Jérusalem et les magiciens
Coupe de France - Le spécialiste (PSG ) et l'ambitieux(LOSC )....
"PARIS A L'EXPERIENCE, LILLE A TOUT"
C'est toujours la même chose quand une équipe affronte le PSG en finale de la Coupe de France. Elle se retrouve face à un club considéré comme "le spécialiste" d'une épreuve qu'il a remporté à huit reprises et dont il est le tenant du titre. "Quand les joueurs arrivent ici, ils connaissent le palmarès en Coupe et se sentent imprégnés d'une mission. Ils ont peut-être une attitude différente", avance Antoine Kombouaré dans une analyse du phénomène qui diffère de celle de Mickaël Landreau.
. "Paris a une telle pression qu'il a encore moins le droit de passer à la trappe. Ce n'est pas une question de tirage. Paris fait de bons parcours parce qu'ils ont cette pression de devoir passer des tours", estime l'ancien Parisien, aujourd'hui à Lille. A la limite, cette réussite du PSG en Coupe de France ressemble à un piège pour le club de la capitale face au leader du championnat en quête de doublé, comme le souligne Antoine Kombouaré. "On a l'expérience, mais Lille est devant nous en championnat, ils ont la meilleure attaque, ils sont sur une série de six matches sans défaite. Les chiffres parlent. Ils ont tout", insiste l'entraineur parisien.
QUI VA S'APPROPRIER LE STADE DE FRANCE ?
Entre le PSG et le Stade de France, c'est une histoire d'amour qui dure depuis longtemps. En 1998, le club de la capitale avait remporté les deux premières finales disputées dans l'enceinte de Saint-Denis, celle de la Coupe de la Ligue face à Bordeaux (2-2, 4-2 t.a.b.) puis celle de la Coupe de France face à Lens (2-1). Au total, Paris a disputé huit finales au Stade de France. Il en a remporté cinq, dont la finale de la Coupe France l'an passé face à Monaco (1-0 a.p.). L'équipe francilienne y est très à l'aise, et sait comment aborder les matches dans ce cadre exceptionnel. "Il faut prendre ses repères, c'est très important. Il faut se sentir chez soi, c'est déjà un grand pas pour se concentrer juste sur le jeu", explique Antoine Kombouaré. Mais le Stade de France n'est pas non plus étranger aux Lillois, qui y avaient notamment disputé leurs matches de Ligue des Champions en 2005/2006 et y avaient battu Manchester United (1-0). C'est en tout cas l'avis de Rudi Garcia. "On connait bien le Stade de France, presque plus que le PSG", a lancé l'entraineur lillois. Si Paris a l'habitude de ce contexte, Lille parait aussi avoir les moyens de s'en accommoder.
DU SPECTACLE, VRAIMENT ?
De l'avis de nombreux observateurs, la finale mettra aux prises deux des plus belles équipes du championnat. Deux des meilleures attaques de Ligue 1 (la première avec 62 buts contre la cinquième avec 55), deux des meilleures défenses (la deuxième avec 32 buts contre la cinquième ex-aequo avec 37), des joueurs de talents (Hazard et
Nenê notamment)... Tout semble réuni pour assurer le spectacle. Sauf que les acteurs du match ne semblent pas forcement de cet avis. "Espérons que ce soit un beau match.
Ça se jouera sur un détail", prédit Rudi Garcia. Mais ce sont les Parisiens qui se sont montrés les plus réservés. "Il n'y a pas beaucoup de buts dans les finales", a d'abord rappelé Claude Makelele. Pour le capitaine du PSG, les statistiques du championnat ne voudront d'ailleurs plus rien dire sur la pelouse du Stade de France. "C'est différent du championnat, rappelle-t-il. Une finale, c'est ne pas prendre de but et en marquer un de plus". Ça a le mérite d'être clair. Mais pour Antoine Kombouaré, l'enjeu n'est pas là. "La manière importe peu, l'essentiel est de gagner", dit-il. C'est bien connu, on se souvient seulement du nom du vainqueur.
LANDREAU, LE FACTEUR X ?
"On espère ne pas aller en prolongation, comme le PSG". Rudi Garcia veut sans doute éviter d'accumuler de la fatigue avant de retrouver la course pour le titre. Le PSG, qui vise une place en C1, aussi. Mais les Parisiens pourraient également être bien inspirés d'éviter une séance de tirs au but face à Mickaël Landreau. Si Antoine Kombouaré ne veut pas "se focaliser sur un joueur", le gardien reste un spécialiste de l'exercice. Il s'est d'ailleurs échauffé mardi dernier en stoppant un penalty face à Saint-Etienne, son premier en L1 depuis son arrivée au LOSC. Sans doute un signe. Et malheureusement pour les deux équipes, quatre des sept derniers matches de Lille en Coupe de France sont allés aux tirs-aux-buts... Autre clin d'oeil, après avoir sorti son club formateur en 8e de finale (1-1 a.p., 3 t.a.b à 2), l'ancien Nantais pourrait boucler la boucle en crucifiant le PSG, où il a évolué de 2006 à 2009. Des retrouvailles qu'il aborde sereinement. "On est toujours rattrapé par des signes et des émotions exceptionnelles. Je le vis comme ça", assure le double vainqueur de l'épreuve (1999, 2001) avant de rappeler : "L'issue ne sera belle que si on soulève la Coupe." Le jour de ses 32 ans, cela pourrait être sa "dernière Coupe de France". Une finale qui semble taillée pour lui.
Vincent BREGEVIN et Anthony PROCUREUR / Eurosport
http://fr.sports.yahoo.com/13052011/70/coupe-de-france-le-specialiste-et-l-ambitieux.html
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Tract antisémite distribué à l'Université Libre de Bruxelles en toute impunité ...
"Toi Juive, Toi Juif, d'Ici et de Partout ... Peuple de Juifs, Peuple de Veaux, le Dieu d'Israël n'est pas le Dieu du Gouvernement d'Israël"
Stéphane Hessel était en Belgique "à l'invitation de l'Université Libre de Bruxelles (où il a donné une conférence triomphale) et du Centre d'action laïque" [1] le 11 mai. La presse francophone s'est quais unanimement prosterné devant "le Monument", "l'homme multiple" et "homme de son siècle", comme le désigne La Libre Belgique.
Nous apprenons que, pendant que se déroulait cette si brillante conférence, un tract antisémite intitulé "Israël: cancer du colon" et signé Maurice de Toledo [!] a été distribué en toute impunité. Le distributeur était très visible (grande barbe) et se tenait seul à l'entrée de l'auditoire du Janson, au sein même des bâtiments de l'ULB. Quoi de plus banal ...
"Le peuple juif, en revenant en Israël, a accompli sa "sortie d'Europe". Je veux dire: grâce au rétablissement de son État, il a cessé d'être dépendant spirituellement des nations européennes dans lesquelles il vivait ou vit encore.
C'est l'issue d'une très longue séquence historique. Ce n'est pas seulement la conséquence de la destruction des Juifs d'Europe; c'est aussi la suite de l'effacement de soi auquel les nations européennes travaillent depuis vingt ans avec un zèle qui étonne. Étant ainsi "sorti d'Europe", le peuple juif invite l'Europe à dire son nom. Il lui demande son nom."
(Pierre Manent, La raison des Nations)
Gonflé !
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Mouammar Kadhafi probablement blessé, dit Rome, Tripoli dément..
TRIPOLI (Reuters) - Malgré le démenti de Tripoli, le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, a réaffirmé vendredi que Mouammar Kadhafi avait probablement été blessé par des raids de l'Otan et qu'il ne se trouvait sans doute plus dans la capitale libyenne.
"J'ai tendance à donner du crédit aux propos de l'évêque de Tripoli, Mgr (Giovanni Innocenzo) Martinelli, qui est en contact étroit (avec le dirigeant libyen), quand il nous dit que Kadhafi a probablement quitté Tripoli et qu'il a sans doute également été blessé. Nous ignorons où et comment", a déclaré le chef de la diplomatie italienne à la presse.
Depuis le début des opérations de l'Otan, Mgr Martinelli s'est montré critique envers la stratégie occidentale, affirmant que de nombreux civils avaient trouvé la mort lors des raids de la coalition.
Le porte-parole du gouvernement libyen a aussitôt réagi en qualifiant ces propos d'"absurdes".
"(Kadhafi) a le moral, il dirige le pays jour après jour. Il n'est pas du tout blessé", a indiqué Moussa Ibrahim.
Interrogé sur le démenti de Tripoli, Frattini a maintenu ses propos.
Alimentant les doutes sur son propre sort, le colonel Kadhafi ne s'est pas montré en public depuis un raid mené le 30 avril par l'Otan à Tripoli, dans lequel ont péri son plus jeune fils, Saïf al Arab, et trois de ses petits-enfants.
Les autorités libyennes avaient alors accusé l'Alliance atlantique d'avoir tenté de l'assassiner.
L'Otan, qui a pris le commandement des opérations militaires le 31 mars, a démenti prendre pour cible Kadhafi ou sa famille, assurant que les raids aériens visaient des objectifs militaires situés dans le même quartier de Tripoli que le complexe où vit le dirigeant libyen.
DOUTES SUR L'AUTHENTICITÉ DES IMAGES
La télévision libyenne a diffusé mercredi soir des images de Kadhafi tournées, selon elle, dans la journée lors d'une réunion dans un hôtel de Tripoli avec des chefs tribaux. Il portait un burnous et une coiffe sombres et des lunettes de soleil.
Dans une interview publiée sur le site internet du Corriere della Serra, Frattini a mis en doute l'authenticité de ces images.
"Je doute fortement que ces images aient été filmées ce jour-là et surtout qu'elles aient été prises à Tripoli", a-t-il dit.
"Il y a des personnes sur le terrain qui connaissent la situation (...) Parmi elles, Mgr Martinelli qui était et est toujours en contact étroit avec le régime", a-t-il ajouté.
"La pression internationale a poussé Kadhafi à chercher refuge dans un endroit sûr. J'ai tendance à croire qu'il a fui Tripoli mais pas la Libye", a ajouté Frattini.
Un responsable du centre des opérations de l'Otan à Naples a rappelé la ligne observée par l'Alliance en Libye, qui consiste à ne pas viser des individus lors des raids aériens.
"Nous ne pouvons pas vérifier cette information puisque nous n'avons aucun moyen de retracer les déplacements (de Kadhafi)" a-t-il dit. "Nous ne sommes pas présents sur le sol libyen."
Mgr Martinelli a quitté Tripoli pour Tunis, a indiqué l'évêché de Tripoli.
Joseph Logan avec Paolo Biondi en Toscane; Jean-Philippe Lefief, Henri-Pierre André et Marine Pennetier pour le service français...
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Tel Aviv : "le Miami du Proche-Orient"
vendredi 13 mai 2011, par
Ces dernières années la réputation touristique d’Israël n’est plus seulement liée à son patrimoine historique et religieux. La mer Morte ou Eilat attirent déjà depuis quelques décennies des nombreux adeptes du soleil et les villes de la côte font le bonheur des estivants. La ville la plus prisée et la plus recommandée en ce moment par les spécialistes mondiaux du tourisme est sans aucun doute Tel Aviv.
La première ville hébraïque se voit à la régulièrement dans le top 10 des cités les plus attractives de la planète. La semaine dernière le célèbre site HotelsCombined.com avait classé Tel Aviv en 9ème position parmi les villes touristiques les plus torrides : "La ville qui ne s’arrête jamais accueille certaines des boîtes de nuit les plus chaudes du Moyen-Orient" pouvait-on lire. Il y a quelque mois Lonely Planet avait classé Tel Aviv en troisième position dans son top 10 après New York et Tanger.
Cette semaine c’est le site très populaire AskMen qui place la Cité Blanche en 13ème position de son très prisé classement des 29 destinations "les plus chaudes" du moment devant Berlin ou encore San Francisco. Le magazine en ligne fait l’éloge des plages de Tel Aviv, de sa promenade, de son architecture Bauhaus mais surtout des magnifiques jeunes filles qui "font aujourd’hui sa réputation dans le monde de la mode". Le site recommande très chaudement cette destination à tous les célibataires et qualifie Tel Aviv de "Miami du Proche-Orient".
AskMen évoque les soirées particulièrement réussies et les nuits chaudes de la capitale des loisirs d’Israël. Les boîtes de nuit sont pleines à craquer et la musique est particulièrement branchée. Les jeunes du monde entier sont de plus en plus nombreux à s’y rendre pour faire la fête et la réputation de Tel Aviv comme ville qui ne s’arrête jamais n’est désormais plus à faire. Enfin, le site recommande aussi cette destination pour ces très bons restaurants et cafés en vogue.
Tel Aviv est aussi la capitale gay du Proche-Orient et les sites touristiques de la communauté homosexuelle la recommandent vivement au même titre que Barcelone, Ibiza ou encore Berlin. La gay parade et les soirées à thème qui se dérouleront début juin devraient cette année encore attirer des gays du monde entier. Depuis deux ans, le ministère des Affaires étrangères en lien avec celui du Tourisme ont lancé une vaste campagne internationale pour encourager le tourisme gay en Israël en ventant surtout les charmes de Tel Aviv. La municipalité elle-même encourage fortement ce tourisme généralement "pro-israélien" et particulièrement dépensier.
Mais comment peut-on être aussi « con » ?
Et comment tant de commentateurs, comment telle éminence de telle commission parlementaire, tels ministres ou anciens ministres, comment le Parti socialiste, bref, comment tant d’esprits raisonnables peuvent-ils accueillir comme une bonne nouvelle, un bon signe, comme la réunion trop longtemps différée d’un peuple trop longtemps divisé, cette réconciliation
qui est, en réalité, une catastrophe ?
C’est une catastrophe pour Israël qui voit remise en selle une organisation dont le mode d’expression diplomatique privilégié consiste, depuis son putsch de 2007, à tirer des missiles sur les civils de Sderot [NDRL - et tout le sud d'Israël] et qui, il y a tout juste un mois, faisait tirer sur un bus scolaire à l’arme antichar Kornet.
C’est une catastrophe pour le président de l’Autorité palestinienne
Mah'moud Abbas qui vient de ruiner en quelques instants, le temps d’un paraphe au bas d’un accord auquel lui-même ne croit peut-être pas, tout le crédit politique et moral qu’il avait pu accumuler en tenant bon, depuis des années, face à un Hamas classé « organisation terroriste » par tout ce que le monde compte, Union européenne et Etats-Unis en tête, de voix autorisées ; le voilà revenu, Mahmoud Abbas, au pire temps des pires doubles langages, quand Yasser Arafat, d’une main, déclarait « caduque » la charte de l’OLP et, de l’autre, en sous-main, encourageait les attaques terroristes diverses et variées.
C’est une catastrophe pour le peuple palestinien lui-même – mais peut-être nos grands réconciliateurs, ces amis du peuple palestinien qui savent mieux que les Palestiniens eux-mêmes ce qui est bon pour eux, n’en ont-ils cure ? –, c’est une catastrophe, oui, pour ce million et demi de
Gazaouisqui vivent sous la loi d’un parti, non seulement terroriste, mais totalitaire, ennemi des femmes palestiniennes (ces « usines à hommes », selon l’article 17 d’une charte qu’il faudrait tout de même que l’on se décide enfin à lire…), tueur des libertés et des droits palestiniens (articles 24 et 27, entre autres) et qui a fait le choix de se battre jusqu’à la dernière goutte de sang du dernier Palestinien vivant plutôt que de se joindre à des « conférences internationales » qui ne sont que « perte de temps » et « activités futiles » (article 13 de la même charte).
C’est une catastrophe pour une paix dont il est faux de dire qu’elle était au point mort : une majorité d’Israéliens, tous les sondages l’attestent, y étaient et y sont prêts ; un nombre grandissant de Palestiniens n’en pouvait, et n’en peut, plus de servir de carburant à une très ancienne machine à haine et sont disposés à contrer, en échange d’un Etat viable, le jusqu’au-boutisme de leurs chefs ; et voici que tout cela tombe à l’eau avec la réhabilitation du seul parti qui, dans l’affaire, proclame (article 7, toujours, de sa charte) que « l’accomplissement de la promesse » ne viendra pas avant que « les musulmans » aient, non seulement « combattu », mais « tué » tous « les juifs ».
Et puis c’est une catastrophe, enfin, pour un
printemps arabe dont il n’échappe à personne qu’il est, aussi, un champ de bataille idéologique où s’affrontent deux types de forces : d’un côté, le courant démocratique et libéral, adepte des droits de l’homme, tenant d’un islam modéré ; de l’autre, les vieux crabes de l’islamisme radical, les tyrannies d’hier et avant-hier – l’increvable mouvement des Frères musulmans créé en 1928, en Egypte, dans la foulée de l’hitlérisme naissant et dont le Hamas est, aujourd’hui, la branche palestinienne. Comment ne voit-on pas que, dans ces conditions, cet accord « historique » est une régression préhistorique ? Comment ne comprend-on pas que cette fraternisation à grand spectacle est une insulte à tout ce que les insurrections récentes ont pu apporter de neuf à un monde arabe tenu sous le joug – une insulte aux jeunes de la place Tahrir du Caire qui manifestèrent, pendant des semaines, sans qu’apparaisse l’ombre d’un slogan antioccidental, antiaméricain, anti-israélien ? une insulte aux insurgés de Benghazi qui se battent pour une Libye qui cessera d’être la deuxième patrie, qu’elle fut sous Kadhafi, pour tout ce que le monde compte de négationnistes, de tueurs de juifs, de terroristes ; un crachat à la face des centaines de Syriens massacrés, depuis mars, par le meilleur ami du Hamas ? une offense à Mohamed Bouazizi, le jeune Tunisien par qui tout a commencé et dont je ne sache pas qu’il se soit immolé « en solidarité avec les djihadistes de 1936 » (tiens, tiens, 1936… la même charte du Hamas, article 7 – suivez mon regard…).
Alors je sais bien que l’on nous dit : « attendez, vous verrez, laissez du temps au temps, c’est en remettant les fascistes dans le jeu, c’est en les considérant, en les flattant, qu’on parvient à les modérer et, à terme, à les bonifier ».
Oui. On verra bien. Sauf que la seule chose que l’on ait vue pour le moment, le premier geste fort qu’aient fait, au lendemain de cet accord honteux, les aspirants à la bonification, a été de condamner l’élimination de
Ben Laden– ce « crime » (c’est le chef du Hamas, Ismaël Haniyeh, qui parle) dans le droit-fil d’une « politique d’oppression » fondée sur « l’effusion de sang » des anciens peuples colonisés. Tout est dit. Et il y a, non seulement dans ce dire, mais dans l’assourdissant silence qui, ici, lui fait écho, quelque chose d’affligeant.
Bernard Henri-Levy
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(Le Point, 12/05/2011)
« Ah ! les cons » (sur un Munich palestinien) - Bernard -Henry Lévy