le tempérament du coupé selon quatre modes (Confort, Sport, Individual et Auto) en jouant sur la direction, l'amortissement ou encore la réponse du moteur. Ce système permet ainsi une utilisation régulière de la RS 5, sans trop de sacrifices.
Bien sûr, au delà des 4 000 tr/min, la cantatrice chante dans un nouveau registre et les petites vocalises virent en envolées acoustiques. La boîte de vitesse 7 rapports S-Tronic à double embrayage, en bon chef d'orchestre, ponctue ce récital par d'impressionnants rugissements à chaque passage de rapport. Difficile de ne pas tomber sous le charme ! Hélas, l'appétit contenu de diva à allure modérée (10,8 l/100 km) passe du simple au double quand le rythme s'accélère. Notre moyenne pour cet essai avoisinait les 20 l/100 km...
Côté châssis, cette RS 5 se démarque de l' A5 par ses réglages de suspensions plus fermes, son assiette baissée de 20 mm ou encore ses freins en carbone-céramique optionnels au mordant rigoureux. Concrètement, le coupé fait preuve d'une redoutable efficacité et use de sa transmission intégrale à bon escient. Le système quattro s'accouple ici à un nouveau différentiel central, baptisé ''crown-gear'', qui fixe la répartition du couple à 40% à l'avant pour 60% à l'arrière en utilisation normale. Il peut également transférer 70% du couple sur l'essieu avant et jusqu'à 85% sur l'essieu arrière.
Sur les petites routes sinueuses, le résultat est sans appel : la RS 5 bondit d'épingle en épingle avec assurance. Sa direction ferme et précise fait également du bon boulot. Bref, l'allemande ne mérite aucun blâme au chapitre dynamique.
Pas plus chère que ses rivales
Sur ce segment, où règne notamment la redoutable BMW M3, la RS 5 s'invite donc avec de solides arguments. Tout d'abord son style, racé et élégant, mais aussi son comportement routier de premier ordre. Le coupé aux anneaux jouit aussi de l'argument du prix puisqu'à équipements équivalents, la sportive de BMW se monnaye 86 535 euros (80 400 euros en entrée de gamme), contre 86 350 euros pour l'Audi.
Audi lance l'ultime déclinaison de son A5. Après le coupé, le cabriolet et la virulente S5, arrive donc l'étourdissante RS 5. Au programme : une mécanique bestiale et un comportement irréprochable. Les BMW M3 et Mercedes C63 AMG n'ont qu'à bien se tenir !
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Les quartiers de Gotham City peuvent à nouveau trembler : la Batmobile est de retour ! Sauf que, cette fois, on quitte la fiction pour le réel ! Panoz crée un genre avec cette Abruzzi, mais délaisse les mitraillettes et autres lance-flammes !
Le bruit et la fureur
Si cette machine délaisse donc les armes du célèbre super-héro, elle en reprend les performances : sous le capot, on retrouve un terrifiant V8 de Corvette, annonçant fièrement 600 chevaux !
REAMS
Voilà un sigle bien obscur, mais qui détermine en fait le matériau de la carrosserie : il s’agit d’une technologie plus légère que la fibre de carbone, tout en étant plus résistante ! Cerise sur le gâteau : ce matériau est recyclable ! Il s’agit, en tout cas, d’une première dans le monde automobile !
81 exemplaires
Si le prix n’a pas encore été annoncé, Panoz indique toutefois que seuls 81 exemplaires seront produits, la production s’étalant jusque 2013 ! On est loin de la production en masse des grands constructeurs !
Don Panoz lâche un second teaser de sa nouvelle voiture, qui sera présentée au Mans le mardi 8 juin 2010.
FPRIVATE "TYPE=PICT;ALT=Panoz Abruzzi "Spirit of Le Mans", teaser 2.
L'Abruzzi "Spirit of Le Mans" vient rendre hommage à la course des 24H du Mans (J-5 avant le départ de l'édition 2010). Elle succède à l'Esperante, qui a participé plusieurs fois à l'épreuve sarthoise. Après avoir découvert un premier cliché -lire notre actualité: Panoz Abruzzi "Spirit of Le Mans"- de trois quart arrière, nous découvrons à l'image une partie du capot moteur de l'Américaine.
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Renault dévoile les premiers clichés et les premières informations concernant sa Latitude, sorte de berline haut de gamme que l'on a du mal à qualifier de " nouveauté ".
Certes, Renault n'a rien d'équivalent dans sa gamme. Mais il ne faut pas être un grand connaisseur pour reconnaître en cette Latitude une Samsung SM5 à peine retravaillée. Cette dernière a été lancée sur le marché coréen à la fin de l'année dernière. La Latitude sera d'ailleurs produite sur les mêmes lignes, dans l'usine de Busan, en Corée. Bien sûr, la conception de la Coréenne a été supervisée par Renault. Cependant, ses lignes peu osées cherchent avant tout à rassurer une clientèle très conservatrice. L'habitacle reprend quand à lui un maximum d'éléments issus des gammes Renault et Samsung. On reconnaît l'instrumentation et le haut de planche de bord de la Laguna et des boutons de la Mégane.
Avec 4,89 m de long, 1,83 m de large et 1,49 m de haut, cette nouvelle Renault affiche des dimensions similaires à celles d'une BMW Série 5. L'équipement s'annonce très riche : le constructeur évoque une climatisation tri-zone, un siège conducteur massant et un double diffuseur de parfum. Côté motorisations, la Latitude devrait recevoir un 4 cylindres 2.0 et un V6 d'origine Nissan et des motorisations diesel.
La Latitude sera officiellement dévoilée en août au salon de Moscou et devrait être commercialisée dans la foulée du Mondial de Paris (octobre 2010).
F.G.
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Pour 10 000 euros, t'as plus rien ! Faux. Nous avons recensé pas moins de 15 voitures dont le tarif se situe au dessous des 10 000 euros. Un tarif auquel vous pourrez, en prime, et sous certaines conditions, déduire la prime à la casse de 700 euros, 500 euros à compter du 1er juillet, ainsi que le bonus écologique, 500 euros maximum pour cette catégorie de véhicules en essence. A ce prix, ne comptez pas bien sûr vous payez une berline grand luxe. Mais, vous aurez déjà un large choix de citadines et de berlines compactes. Motorisation essence uniquement. Notre sélection. P.T.
Dacia Logan 1,2 16v 75
7600 euros, bonus 0
Une berline à ce prix là, qui l'eut cru ? Tête de pont de Dacia en Europe, la Logan a ouvert la voie aux autres modèles de la marque. Dernier en date, le Duster, le petit SUV qui fait un carton !
Lada Kalina 1,4 l 16V
7790 euros, bonus 0
Un tarif imbattable pour cette berline compacte avec un vrai coffre de 410 dm3. Grâce au petit bloc 1.4l, la Kalina n'est plus pénalisée par un malus. Côté consommation, comptez en moyenne 6,4 l au 100 km.
Dacia Sandero Sandero 1.2 16v
7800 euros, bonus 0
La cousine roumaine de la Clio, façon Campus, pour quasiment 3000 euros de moins en entrée de gamme. A ce prix là, ça se discute ?
Suzuki Nouvelle Alto 1.0
7990 euros bonus 500
5 portes dans une carrosserie compacte de 3,50 mètres. Une pure citadine. On aime son look. Bon point également, la consommation : 4,4l au 100 km avec le petit bloc essence de 1 litre.
Nissan Pixo 1.0l 68ch
8190 euros bonus 500
La sœur jumelle de la Suzuki Alto. Vendue en deux finitions, Visa et Acenta. La finition Acenta, qui comprend, entres autres, un lecteur CD MP3 et les vitres avant électrique démarre à 8990 euros.
Kia Picanto 1.0L essence 62ch BVM 5
8240 euros bonus 500
Comme toutes ses grandes sœurs, la Kia Picanto est garantie 7 ans. Bon à savoir : le tarif de la déclinaison diesel (1.1L Diesel CRDi 75ch BVM 5) la situe aussi juste en dessous du seuil des 10 000 euros (9 940 €)
Chevrolet Spark 1.0 16v
8690 euros bonus 100
Un design recherché et agressif pour cette petite citadine 5 portes, 5 places. On aime la modularité de l'habitacle grâce à la banquette arrière 2/3-1/3.
Fiat Panda 1.1 8v
9100 euros bonus 500
Moins rustique qu'avant, la Panda est toujours aussi économe. Comptez 5l au 100km avec le petit bloc essence de 1.1l qui, lui, permet en plus de décrocher un bonus écologique de 500 euros.
Toyota Aygo
9100 euros bonus 500
La petite sœur japonaise des Citroën C1 et Peugeot 107. La moins chère des trois, en trois portes. Comptez 300 euros de plus pour la version 5 portes.
Citroën C1 1.0i 68ch
9200 euros bonus 500
Son faible gabarit, moins de 3,5 de long, un empattement d'un peu moins de 2,35m la destine à la ville. Côté consommation, tablez sur 5,5l au 100 km en ville, son terrain de jeu. 4,5 l au 100km en cycle mixte.
Peugeot 107 1.2l 68ch Urban
9350 euros bonus 500
La plus chère des trois en entrée de gamme. Avec la finition Urban, la Peugeot 107 embarque l'ABS, deux airbags frontaux, un répartiteur électronique de freinage, une direction à assistance variable et le volant réglable en hauteur.
Ford Ka 1 2l 69 ch Trend
9540 euros bonus 100
Exit le look peu consensuel de la première Ford Ka, cette deuxième version, puise son inspiration dans le kinetic Design si chère à la marque. Lignes plus tendues, design plus dynamique… la nouvelle Ford Ka a tout pour séduire les jeunes citadins.
Volkswagen Fox 1.2 55ch Trend
9330 euros
Un design bien sage, pas de fioriture non plus dans l'habitacle pour l'entrée de gamme de Volkswagen. En finition Trend, la Fox intègre l'ABS, deux airbags frontaux, les vitres avant électriques et le verrouillage centralisé avec télécommande.
Hyundai i10 1.1 66ch
9690 euros bonus 500
On aime son habitabilité et sa modularité, avec la possibilité de rabattre les sièges arrière en 60/40, malgré ses faibles dimensions : 3,57m en longueur et 1,60m en largeur. Garantie 3 ans kilométrage illimité. Disponible en 7 coloris.
Smart 61ch Pure
9950 bonus 500
Inutile de faire les présentations, cette deuxième génération de la Smart arpente le macadam depuis le printemps 2007. La Smart a grandi : 2, 69m de long aujourd'hui pour 2,5 m pour la première génération, mais elle abrite toujours deux places.
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ZHU Wenxi, LAI Zexin, et PAN Jiazhi sont trois brillants étudiants chinois. Ils viennent d'obtenir la médaille d'Or de la meilleure création d'Avenir au premier Concours de Design Concept Car International qui s'est déroulé à Beijing.
Leur projet ? Une voiture volante, capable à la fois de se déplacer sur les routes, et de s'envoler lorsque le trafic se fait trop dense, c'est-à-dire le rêve de beaucoup de citadins. Et selon les 3 jeunes hommes, cet engin a été imaginé pour répondre aux contraintes du monde de demain : propre et pratique.
L'objet s'appelle "Yee", et il devrait beaucoup plaire aux fans de science-fiction. Et il faut reconnaître que sur le papier, c'est très impressionnant. Le "Yee" ressemble plus à une navette spatiale qu'à une voiture. La seule et unique roue arrière servirait à l'usage routier. Les hélices placées sur cette même roue permettraient de voler...
Bien sûr, la motorisation ferait appel à des énergies alternatives, notamment au solaire. Sa coque serait fabriquée à partir de matériaux recyclables.
Nous ne sommes pas prêts de la voir un jour sur nos routes (ou dans le ciel), mais reconnaissez qu'on se verrait bien aller au travail avec...
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Vous souhaitez vendre votre voiture d'occasion pour en acheter une nouvelle ? Ici, toutes nos astuces pour en tirer le meilleur prix ! Comment préparer sa voiture ? Comment fixer son prix ? Où passer son annonce ?
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Présentée l'année dernière, la nouvelle XJ a laissé dubitatifs les inconditionnels de la marque Jaguar. Logique. La grande routière, qui n'avait jamais vraiment actualisé sa garde-robe depuis sa première génération en 1968, troquait soudain ses tuniques ''so british'' pour des habits contemporains. Il faudra s'y faire, la nouvelle identité de Jaguar associe le luxe et la sportivité à la modernité. Au risque de froisser sa clientèle d'initiés, la nouvelle XJ rompt donc avec ses racines ''précieuses'' et espère, en contrepartie, grappiller de nouvelles parts de marché aux insolentes allemandes.
Un style... différenciant !
Le premier contact avec la XJ est plutôt déboussolant. La faute aux traits de la partie arrière, franchement singuliers, avec une malle de coffre carrée, des feux en boomerang et une chute de toit inclinée jusqu'à l'extrémité de la poupe. Puis, on se laisse progressivement séduire par cette élégance ''new age''. Le fleuron de la gamme Jaguar ne s'y est pas trompé : malgré le choc des générations, son capital séduction est renouvelé. Le regard médusé des badauds à l'approche de notre vaisseau confirme ce sentiment.
Quant à la partie avant, elle est davantage en phase avec la nouvelle identité de la marque, initiée par la récente XF, avec des feux allongés et un capot plongeant. L'ensemble ne manque cependant pas d'homogénéité.
C'est toujours la vie de château
Récemment passé dans le giron de l'indien Tata, Jaguar n'a pas perdu ses bonnes manières britanniques et choie ses occupants du mieux possible dans l'habitacle de sa nouvelle XJ. Sitôt installé à bord, on remarque l'instrumentation entièrement digitale aux couleurs un peu criardes, assez déroutante pour une routière de cette trempe.
Que les puristes se rassurent, la XJ offre toujours une bonne dose de raffinement à grands renforts de matériaux chics comme des boiseries, de beaux cuirs et de l'aluminium. Comme de coutume chez Jaguar, les assemblages sont rigoureux et, en prime, quelques gadgets viennent rehausser le niveau. On apprécie ainsi le sélecteur de vitesse cylindrique qui émerge de la console centrale façon XF, l'écran GPS ''double vision'' qui permet au conducteur et à son passager de voir deux choses différentes en même temps, ou encore l'excellente installation audio Bowers&Wilkins. Bref, le dépaysement est total ! Hélas, on est même un peu trop perdu et l'ergonomie n'est d'ailleurs vraiment pas son point fort. Si bien qu'il sera difficile de se familiariser avec tous les boutons du tableau de bord et autres commandes au volant.
Le diesel majoritaire en France
Sans surprise, en France, c'est le diesel qui sera majoritaire avec près de 65% des suffrages. Il s'agit d'un 3.0 V6 développant 275 chevaux à 4 000 tr/min, déjà vu à l'identique sous le capot de la XF. Il sied néanmoins très bien à cette limousine en se montrant performant mais surtout très silencieux, même sur autoroute. Accouplé à une boîte automatique vive et aux 6 rapports très bien étagés, le V6 turbocompressé offre une souplesse appréciable et un sacré répondant grâce au couple de 600 Nm, disponible à 2 000 tr/min. Côté consommation, Jaguar annonce une moyenne de 7 l/100 km. Néanmoins, il n'est pas facile de descendre sous la barre des 9 l/100 km.
Pour les puristes, l'offre essence n'a pas été sacrifiée. La XJ propose ainsi un 5.0 V8 de 385 ch et une version suralimentée culminant à 510 ch.
Surprenante bourgeoise
Au poste de conduite de cette XJ, on remarque tout d'abord la formidable assise. Confortables et offrant un très bon maintien, les sièges remplissent parfaitement leur tache, aussi bien pour les longs trajets tranquilles qu'à rythme élevé. A l'arrière, l'espace aux jambes n'est pas colossale avec le châssis ''standard'' mais le confort y est irréprochable. Pour prendre davantage ses aises, autant opter pour la version longue, à l'empattement augmenté de 12 cm.
Une fois le mode Drive du sélecteur de vitesse enclenché, la routière de 5,12 mètres s'élance avec l'aisance d'une citadine. La direction onctueuse et la bonne visibilité offerte permettent de se dégager sans peine des petites rues parisiennes. Les suspensions actives réglées sur le mode ''normal'', le confort est tout à fait convenable
Quand la route se dégage, on passe en mode ''sport'' et l'excellent amortissement révèle alors une autre facette en gommant tout roulis et en maîtrisant avec aisance les changements d'appuis. La XJ se transforme en sportive, sans sacrifier le confort à bord. Les passagers regretteront cependant l'absence de poignets de maintien. Petit bémol également pour la direction, entachée par le volant trop grand et une assistance électronique trop prononcée. Rien de rédhibitoire...
78 000 euros pour l'entrée de gamme
Bien armée pour tacler les BMW Série 7, Audi A8 et Mercedes Classe S, la Jaguar XJ aimerait bien démocratiser son image. Tranchant avec le passé, elle s'ouvre à de nouveaux horizons sans pour autant renoncer à ce qui a fait sa renommée, à savoir : un style unique, des moteurs performants et un raffinement de salon anglais. Bien sûr, comme ses rivales, elle fait payer assez cher ses prestations. Pour notre version d'essai, comptez au bas mot 78 000 euros avec le niveau de finition d'entrée de gamme. Quant à l'exclusive mouture 5.0 Supercharged, elle s'échange contre 140 850 euros. Pour le châssis long, il faudra en moyenne ajouter 4 400 euros supplémentaires.
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Zoé Renault est une étudiante parisienne de 23 ans. Et elle n'a pas envie de voir rouler dans les rues une voiture qui s'appelle comme elle, à savoir la future berline électrique de Renautl, la Zoé
L'avocat de l'étudiante, David Koubbi, annonce avoir envoyé le 17 mai une lettre recommandée au PDG de Renault, Carlos Ghosn, lui demandant de tout simplement renoncer à l'utilisation du prénom "Zoé" pour sa future voiture électrique qui arrivera en 2012.
Zoé Renault redoute en effet les railleries et les blagues qui pourraient être faites à l'égard de son prénom.
L'avocat précise que "c'est une mise en demeure avec un délai d'un mois. A l'expiration de ce délai, Renault sera assigné".
David Koubbi déclare défendre également les droits plusieurs personnes prénommées Zoé et l'Association de de défense de nos prénoms."Nous indiquons à Renault que l'ADNP, Mlle Zoé Renault et d'autres porteurs du prénom Zoé s'opposent farouchement à l'utilisation de Zoé pour un modèle automobile. Il existe une frontière évidente entre le vivant et l'inerte" ajoute-t-il.
Un porte-parole de Renault a répondu : "Les appellations de noms de voitures sont déterminées par des comités d'appellations. Des prénoms utilisés dans d'autres domaines que l'automobile, il y en a pléthore", a-t-il ajouté. "+Zoé+ n'est pas sorti comme ça d'un chapeau. Pour nous, c'est un véhicule qui a des valeurs positives, une image positive. Le Z et le E de +Zoé+ (font référence) à zéro émission".
On se demande bien comment cette histoire va se terminer. Renault investit des millions en marketing pour communiquer sur ses modèles électriques. La direction va-t-elle prendre le risque de changer le nom ?
Rappellons que Renault souhaite vendre plus de 100.000 Zoé en Europe chaque année dès 2012.
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On n'est jamais trop prudent. Voilà ce que pourrait être le slogan publicitaire vantant les mérites de la Knight XV, mastodonte hyper blindé et hyper luxueux. Pour qui ? Pour quoi ? Explications.
La société Conquest, installée à Toronto, a donc imaginé la voiture ultime pour transport hyper sécurisé. La Knight XV est basé sur un Ford F550 pick-up et utilise un moteur V10 de 6,8 litres de 500 ch qui peut être démarré à distance. Poids : 5,5 tonnes. Et on comprend vite pourquoi à la lecture de la fiche technique de la bête.
La Knight XV est en effet blindée partout, partout, partout… de la carrosserie aux vitres ne passant par le plancher, la limousine est censée pouvoir résister à des attaques à la grenade et à l'arme lourde. Des tests ont été réalisés : la voiture peut résister à un assaut armé pendant 24h. A noter également que les pneus résistent aux flammes et que même crevés, le véhicule peut encore rouler.
A l'intérieur, c'est luxe ! Cuir, équipements high tech dernier cri et gadgets en tout genre. Dernier petit détail, il faudra débourser près de 380.000 euros pour l'obtenir. Oups.
La Knight XV devrait faire le bonheur, un peu partout dans le monde, des personnalités soucieuses de leur sécurité, des zones de guerre aux zones people…
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