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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 18:53

 

Berlusconi rencontre Sarkozy: et si, plutôt que de se fâcher, on critiquait l'Europe, comme d'habitude?

 

 

SA.jpg 

Je me lève
et je te bouscule

 

Tout a commencé après la révolution du jasmin/Facebook/en Tunisie. Malgré le triomphe (encore tout relatif, les choses avancent lentement) de la démocratie en Tunisie, les candidats à l'exil ne sont pas moins nombreux en Europe. Nombre de jeunes Tunisiens, fuyant des perspectives économiques toujours aussi sombres tentent leur chance, et finissent sur l'île de Lampedusa. 25.000 immigrés sont arrivés en Italie, environ 2800 en France depuis février. Le gouvernement italien aide ces migrants en leur délivrant un titre de séjour provisoire, et en leur payant le billet de train pour Vintimille, s'ils veulent se rendre dans un autre pays de l'UE, comme le signale La Croix.

Tu ne te réveilles pas
comme d'habitude

 

Le gouvernement français, dont la spécialité est de faire feu de tout bois sur l'immigration, sonne le tocsin contre l'invasion. S'en suivent des incidents diplomatiques évités de peu avec l'arrêt des trains à la frontière italienne, des critiques à peines voilées de porte-flingue de la droite (Christian Estrosi: "c'est facile pour l'Italie d'être généreuse avec le territoire des autres").

Sur toi je remonte le drap
J'ai peur que tu aies froid
comme d'habitude

 

Le ton monte des deux côtés des Alpes: Paris envisage de revoir les accords de Schengen, signés en 1985, qui prévoient la libre circulation dans l'espace des pays signataires. En Italie, le président de la région de Venise envisage de boycotter les produits français. On envoie pas le Charles-de-Gaulle à croiser dans les eaux internationales près de Rome, mais le coeur y est presque.

Ma main caresse tes cheveux
Presque malgré moi
comme d'habitude

 

Au lieu d'aller au clash, Français et Italiens ont travaillé tout le week-end. La président italienne a même précisé que Silvio Berlusconi a passé tout le week-end "sur ces dossiers" dans sa villa de Sardaigne, relève Libération. Uniquement sur ces dossiers. Côté français, Henri Guaino a été envoyé en opération déminage: la plume du Président a rappelé qu'il n'avait jamais été question de dynamiter Schengen, mais plutôt de revoir les clauses d'exclusion. En gros, les prétextes pour ne pas appliquer cette libre circulation. L'article 2.2 de la convention prévoit que pour des raisons de sauvegarde de l'ordre public, un pays peut s'abstenir d'accueillir tout le monde... mais sans distinction de nationalité, notent Les Echos. Une mesure anti-immigrés tunisiens serait discriminatoire (cela dit, la Commission Européenne avait estimé jeudi dernier que Paris avait le droit de bloquer les trains depuis l'Italie, en raison de la présence de quelques manifestants d'extrême-gauche dans les wagons).

Comme d'habitude,
toute la journée
Je vais jouer
à faire semblant

 

Conclusion: plutôt que de s'écharper sur des questions d'immigrations, alors que les deux chefs d'Etat sont au plus bas dans les sondages (Berlusconi a des élections locales cruciales sur le feu dans un petit mois), autant mettre l'Europe au pied du mur, en lui demandant notamment de renforcer la surveillance des frontières. Un ministre italien estime dans Le Parisien: "l'immigration ne peut pas être gérée par 27 stratégies différentes".

Sources : La Croix,  Libération,  Le Parisien,  Les Echos   

 

 

http://www.lepost.fr/article/2011/04/26/2476880_berlusconi-rencontre-sarkozy-et-si-plutot-que-de-se-facher-on-critiquait-l-europe-comme-d-habitude.html#xtor=EPR-344-[NL_1144]-20110426

 

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 13:39
 

ISRAEL :Les fameuses frontières de 1967..

par Alain Legaret

 

http://alainlegaret.blogspot.com/2011/04/les-fameuses-frontieres-de-1967.html 

Tous ceux qui s’occupent de vouloir fixer des limites à l’Etat d’Israël pour lui coller un état palestinien qui ne sera en rien démocratique comme ils osent le prétendre, utilisent un jour ou l’autre l’expression qui présente l’état palestinien dans « les frontières de 1967 ».
Remarquez que la phrase n’est jamais finie. Les frontières de 1967 oui, mais de quel pays au juste ?

La méthode est malhonnête parce qu’elle laisse entendre q’un état palestinien existait avant 1967 et qu’il a été occupé par Israël, faisant de l’Etat juif une puissance impérialiste et colonialiste d’un état souverain.
Or si les médias malhonnêtes ne précisent pas à quels pays appartiennent ces frontières, on doit dire ici même aux lecteurs la vérité, la seule véritable et vérifiable partout sauf chez les émules des nouveaux nazis, à savoir qu’en 1967, les frontières étaient entre Israël, et ses voisins la Jordanie, l’Egypte, le Liban et la Syrie.

D’Etat palestinien, il n’y en avait point. Mais comme c’est Israël qu’on veut clouer au pilori, tous les moyens sont bons pour le rendre coupable aux yeux des lecteurs.

Ce que l’on appelle couramment aujourd’hui les « territoires palestiniens occupés », ont été curieusement appelés « territoires palestiniens occupés » que depuis qu’Israël les a conquis à l’Egypte et à la Jordanie lors de la guerre des six jours en 1967.

Pourquoi n’étaient-ils pas appelés palestiniens quand ils étaient sous domination égyptienne et jordanienne ?
Pourquoi n’étaient-ils pas considérés occupés ?

Il faut chercher dans le « manuel du petit antisémite déguisé en antisioniste » pour y trouver sa réponse. Et apparemment, ce manuel fait fürher, dans les chancelleries et les rédactions du monde, y compris chez certains qui se présentent comme les « amis » d’Israël pour mieux le trahir.

Aujourd’hui, dans une interview de Mahmoud Abbas , président illégitime des Palestiniens puisque son mandat de président s’est terminé en 2009, que de nouvelles élections n’ont pas eu lieu depuis de peur de les perdre devant le Hamas, mais qui continue d’être reconnu par la communauté internationale tant qu’il peut nuire à Israël, le Figaro pousse encore le bouchon un peu plus loin dans l’accusation d’Israël.
Il pose la question suivante : « vous comptez obtenir, en septembre, à l’assemblée générale des Nations Unies, une reconnaissance internationale de l’Etat palestinien, dans SES frontières de 1967 ».

Le Figaro, parle de l’Etat palestinien et de SES FRONTIERES DE 1967, inventant du coup un état qui n’a jamais existé, et présentant de fait Israël comme coupable d’occuper un pays souverain. Alors que les salauds précédents avaient au moins la pudeur de laisser la phrase incomplète, laissant à l’imagination du lecteur-futur-antisémite le soin de voir en Israël un occupant, le Figaro, lui, emporté par son phantasme de culpabiliser l’Etat Juif, fait du révisionniste et transforme l’histoire.

La faute n’est pas tant à faire porter par les seuls journalistes-propagandistes. La responsabilité de donner au public des fausses informations, pour les orienter vers une haine d’Israël revient aussi aux politiques qui côtoient et se font interviewer par ces mêmes organes de presse, leur donnant ainsi une certaine légitimité. Le mensonge devient alors la règle.

Israël est une fois de plus diabolisé, comme on diabolisait les Juifs dans les années 30.

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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 11:44
 

 





C'est la pire vidéo que j'ai vu ... C'est ATROCE, Que des balles dans la tête, c'est de la boucherie; des enfants ; des jeunes; des adultes; tout le monde y passe...

 
MALGRE CA LES MANIFESTANTS RECLAMENT UNE REVOLUTION PACIFIQUE !

DIFFUSEZ CETTE VIDEO A TOUT LE MONDE, ne rompez pas la chaine s'il vous plait...
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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 07:37

Au nom de qui ? par Josiane Coeijmans

photo_lesbienne_noir_blanc1041.jpg

Auteur Josiane Coeijmans

Au nom de qui ?

Cette femme pleure,
ses larmes n'ont de cesse tel que
les remarques désobligeante dont elle est infligée.
Elle est homosexuel et le vie pleinement,
elle assume sa vie dans un bonheur complet.

Mais pourtant

Les mentalités aiment à jouer les démons,
ceux qui vous pourrissent la vie et vous mènent au désespoir.
Ses gens vivant dans leurs carcans
avec des visières sur les yeux fermer par des aprioris
et qui vie par leurs images nocives et colporte cela sans honte à tout vent

Au nom de qui et de Quoi !

Aucun dieu n'a crée l'homme à une image précise
selon un code d'appartenance ,ni d'une image précise
Homosexualité qu'on le veuille ou pas
à toujours exister !

Je dit à ses gens qui font souffrir les autres,
de revoir leurs livres d'histoires et de religions.

La terre ne les à pas attendu pour crée le mot , tolérance
en tous domaine et pour tous !

Le bonheur est dans le cœur, ont dit que l'amour à ses raisons que la raisons
ignore

A méditer !

Création©Jo.Coeijmans

http://tendancedesantipodes.blogspot.com/

http://univers-des-news.over-blog.com/

 

 

 

 

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 21:04

Entretien. "Rompre avec l'idéologie victimaire" en matière d'immigration.

Malika Sorel : "Sur l'intégration, la France fait trop de concessions" Malika Sorel

« La France, la patrie dont je ne saurais déraciner mon cœur. J ’y suis né, j’ai bu aux sources de sa culture. J’ai fait mien son passé, je ne respire bien que sous son ciel, et je me suis efforcé, à mon tour, de la défendre de mon mieux. » En exergue du blog qu’elle tient sur Internet, Malika Sorel a fait figurer cette citation de l’historien Marc Bloch. Membre du Haut Conseil à l’intégration (elle y a été nommée par décret du président de la République en septembre 2009), Malika Sorel-Sutter vient de publier Immigration-Intégration, le Langage de vérité (Mille et Une Nuits).

Française d’origine algérienne, elle a passé les dix premières années de sa vie en France. « C’est là, dit-elle, que les graines de l’intégration ont été semées, à l’école, par la culture, ma rencontre avec la littérature. » Ingénieur de formation, elle est diplômée de l’École polytechnique d’Alger et d’un troisième cycle de gestion de Sciences Po Paris. Elle a travaillé dans l’industrie et fait « du placement d’ingénieurs » dans le secteur des hautes technologies. « Je connais bien, dit-elle, les processus de recrutement et les procédures d’insertion au sein des entreprises. »

 

En 2008, elle a plaidé contre l’inscription du concept de diversité dans le préambule de la Constitution devant le comité chargé d’y réfléchir, que présidait Simone Veil. Dans son livre, comme dans le précédent (le Puzzle de l’intégration, paru en 2007), Malika Sorel-Sutter aborde “en expert” ce sujet controversé, en fondant ses conclusions sur sa connaissance du terrain et sur les travaux de nombreux sociologues. Entretien.

 

Dès le début de votre livre, vous distinguez l’insertion de l’intégration. En revanche, vous parlez peu d’assimilation. Pourquoi ? Les mots sont importants. L’insertion, c’est l’obligation de respecter les normes collectives d’une société, les règles du “bien-vivre ensemble”, même si l’on ne partage pas la même culture. C’est ce que font les expatriés français à l’étranger, par exemple. L’intégration, c’est plus profond : c’est le fait de se sentir concerné par une communauté de destin avec les Français. Cela se traduit, concrètement, par la transmission à ses propres descendants des fondamentaux qui composent le noyau identitaire français, ce que l’on nomme le legs ancestral. C’est un long processus qui, lorsqu’il réussit, aboutit à l’assimilation, concept qui a été victime d’un procès en sorcellerie tout à fait injustifié !

 

Beaucoup affirment que l’intégration des immigrés se fait mal parce qu’ils sont discriminés. Vous dites, au contraire, qu’elle se fait mal car ils sont victimisés. Qu’entendez-vous par là ? Nous ne portons pas le même regard sur les immigrés africains que sur les Européens arrivés ici avant eux. Avec les Italiens, les Polonais, les Portugais, la France était exigeante, et elle avait raison de l’être. Elle ne l’est plus avec les nouveaux venus.

Pourquoi ? Une frange de notre élite intellectuelle, minoritaire mais puissante, présente encore les immigrés d’Afrique et du Maghreb comme des victimes de la colonisation, envers qui la France aurait une dette inextinguible… Elle clame que les nouveaux migrants sont discriminés, et ceux qui osent les contredire sont aussitôt embastillés dans la case “raciste” ! Or la victimisation est catastrophique : la culture de l’excuse déresponsabilise les étrangers installés en France. Nous ne les incitons pas à faire les efforts nécessaires à la réussite dans notre société. Pis, nous multiplions en leur faveur les dispositifs dérogatoires au droit commun, nous négocions nos valeurs, nous transigeons. Sous la pression d’une minorité “bien-pensante”, nos dirigeants, droite et gauche confondues, ont renoncé à transmettre à ces populations les codes indispensables à leur intégration. Nous laissons s’implanter en France des communautés revendiquant des privilèges et s’excluant elles-mêmes de la nation. Ce qui, finalement, ne satisfait personne : ni les immigrés, convaincus qu’ils sont discriminés parce qu’on le leur répète, ni les Français, qui souffrent de ces désordres.

 

N’a-t-on pas raison, cependant, de parler de discrimination à l’embauche, par exemple ? Une erreur cent fois répétée ne devient pas une vérité. Des études le prouvent, comme celle de Jacqueline Costa-Lascoux, ancien membre du Haut Conseil à l’intégration : elle a assisté à des centaines d’entretiens d’embauche, qui ont été filmés. Les jeunes immigrés sont surtout victimes de leur comportement : ils ne savent pas quelle attitude adopter devant l’employeur. C’est logique : ils n’ont pas été éduqués dans le respect de la société française puisqu’on leur a dit qu’ils avaient “le droit à la différence”… Quand ils regardent le film de leur entretien, ils admettent eux-mêmes qu’ils n’auraient jamais recruté un candidat se comportant comme eux ! Parler de discrimination est abusif. Savez-vous combien l’État et les collectivités locales ont dépensé pour la rénovation urbaine ? 42 milliards d’euros sur dix ans : c’est le montant du plan Borloo. Des sommes considérables ! Sans compter les effets pervers d’une solidarité nationale mal comprise, coûteuse et d’autant moins efficace qu’on a laissé prospérer dans certaines cités une économie parallèle fondée sur la drogue et le travail au noir. Résultat : les jeunes de ces quartiers prennent pour modèles de réussite des trafiquants dont les profits sont considérables. Loin d’affranchir les habitants de ces quartiers, la solidarité nationale finit par entretenir leur assistanat.

 

N’est-ce pas aussi parce que leurs parents – qui, souvent, ne parlent pas français – sont dépassés par la situation ? Encore une idée fausse ! Les Polonais, les Russes, les Portugais ne parlaient pas non plus français en arrivant en France. Simplement, ils ont laissé les enseignants assumer leur mission. Des chercheurs, dont Nicole Mosconi, ont bien montré que, pour réussir à l’école, l’enfant devait choisir entre la figure parentale et celle de l’instituteur. Et c’est aux parents de l’aider à choisir le maître – c’est-à-dire la culture française, celle de l’école de la République : l’élève doit prendre le pas sur l’enfant. Ce n’est pas facile, c’est vrai, mais n’est-ce pas le but de toute éducation ? C’est ce qu’ont fait les immigrés européens, et ce que ne font plus les nouveaux arrivants. Au contraire, ils dissuadent souvent leurs enfants d’adopter des comportements qui leur sont étrangers. Ils ne sont pas inactifs, non : ils transmettent leur culture et empêchent les instituteurs de transmettre celle de la République. C’est l’une des raisons de l’échec scolaire de ces enfants, puis de leur difficulté à trouver un emploi.

 

Vous insistez dans votre livre sur le respect de la laïcité. L’échec de l’intégration n’est-il pas aussi lié au fait que l’islam, par nature, ignore la distinction entre le temporel et le spirituel ? Ce n’est qu’un aspect du problème. La difficulté est surtout d’intégrer à la nation des personnes qui ne sont pas libres de leurs actes car elles n’existent, culturellement, qu’au sein d’un groupe. De ce point de vue, le communisme soviétique, bien qu’athée, était aussi contraignant que l’islam ! Même si les immigrés européens, de culture chrétienne, étaient plus proches des Français, ramener le débat à l’islam me paraît restrictif et périlleux. De quel islam parlons-nous ? Les querelles sont nombreuses entre musulmans. L’islam arabe n’est pas le même que l’islam africain, celui des Algériens n’est pas celui des Tunisiens. Et comment distinguer l’islam de l’islamisme ? N’entrons surtout pas dans ce jeu ! Il faut rester concentré sur la culture française et sur ses exigences propres.

 

C’est pourtant le cas : les pouvoirs publics veulent mettre en place un “islam de France”. Cette expression est aussi dangereuse que floue. Si l’on veut dire que l’islam est aussi français, donc que la France est une terre d’islam, alors les musulmans sont fondés à négocier toujours plus de dérogations à la loi commune, toujours plus de droits, et c’en est fini de l’intégration ! Si l’on prétend faire émerger un islam des Lumières, au motif qu’il serait “de France”, cette tentative est vouée à l’échec. Penser que l’Europe pourrait organiser l’islam est d’une naïveté consternante. Voyez l’échec du Conseil français du culte musulman : ses membres ne cessent de sequereller ! Se placer du point de vue de l’islam, c’est commettre une double erreur : c’est renvoyer les immigrés à leurs origines, donc favoriser l’emprise du groupe alors qu’il faudrait les en libérer et, ce qui me scandalise, c’est engager une politique d’accommodements dont la France ne peut que souffrir. À ce propos, les statistiques ethniques, si elles étaient mises en place, feraient peser de lourdes menaces sur notre cohésion nationale. Comment des responsables politiques français peuvent-ils oser faire de la France leur variable d’ajustement ? C’est à la France de dire aux nouveaux venus ce qu’elle attend d’eux et de sanctionner les comportements contraires aux normes collectives françaises. C’est le vivre-ensemble qui se joue désormais.

 

Le Haut Conseil à l’intégration, dont vous êtes membre, a souligné que l’école était soumise à d’intenses revendications communautaires. Dans un entretien à la Revue parlementaire, Luc Chatel dit qu’il ne partage pas la “vision pessimiste” du HCI. Que lui répondez-vous ? Nous n’inventons rien : ni le rejet de la langue française, ni la contestation des cours d’histoire et de biologie, ni les revendications de repas halal… Quant aux chiffres 2005 de l’Insee, ils sont accablants : sur les 150 000 élèves qui sortent du système scolaire chaque année sans diplôme, les deux tiers sont issus de l’immigration. Est-ce le signe d’un progrès de l’intégration ? Depuis trente ans, on dit aux Français : “Ne vous inquiétez pas, tout va s’arranger !” Et l’on attend d’eux qu’ils revoient leurs revendications à la baisse. Pourquoi ? Parce qu’il est moins coûteux d’imposer ces concessions aux Français que le respect des principes républicains aux personnes issues de l’immigration. Je le dis clairement : les hommes politiques ont peur de la violence qu’une telle exigence pourrait déclencher. Qu’on se rappelle les émeutes de 2005 ! Les Français, eux, se contentent de s’abstenir dans les urnes…

 

Vous affirmez que les dirigeants politiques ont renoncé à transmettre aux immigrés l’amour et le respect de la France. Comment en est-on arrivé là, selon vous ? L’idée de nation s’est progressivement effacée : conversion de la gauche à la construction européenne à partir de 1984, puis à la mondialisation dans la décennie suivante ; progrès des idées libérales et du libre-échange au sein d’une droite auparavant dominée par le général de Gaulle ; pressions sur la droite et sur la gauche des milieux patronaux, partisans d’une immigration de maind’oeuvre bon marché. À quoi s’ajoutent les revendications des nouveaux venus, pris en main par un réseau d’associations dont toutes les actions sont relayées par les médias… Tout cela a joué. Le fait aussi que nos élites n’aient plus d’ancrage culturel a favorisé ces abandons. La culture qu’avaient de Gaulle et les hommes de sa génération leur permettait de résister à la tyrannie du quotidien, des sondages et du court terme. Ils savaient se projeter au-delà des échéances électorales. Aujourd’hui, des avocats, des commerciaux, des énarques occupent la scène. Des hommes qui ont remis à l’Europe le destin de la France et n’ont aucune envie d’en reprendre les commandes, alors qu’il faudrait pratiquer, comme de Gaulle, la politique de la chaise vide pour ramener Bruxelles à la raison.

 

La droite affirme cependant sa volonté de maîtriser les flux migratoires à nos frontières. Claude Guéant dit même qu’il faut réduire l’immigration légale. Et il a raison ! Mais il est aussitôt contredit par Christine Lagarde et par Laurence Parisot, la présidente du Medef, pour qui l’économie française ne pourrait pas tourner sans immigration nouvelle !

Ce n’est pas vrai ? Mais non ! Notre politique de l’emploi est aberrante. La France vient d’adopter une directive européenne dont le but est d’« attirer les ressortissants de pays tiers aux fins d’emplois hautement qualifiés ». Or de nombreux diplômés français s’exilent chaque année à l’étranger, où leurs talents sont reconnus. Mieux vaudrait endiguer la fuite de nos cerveaux ! Autre exemple : la signature en 2008 d’un accord d’immigration entre la France et le Sénégal. Il s’agit d’ouvrir le marché du travail français aux ressortissants sénégalais dans cent huit métiers, dont beaucoup ne sont pas très qualifiés : des emplois qui pourraient trouver preneurs en France, à niveau de compétence égal ou moyennant la formation de chômeurs.

 

On estime à 4 millions le nombre des demandeurs d’emploi, si l’on tient compte des chômeurs qui ne sont pas inscrits à Pôle emploi et des salariés à temps partiel subi. Peut-on tout à la fois supporter la charge du chômage et recourir à une immigration de travail massive ? Ce n’est pas seulement une question financière, c’est une question de dignité : priver d’emploi des hommes et des femmes capables de travailler, c’est les condamner à l’exclusion sociale.

Vous évoquez un risque de “libanisation” de la France. Que proposez-vous pour l’éviter ? Les solutions se déduisent du diagnostic. Il est impératif de réduire les flux migratoires, dont l’importance nuit à l’insertion des immigrés installés en France. Il faut aussi responsabiliser les parents de ces familles, dans l’intérêt de leurs enfants et de la France.

 

Quelques chiffres : officiellement, il y a 200 000 entrées nouvelles en France chaque année. S’y ajoutent 80 000 à 100 000 clandestins par an : c’est Nicolas Sarkozy qui l’a dit en 2006 devant le Sénat. « La proportion de jeunes issus de l’immigration atteint 37 % en Île-de- France, 23 % en Alsace, 20 % en Rhône- Alpes », écrit la démographe Michèle Tribalat. En Seine-Saint-Denis, un jeune sur six est originaire d’Afrique subsaharienne. Et l’on n’aurait pas le droit de se demander si la France peut encore accueillir de nouveaux immigrés ?

On émet le voeu pieux, et totalement stérile, de “déghettoïser” alors que l’on sait pertinemment que cela n’est plus possible du fait du fort taux de natalité et des flux migratoires, et que, par ailleurs, les migrants eux-mêmes cultivent l’entre-soi et refusent de plus en plus de respecter le cadre culturel français. Donc réduire l’immigration de travail, mais aussi les entrées pour raison familiale, est une urgence. Aujourd’hui, l’un des principaux motifs d’immigration est le mariage.

 

Que les mariages mixtes se multiplient, n’est-ce pas l’indice d’une intégration croissante des immigrés ? Non, car ces mariages ne sont mixtes qu’en apparence. Dans la plupart des cas, il s’agit d’unions entre deux conjoints dont l’un est français de fraîche date et l’autre arrive de l’étranger où la famille est allée le chercher. Il ou elle ne parle pas français, ou mal. Son conjoint reste culturellement étranger… Si la France n’attribuait pas aussi généreusement la nationalité française, on ne parlerait pas de mariage mixte.

Vous voulez dire qu’il y a trop de naturalisations ? En septembre 2010, le ministre de l’Immigration – c’était alors Éric Besson – se félicitait en commentant le chiffre des naturalisations (80 175 durant les huit premiers mois) que « ces résultats placent la France en tête des pays européens pour l’acquisition de la nationalité ». Il indiquait ensuite qu’il souhaitait faire signer aux étrangers naturalisés une « charte des droits et des devoirs du citoyen » les engageant à être « fidèles aux valeurs de la France ». C’est-à-dire que l’État accorde la nationalité française à des personnes dont il n’est pas encore certain qu’elles soient véritablement intégrées… L’octroi de la citoyenneté française doit venir valider la réussite du processus d’intégration, qui conduit à l’assimilation. Prétendre que l’on peut être français sans être porteur de l’identité française est mensonger, comme il est mensonger d’affirmer qu’octroyer le droit de vote aux étrangers favoriserait leur intégration. Le taux d’abstention est extrêmement élevé parmi les populations issues de l’immigration.

 

Vous dites aussi qu’il faut responsabiliser les parents. Comment ? Ce sont eux qui détiennent les clés de l’insertion. Il ne faut pas hésiter à les sanctionner quand leurs enfants commettent des délits. Dans ces familles, les mineurs sont éduqués dans le strict respect qu’ils doivent à leurs parents. La mère occupe d’ailleurs une position sacrée. En cas de mauvais agissements de leurs enfants, il est donc indispensable que les parents soient placés face à leurs responsabilités. Qu’ils soient astreints, par exemple, à financer les réparations en cas de dégradations. Cela inciterait les enfants à ne plus récidiver et enclencherait un cercle vertueux. La sécurité ne pourra s’obtenir qu’en agissant sur les familles.

 

J’insiste aussi sur la responsabilité des parents vis-à-vis de l’école. L’enseignant ne peut pas tout, il est souvent désarmé face aux incivilités qu’il subit dans sa classe. Aujourd’hui, l’école n’est plus en mesure d’assumer sa mission et, pour moi, c’est un problème de fond. Il est impératif que les pouvoirs publics la préservent des revendications communautaires et sanctionnent les parents des élèves qui ne respectent pas leur maître.

Nous devons rompre avec l’idéologie victimaire qui inspire toute notre politique d’intégration, et qui a échoué. Remettons les choses à l’endroit : le point de départ de cette politique, ce doit être la France, ce qu’elle exige, et non les immigrés, ce qu’ils revendiquent. On ne la fera pas respecter en méprisant son histoire. La France fait beaucoup pour les étrangers qu’elle accueille. Les Français ne sont pas racistes ! Finissons-en avec la repentance ! On demande aux peuples européens de disparaître ; c’est une entreprise terrifiante !

 

Il serait temps que nos dirigeants politiques s’en rendent compte avant que des troubles majeurs n’éclatent. « Dieu, a écrit Bossuet, rit des hommes qui déplorent les conséquences dont ils chérissent les causes. » Propos recueillis par Fabrice Madouas

 

Immigration-Intégration : le Langage de vérité, de Malika Sorel, Mille et Une Nuits, 288 pages, 18 €.
Le blog de Malika Sorel : www.malikasorel.fr

À lire également sur valeursactuelles.com :
Trilogie, par Guillaume Roquette

 

http://www.valeursactuelles.com/dossier-d039actualité/dossier-d039actualité/malika-sorel-quotsur-l039intégration-france-fait-trop-de?sms_ss=facebook&at_xt=4db292f26051bb02%2C0

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 19:35

Les troupes syriennes appuyées par des chars et des blindés sont intervenues lundi à Deraa afin de mater la contestation contre le régime née dans cette ville du sud du pays, faisant au moins 25 morts, selon des militants des droits de l'Homme, tandis que les Etats-Unis envisagent des "sanctions ciblées".

Le régime du président Bachar al-Assad semble avoir opté pour la solution militaire pour étouffer le mouvement de contestation sans précédent qui secoue son régime depuis six semaines, en dépêchant des milliers de ses troupes à Deraa, à 100 km au sud de Damas, ainsi que dans d'autres villes du pays.

Les Etats-Unis envisagent d'adopter des "sanctions ciblées" à l'encontre de hauts responsables syriens en réponse à l'usage "absolument déplorable" de la violence par Damas contre les manifestants dans le pays, a déclaré lundi un haut responsable américain.

Washington réfléchit à plusieurs possibilités, "y compris des sanctions, pour réagir à la répression et montrer clairement que ce comportement est inacceptable", a déclaré Tommy Vietor, porte-parole du Conseil de sécurité nationale.

"La violence brutale employée par le gouvernement syrien contre son peuple est absolument déplorable et nous la condamnons avec la plus grande fermeté", a-t-il répété.

La Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'Homme, Navi Pillay, a demandé de son côté "l'arrêt immédiat des tueries en Syrie", jugeant "inacceptable" la "réaction violente" du gouvernement à des "manifestants pacifiques" et appelant les autorités à appliquer les "réformes promises".

Au lendemain d'une journée sans incidents à Deraa et sous le couvert de la nuit, plus de 3.000 soldats et autres forces de sécurité appuyés par des blindés et chars ont pénétré dans cette ville agricole de 75.000 habitants, selon des militants joints au téléphone par l'AFP à Nicosie.

Ils tiraient "dans toutes les directions et avançaient derrière les blindés qui les protégeaient", a déclaré à l'AFP un militant Abdallah Al-Hariri. D'après lui, l'électricité a été coupée et les communications téléphoniques étaient quasi impossibles.

"Au moins 25 martyrs sont tombés, tués par les tirs et le pilonnage à l'artillerie lourde contre les habitations et les quartiers" qui se poursuivaient dans l'après-midi, a déclaré un autre militant sur place, Abdallah Abazid. "D'autres corps gisent toujours dans les rues".

Selon lui, la ville a été soumise dès les premières heures du matin "à un pilonnage intensif à l'artillerie lourde et aux mitrailleuses", qui s'est poursuivi dans l'après-midi, tandis que des tireurs étaient postés sur les toits.

Cinq des morts "étaient dans une voiture qui a été criblée de tirs", a expliqué un témoin. "Les forces de sécurité sont entrées dans les maisons. Ils tirent sur ceux qui sortent de chez eux".

Après l'intervention de Deraa, près de la frontière jordanienne, la Syrie a fermé ses frontières terrestres avec le royaume, a annoncé un ministre jordanien. Une information démentie par les autorités syriennes.

D'autres militants syriens ont fait état d'opérations des services de sécurité à Douma, à 15 km au nord de Damas, et à al-Maadamiyeh dans la banlieue de la capitale.

 

"La situation est dramatique" à Douma, ville de 600.000 habitants, a affirmé un témoin. Des patrouilles des forces de sécurité "empêchent les gens de sortir de chez eux, même pour acheter du pain". Les écoles sont fermées et les fonctionnaires sont restés chez eux.

"Les obsèques de jeunes tués vendredi et samedi n'ont même pas pu se dérouler", selon ce témoin.

Parallèlement, les autorités ont procédé depuis vendredi, jour d'une importante mobilisation des contestataires et d'une répression qui a fait plus de 80 morts, à une vague d'arrestations dans plusieurs villes dans les rangs des militants opposés au régime.

Selon Wissam Tarif, qui dirige un groupe syrien de défense des droits de l'Homme, "Insan", 221 personnes ont disparu depuis ce jour en Syrie.

"Il est clair que les autorités syriennes ont pris la décision d'une solution militaire et sécuritaire", a déclaré à l'AFP Rami Abdel Rahmane, président de l'Observatoire syrien pour les droits de l'Homme.

Jeudi, M. Assad avait levé l'état d'urgence en vigueur depuis près de 50 ans et annoncé une série de réformes importantes. Mais il a persisté dans la répression des manifestants, faisant depuis vendredi environ 160 morts selon des militants et ONG internationales.

Les contestataires, rassemblés au départ pour exiger la levée de l'état d'urgence, la libération des détenus politiques ainsi que la fin de la mainmise des services de sécurité sur la société et de la suprématie du parti unique Baas, réclament depuis quelques jours la chute du régime.

Depuis le début de la contestation, quelque 390 personnes ont été tuées, selon un bilan compilé par l'AFP à partir de bilans d'ONG étrangères et de groupes de militants syriens.

 
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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 18:21
 
L’aventure aux quatre coincoins du monde...

 

Par EDOUARD LAUNET

La police de Yorkville, près de Chicago, s’est fait dérober un lot de 2.500 petits canards en plastique jaune, du genre que l’on fait flotter dans son bain. L’événement tragique a eu lieu fin mars, alors que la police s’apprêtait à organiser sa kermesse annuelle avec un traditionnel«Duck Pluck», sorte de tombola où chacun achète un petit canard en espérant tirer le bon numéro. Or donc les coincoins se sont fait la malle dans des conditions mystérieuses, en tout cas non élucidées à ce jour. Quelques-uns ont été retrouvés le long de la route reliant Yorkville au village voisin de Sandwich, sur à peu près 16 km. La police souhaite ardemment récupérer les autres, appelant la population à lui signaler tout fugitif.

Le canard de bain est une créature qui semble dotée d’une véritable autonomie. La dernière fois que ce volatile s’est signalé à l’attention des médias, c’était en 2003 : on venait d’en retrouver un sur la côte des îles Hébrides, au nord-ouest de l’Ecosse. Fait insignifiant en apparence, événement stupéfiant en réalité : le petit canard jaune provenait d’une fortune de mer qui s’était produite dans le Pacifique onze ans auparavant. Le 10 janvier 1992, un porte-container avait en effet perdu une cargaison de 29 000 jouets en plastique de fabrication chinoise, soit une vaste population de canards jaunes, de tortues bleues et de grenouilles vertes.

Périple

Ces flotteurs quasi indestructibles ont alors commencé un immense périple. 19.000 d'entre eux ont été récupérés sur les côtes d’Amérique du Sud, d’Australie et d’Indonésie. Mais un nombre non négligeable d’individus ont réussi à s’évader vers l’Atlantique en passant par les eaux arctiques. Vers l’an 2000, des canards de bain étaient signalés sur les plages du Maine et du Massachusetts. En 2003, à près de 30 000 km du lieu de leur plongeon initial, les petites bêtes attaquaient les îles britanniques par le nord. En 2007, elles devaient croiser au large des Cornouailles. On a peu d’informations sur les tortues et les grenouilles, sans doute parce que leur couleur a rendu leur navigation plus furtive.

 

Ce voyage circumterrestre a passionné les océanologues, devenus terriblement coincoinophiles depuis. Et le lâcher de canards est devenu un des outils de la science ambitieuse. Chacun peut simuler cette expérience dans son bain. Avec un gros tas de mousse, modelez de massives Amériques. Répétez l’opération avec l’Asie, l’Afrique et l’Europe. L’Antarctique et l’Océanie sont facultatives. Demandez à la fille ou au garçon qui partage votre baignoire de rester immobile quelques instants, c’est-à-dire d’oublier la savonnette qui est tombée au fond ainsi que toute partie de votre anatomie qu’il/elle aurait empoigné par erreur dans le même mouvement. Posez votre canard au milieu de votre mer intérieure. Laissez-le dériver longtemps en notant ses évolutions : cap, vitesse, destination.

 

Lorsque la police de Yorkville fera irruption dans votre salle de bains, levez les mains bien haut et rendez-vous sans résistance.

 

 

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 16:39

FOOTBALL LIGUE 1 COUPE DE LA LIGUE

Jean-Claude Dassier 
En bref - L’essentiel de l’info

 

Le président de l'OM, Jean-Claude Dassier, est revenu en direct sur RTL ,sur le comportement du défenseur Taye Taiwo. Après la victoire de l'OM en finale de la Coupe de la Ligue contre Montpellier (1-0), le Nigérian, unique buteur de la rencontre, avait lancé un chant hostile au PSG "Les Marseillais montent à Paris pour enc... le PSG". Le président a expliqué que le joueur s'était "rendu compte de sa stupidité dès son retour au vestiaire" après le match et a assuré qu'il enverrait "un mot d'excuse à Robin Leproux dès demain matin (mardi)". Sur la question d'une possible sanction du club marseillais après le comportement du joueur, Jean-Claude Dassier a répondu : "Il s'est sanctionné tout seul. Je ne vais pas faire la double peine".

Le public de l'OM semble apprécié la sortie musicale de son latéral gauche



Une autre vidéo de Taiwo chantant son "amour du PSG", en mars dernier, après la victoire de l'OM face au PSG au stade Vélodrome :



Taiwo s'excuse mais risque une suspension

Avec la menace d'un suspension et d'un enquête de la LFP, Taye Taiwo n'a pas tardé à demander pardon pour son comportement. «Je veux m'excuser pour ce que j'ai pu chanter au micro du Stade de France samedi soir. Tous mes partenaires m'ont dit que ce n'était pas bien d'avoir fait ça, que cela leur faisait mal au coeur. Moi aussi, maintenant, je me sens mal d'avoir fait cela. J'étais euphorique, nous venions de gagner et nous chantions, c'était la fête... Je m'excuse encore une fois», a expliqué le Nigérian sur le site officiel de Marseille

Alors qu'il reste 7 matches pour un sprint final qui pourrait mener l'OM vers le doublé Coupe -Championnat, cela pourrait être dommageable.

"La LFP a décidé d'ouvrir une enquête suite au comportement de Taye Taiwo à l'issue de la finale de la Coupe de la Ligue entre Marseille et Montpellier", a fait savoir la Ligue dans un communiqué adressé à l'AFP.

"La Ligue transmettra les éléments du dossier au conseil national de l'éthique (CNE) pour d'éventuelles suites à donner", poursuit la LFP.

Taiwo était surement euphorique après avoir offert la victoire à l'OM face à Montpellier, synonyme de deuxième succès de rang en Coupe de la Ligue.

Leproux veut des excuses

Le président du Paris SG Robin Leproux a déclaré dimanche qu'il attendait "des excuses" de la part de Taye Taiwo et de l'Olympique de Marseille, après le chant hostile au PSG entonné par le latéral marseillais après le succès en finale de la Coupe de la Ligue samedi.

"Je suis consterné et affligé. Dans le contexte d'opposition que je voulais uniquement sportif entre les deux clubs, ce n'est franchement pas intelligent. J'ai téléphoné à Jean-Claude Dassier (président de l'OM) ce matin pour lui demander des excuses et une position du club", a déclaré M. Leproux dans un communiqué publié sur le site officiel du Paris SG.

"Il ne faut pas mettre la poussière sous la moquette, mais immédiatement réagir. Ce qui s'est passé hier soir est extrêmement grave. Attendons de voir ce que va faire la Ligue, mais j'attends avant tout les excuses du club et du joueur", a-t-il ajouté.
 
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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 12:59
 

 
Je vous présente le nouveau fer à repasser Tefal.
C’est un apareil utra performant de dernière génération !

Avant d’être repasser ce modéle était en mauvais état !
Observez ce resultat parfait !

Tout en sachant de quoi nous sommes parti...
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Vraiment,, Tefal fait des miracles !

 

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 11:25
Le Seder de Pessah par un ténor sur la musique de "O Sole mio"..C'est top !  
 

O SOLE MIO EM RITMO DE PESACH. SÓ ASSISTINDO PARA ACREDITAR!!!
I am sure you will love this Happy pesach to all Go have a look at
El Seder de la Pascua por laa tenor en la música de "O Sole Mio" .. Eso está bien!

 

 

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